Guerre

D’anciens professionnels des services de renseignement américains ont lancé à l’attention de Joe Biden un avertissement concernant l’impulsion belliqueuse donnée par Macron à la politique étrangère française vis à vis de l’Ukraine. Voici la traduction de ce mémo (texte original ici).
24 mars 2024 NOTE D’ALERTE POUR : Le Président [Joe Biden] DE : Professionnels vétérans du renseignement (…)

La Coalition internationale pour la paix est en état d’alerte rouge et se mobilise, par tous les moyens non violents imaginables, pour s’assurer qu’une vague d’indignation internationale, organisée, se produise maintenant.

Le jour de la Saint-Patrick, des milliers de "Irish Americans" ont défilé dans les rues de New York et de Philadelphie pour manifester leur solidarité avec la Palestine.

Visioconférence internationale de l’Institut Schiller le 13 avril : « Le Plan Oasis, la paix par le développement pour toute l’Asie du Sud-Ouest »
Le 13 avril de 17h à 22h (heure de Paris), nos amis de l’Institut Schiller tiendront une conférence internationale, sur zoom et en présentiel, à New York et à Dresde (Allemagne).
Informations et inscription

Non seulement M. Macron n’a pas tenu sa promesse de faire de la France une puissance d’équilibre entre les blocs, mais ses dernières déclarations, lors du Sommet de soutien à l’Ukraine du 26 février, permettent même de douter de son propre équilibre mental.

« La stratégie de l’Otan a perdu toute cohérence. C’est le moment où de telles guerres deviennent incontrôlables » a averti le journaliste britannique Simon Jenkins dans the Guardian.

Jacques Cheminade réagit aux déclarations d’Emmanuel Macron du 26 février sur la possibilité d’un envoi de troupes occidentales sur le sol d’Ukraine.

Par deux fois pendant le mois de février, le président russe V. Poutine a directement posé aux populations occidentales et à leurs dirigeants une question stratégique urgente. 

Réunion publique S&P avec Jacques Cheminade du 12 mars. Cheminade remonte aux causes de la fuite vers la guerre de Macron, et expose les racines nazies de l’économie de guerre et du management pratiqué de nos jours.

La menace imminente d’une attaque israélienne à Rafah, où se trouvent près de 1,5 million de réfugiés palestiniens, fait planer non seulement le spectre d’un crime de guerre sans précédent mais aussi d’un embrasement de l’ensemble de la région.