Au moment où la population américaine vient d’infliger, le 7 novembre dernier, une cinglante défaite électorale aux néo-conservateurs qui mettent le monde à feu et à sang depuis leur accession au pouvoir, nous découvrons l’extension effrayante qu’a pris ce mouvement en France.
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Politique
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« Nous, les néoconservateurs français »
5 décembre 2006 -
Des Goebbels à l’œuvre sur les campus américains ?
31 octobre 2006Fin septembre, début octobre, deux journaux distribués sur les campus de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA) et de l’université de Boston ont publié des articles calomnieux à l’encontre du mouvement des Jeunes Larouchistes (LYM), le qualifiant de « secte politique ». Leur parution coïncidait avec des signes indiquant une réactivation du « salon anti-LaRouche » mis sur pied il y a plus de vingt ans par des cercles de Wall Street associés à John Train.
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La French American Foundation : ni américaine ni française, oligarchique
2 octobre 2006Nicolas Sarkozy ne se trompe que très rarement. Ainsi, de passage aux Etats-Unis, il a pris la parole à Washington devant la French American Foundation (FAF).
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Après les trente glorieuses :
synarchie financière et dérives fascistes
20 juin 2006La synarchie, idéologique et financière, est une réalité historique. Nous en décrivons ici les origines et les phases. En leur temps, Franklin Delano Roosevelt et Charles de Gaulle lui portèrent des coups décisifs.
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Guerre démographique et sous-développement : les Etats-Unis contre le tiers monde
30 janvier 2005Extraits d’un rapport de l’Executive Intelligence Review (1992)
Il n’y pas si longtemps, les Etats Unis se vantaient d’être la première puissance économique mondiale. A l’exception d’une faction de l’establishment dominée par une idéologie typique de l’oligarchie britannique, une vaste majorité des citoyens était favorable à l’idée de progrès.
Avant le milieu des années 60, des concepts tels que la rareté des ressources naturelles, la croissance nulle et l’explosion de la démographie, (…) -
Leo Strauss : l’idéologie fasciste des néoconservateurs
30 janvier 2005Lorsqu’on examine la philosophie, ou plutôt l’idéologie, qui sous-tend la doctrine impériale du gouvernement américain, on décèle deux courants essentiels. Ce qui frappe d’abord, c’est l’empreinte du fondamentalisme religieux, voir du mysticisme, qui transparaît de tous les discours du président Bush et de son ministre de la Justice, John Ashcroft.
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Les fondements de la géopolitique
28 septembre 2004[sommaire]
Par Michael Liebig, mars 1992.
Dans les jours qui ont suivi la chute du mur de Berlin, la mauvaise humeur du président américain George Bush était si évidente que les journalistes de la Maison Blanche le lui ont fait remarquer. Le président a répondu, à propos de l’ouverture des frontières, qu’il n’aimait pas verser dans « l’émotion » et qu’il n’irait pas « danser sur le mur ».
George Bush s’inquiétait pour deux raisons. D’une part, la chute du mur et la réunification (…) -
Manipulation par la terreur : non à la mise en place de régimes d’exception
1er mars 2004Nous publions ce dossier à un moment de l’histoire où le choix politique devient clair : soit un retour à l’austérité économique de Hjalmar Schacht, associée aux politiques militaires et policières du nazisme, soit une nouvelle donne dans l’esprit de Franklin Delano Roosevelt, couplée à une politique de paix par le développement mutuel.
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Le facteur synarchique hier et aujourd’hui
1er août 2003« Synarchisme » est le nom adopté au XXème siècle par une secte franc-maçonne occulte, connue sous le nomde Martinistes et reposant sur le culte de la tradition de l’empereur Napoléon Bonaparte. Les mouvements fascistes du XXème siècle et ultérieurs, comme la plupart des mouvements terroristes, sont tous des créations synarchistes.
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L’anti-mondialisme malthusien de MM. Goldsmith
10 mai 2001Actions de José Bové, Forum de Porto-Alegre, ATTAC, Monde diplomatique, L’Ecologiste d’Edouard Goldsmith et publications de la Nouvelle droite : une gêne grandissante nous saisit en voyant que, par-delà le dénominateur commun de l’anti-mondialisation, se dessine - dit ou non-dit - quelque chose de tout à fait autre. Cet « autre », que nous tenterons ici de cerner, constitue le dévoiement d’un combat, le placage d’une idéologie sans horizon qui ne peut conduire, sur fond de convergences douteuses, qu’à la défaite des combattants.