Déclarations

Rien n’est fait pour reprendre aux financiers le contrôle de l’économie numérique et robotique qui, dans les conditions actuelles, détruira massivement des emplois au lieu d’en créer de nouveaux et de meilleurs.

Nous n’en pouvons plus. Le travail et la production ne sont plus respectés. Notre pays est occupé par une puissance financière destructrice. Vous qui nous lisez le savez aussi bien que nous.

Le saviez-vous ? La France fabrique et contrôle la monnaie de presque 180 millions d’habitants sur cette planète !

Le bradage d’Alstom, bien décrit par Jean-Michel Quatrepoint, n’est qu’un reflet sur le mur de la caverne d’une politique globale.

Je veux témoigner de ma solidarité envers les Mahorais, qui revendiquent une reconnaissance de leur identité et de leurs droits en tant que Français, aujourd’hui bafoués.

En n’affrontant pas les forces financières qui occupent la France, le président de la République se condamne en effet à l’impuissance.

Le Yémen est aujourd’hui le théâtre de la pire crise humanitaire au monde. Depuis deux ans, le pays est ravagé par la guerre, et depuis quatre mois une épidémie de choléra s’est propagée dans tout le pays décimant une population déjà fragilisée.

Le pire sans doute est le fait que tout cet argent ne sert que très peu l’emploi et l’industrie, c’est-à-dire l’économie réelle.

Au cours de la dernière décennie, les banques chinoises ont généré pour quelque 10000 milliards de dollars de crédit à l’économie réelle.

Le président de la République se trompe s’il croit aujourd’hui jouer au plus fin.