A travers l’étude de leur pensée militaire et de leur engagement politique, nous allons découvrir que Jaurès et de Gaulle sont forgés du même fer...
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Années 30
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24 novembre 2016
La véritable histoire de John Maynard Keynes
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24 novembre 2016
La véritable Amérique
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5 octobre 2013
Jaurès, de Gaulle, notre combat
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22 août 2013
Qu’est-ce qu’être « gaulliste de gauche » ?
A l’heure où la mollesse et l’impuissance politiques empêchent le pays d’entrer en guerre contre le monde de la finance, il est temps de relancer la fabrique française d’hommes et de femmes de caractère.
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9 juin 2013
La Banque des règlements internationaux (BRI) et la solution finale
A l’origine de la plupart des propositions visant à sauver la « stabilité financière » comprenant la procédure inquiétante de bail-in, on retrouve, via le Conseil de stabilité financière, la Banque des règlements internationaux (BRI).
Installée à Bâle en Suisse, cette vénérable institution, une banque privée autoproclamée « la banque centrale des banques centrales », fuit toute publicité comme la peste. En lisant cet article, vous allez comprendre pourquoi.
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20 septembre 2011
L’Art et la Science au Peuple ! n°1 : Lagrange et Malraux
Cette première édition de « L’art et la science au peuple ! » porte sur la vision de Léo Lagrange et André Malraux de la culture pour tous, indispensable pour lutter contre le fascisme qui monte dans les années 30, et contre l’industrie du divertissement depuis l’après-guerre qui produit les mêmes effets : ne laisser aucun espace pour penser.
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13 décembre 2010
Léo Lagrange : l’individu historique peut tout changer
La politique culturelle du premier ministre des Sports et Loisirs de notre République (sous le Front populaire), a marqué l’histoire et devra le faire à nouveau : à une époque où nous sommes confrontés aux mêmes périls qu’en son temps — une oligarchie financière qui détruit tout et impose son règne pour la soumission culturelle des foules — l’esprit de Léo Lagrange est plus que jamais vivant (…)
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22 avril 2009
IV. La Théorie générale de Keynes
Néanmoins, la théorie de la production conçue comme un tout, qui est ce que ce livre cherche à développer, convient beaucoup mieux aux conditions d’un Etat totalitaire que la théorie de la production et de la distribution de richesses produites dans les conditions de la concurrence libre et d’une large dose de laissez-faire. La théorie des lois psychologiques mettant en correspondance la consommation et l’épargne, l’influence des crédits sur les prix et les salaires réels, le rôle joué par le taux d’intérêt : ceux-ci restent les ingrédients nécessaires de notre schéma de pensée (John Maynard Keynes, préface à l’édition allemande de la Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie, 7 septembre 1936).
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31 mars 2009
III. Keynes démasqué : Un malthusien au service de l’Empire britannique
L’économie keynésienne sera conçue par l’oligarchie financière comme le rempart contre deux menaces, ainsi que Keynes l’évoque lui-même dans La fin du laissez faire : celle du « marxisme collectiviste » et celle du « protectionnisme », que les Anglais assimilent au « système américain d’économie politique du XIXème siècle », issu de la révolution américaine. Inspiré par Alexander Hamilton et par Mathew et Henry Carey, ce système est à l’origine de fortes périodes de croissance, comme le furent celle de Lincoln et du New Deal de Franklin Delano Roosevelt, qui n’a rien à voir avec Keynes dans son objectif et ses intentions, contrairement à ce qu’on entend souvent.
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24 décembre 2008
I - II. Keynes et le combat
pour un nouveau Bretton WoodsDécédé voici soixante-trois ans, Keynes est peut-être aujourd’hui au pinacle de sa gloire. En effet, depuis le début de la crise systémique que nous vivons, les principaux pays du monde se sont soudainement convertis aux vertus du keynésianisme. Fini le libre-échange débridé, ayant conduit à l’accumulation de dettes spéculatives qui se comptent en millions de milliards ! Vive le retour de l’Etat dans l’économie pour sauver les banques de la faillite et éloigner le spectre des révolutions, qui ont toujours tendance à s’inviter dans ces moments où le pouvoir de l’oligarchie chancelle.