Accueil > Nouvelle Solidarité > Nouvelle Solidarité N°1/2013

Nouvelle Solidarité N°1/2013

Glass-Steagall et crédit productif public !

  • L’EDITORIAL DE JACQUES CHEMINADE : Pari sur l’avenir.
  • GLASS-STEAGALL ET CREDIT PRODUCTIF PUBLIC CONTRE SIMULACRE DE REFORME BANCAIRE. Jacques Cheminade constate d’abord que « la réforme bancaire de M. Moscovici ne change rien à rien, c’est un simulacre » pour préciser ensuite que le véritable enjeu de la réforme bancaire est le retour au crédit productif public : « Ce qu’il nous faut, c’est couper les banques en deux pour assainir le système financier. Mais sans le crédit public, les choses n’auront aucun sens. Car c’est un pari sur l’avenir ; c’est émettre du crédit pour de grands projets permettant de produire davantage, de produire de la productivité, avec des technologies de pointe, résultant de découvertes scientifiques ». (p. 2)
  • JEAN PEYRELEVADE, LE CHOIX DE LA DEFAITE. Karel Vereycken s’étonne sur le rôle ambigu de cet ancien président du Crédit lyonnais. Alors qu’en France, tous les partisans d’un retour à une séparation stricte entre banques commerciales (dépôts, crédit, système de paiement) et banques d’investissement (marchés, dérivés, titrisations, etc.), s’accordent à considérer insuffisant le projet de réforme bancaire de Pierre Moscovici et se mobilisent contre lui, Jean Peyrelevade a fait savoir que « c’est un bon début, car il commence à appliquer le principe de séparation des activités bancaires ». (p. 3)
  • PROJET DE LOI au Congrès américain, rapport favorable d’un think-tank majeur en Angleterre, l’idée d’un Glass-Steagall progresse à l’étranger. (p. 3) Entrevue avec Lyndon LaRouche dans le Washington Times (p. 16). A signer : Appel à un Glass-Steagall global. (p. 16)
  • CANAL SEINE-NORD EUROPE. Comme exemple de l’absence de crédit productif public, nous documentons comment les banques, en refusant de financer Bouygues, profitent du PPP pour saboter ce projet si essentiel. (p. 3)
  • OBAMA SERA DESTITUE EN CAS DE LIBYE BIS. Si Barack Obama venait à déployer des troupes américaines en Syrie sans l’aval du Congrès (ce qu’il avait fait en Libye), il serait immédiatement destitué. C’est le message qu’ont fait passer les députés Walter Jones (Républicain) et Charles Rangel (Démocrate) lors d’une conférence de presse à Washington, le 19 décembre dernier. L’événement était présidé par Jeffrey Steinberg, de l’Executive Intelligence Review (EIR), magazine fondé par Lyndon LaRouche. (p. 5-6)
  • ARRETER UNE GUERRE MONDIALE EN SYRIE. Deux déclarations communes de Jacques Cheminade et Bassam Tahhan sur la Syrie font le point sur les véritables enjeux du conflit et tentent de définir « une sortie par le haut ». (p. 4)
  • DEFENSE NATIONALE. S’interrogeant sur le rôle de la France dans le monde, Christine Bierre estime que la France doit « ressortir de la pensée d’Empire ». Car, en dehors des propositions avancées par Jacques Cheminade « pour une armée avec les yeux du futur », lors de la dernière campagne présidentielle, on ne voit nulle part de propositions de fond permettant de sortir de la crise. La plupart des commentateurs se limitent à faire du sur place, en rabâchant tout simplement les vieilles rengaines : rester ou sortir de l’OTAN, défense européenne avec les Britanniques ou purement nationale, dissuasion nucléaire ou retour à une armée conventionnelle. (p. 11)
  • INITIATIVE DE DEFENSE TERRESTRE (IDT). Sur quatre pages, les jeunes chercheurs du Comité d’action politique LaRouche racontent les débats et leurs interventions qui ont animé la réunion de l’IGMAS en Ukraine ou les scientifiques de plusieurs pays ont circonscrit les immenses défis auxquels devra s’intéresser l’Initiative de défense terrestre : anticipation et gestion des tremblements de terre, attaques aux missiles, impact d’astéroïdes sur Terre, etc. (p. 12-15)
  • SUBSTANTIFIQUE MOELLE. A partir de l’exposition de Lille sur « Les fables du paysage flamand », Karel Vereycken, en approfondissant les contextes historiques, culturelles, linguistiques, philosophiques et religieux de la Renaissance aux Pays-bas, offre une grille de lecture originale de plusieurs grands maîtres de l’art flamand avec en gros plan Jérôme Bosch et Joachim Patinir. (p. 7 à 10)