Ukraine

Non seulement M. Macron n’a pas tenu sa promesse de faire de la France une puissance d’équilibre entre les blocs, mais ses dernières déclarations, lors du Sommet de soutien à l’Ukraine du 26 février, permettent même de douter de son propre équilibre mental.

« La stratégie de l’Otan a perdu toute cohérence. C’est le moment où de telles guerres deviennent incontrôlables » a averti le journaliste britannique Simon Jenkins dans the Guardian.

Jacques Cheminade réagit aux déclarations d’Emmanuel Macron du 26 février sur la possibilité d’un envoi de troupes occidentales sur le sol d’Ukraine.

Par deux fois pendant le mois de février, le président russe V. Poutine a directement posé aux populations occidentales et à leurs dirigeants une question stratégique urgente. 

Réunion publique S&P avec Jacques Cheminade du 12 mars. Cheminade remonte aux causes de la fuite vers la guerre de Macron, et expose les racines nazies de l’économie de guerre et du management pratiqué de nos jours.

Plus de 3 milliards d’armes pour l’Ukraine, 400 millions « d’aides d’urgence » pour nos agriculteurs ! La priorité de nos dirigeants est bien la guerre ! Nourrir à tout va est au contraire la condition de la paix.

Le 27 décembre, l’administration Biden a annoncé un nouveau programme de financement pour l’Ukraine, en dépit du fait que cette guerre se solde d’ores et déjà par une catastrophe pour l’Ukraine ainsi que pour les pays de l’OTAN.

A Strasbourg, la conférence de l’Institut Schiller des 8-9 juillet, a appelé à une mobilisation internationale le 6 août pour négocier la paix en Ukraine.

Dans cet éclairage, Jacques Cheminade expose les différents facteurs qui rendent le risque d’une guerre nucléaire bien plus grave que lors de la guerre froide.

Une seule question domine toutes les autres : voulons-nous arrêter la course vers une guerre mondiale ? L’horloge est à quelques secondes de minuit. La moindre erreur d’appréciation ou une provocation absurde suffiraient à déclencher l’impensable.