Immigration & co-développement

C’est fou à quel point un « petit journal » comme Nouvelle Solidarité, sans publicité et entièrement fabriqué par des militants, peut être intéressant !

Le Président français Emmanuel Macron vient d’achever sa tournée africaine. Pour faire le point, entretien dans les conditions du direct entre Jacques Cheminade et Sébastien Périmony à Clichy le lundi 4 décembre 2017.

Revisitant l’histoire économique de la France, le chercheur et historien Pierre Vermeren nous éclaire dans sa tribune dans Le Figaro, sur les deux grands « capitalismes » qui s’opposent en France depuis plus d’un siècle. L’un industriel, a été le moteur du progrès économique et social à la française du 20e siècle ; et l’autre de type « colonial » vit de rentes foncières en pillant le potentiel économique de la nation.

Alors qu’en Europe, à part en Italie, le sujet est cruellement absent dans les médias, la presse chinoise donne une bonne couverture à l’avancement de ce qui constitue peut-être le plus grand projet infrastructurel du siècle : le Transaqua.

La lettre, signée début juin à Hangzhou par les directeurs des deux sociétés, en présence de l’ambassadeur italien en Chine, n’a été rendue publique qu’en août.

A l’opposé de ce qui n’est autre qu’un échec de l’aide au développement, la Chine a misé sur le co-développement.

Lors d’un colloque organisé à l’Université Jean Monnet de Saint-Etienne par l’association Canal frontalier du Rift africain navigable (CFRAN) sur le thème de la Convergence économique de la région des grands lacs, Sébastien Périmony a présenté le point de vu du parti Solidarité & Progrès dont il est le président.

L’immigration est devenue un sujet essentiel en vue de l’élection présidentielle. Il se réduit malheureusement à un débat sur qui est de trop et où. Ce débat me fait honte.

Alors que la Chine finalise un important plan d’investissement dans l’infrastructure du Nigeria, la Maison Blanche, désavouant la politique de l’ère Obama, promet d’aider le Nigeria à combattre le terrorisme.
Donald Trump a appelé son homologue nigérian Muhammadu Buhari le 14 février et, selon un communiqué publié par la Maison Blanche, il a « exprimé son soutien dans la vente d’avions (…)

Ce que je regrette, c’est que cette aide semble aller à l’encontre du projet Transaqua que je défends depuis longtemps.