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Profession de foi
À TOUS LES FRANCAIS
Pouvoir d’achat : Comment reprendre la main
Le but se situe dans la continuité des Jours Heureux, le programme du CNR* de mars 1944 que l’on adapte au contexte du XXIème siècle. Pour y arriver, les 3 étapes suivantes sont indispensables :
1 - Commission d’enquête publique : dettes publiques/dettes privées
90% de la dette publique provient du remboursement de l’émission monétaire faite d’emprunts (charge de la dette) aux banques privées avec un taux d’intérêt important au lieu d’utiliser les capacités du crédit productif public.
L’annulation d’une partie de la dette est possible en se basant sur un principe simple de tri :
- la dette reliée à l’économie physique est légitime, l’économie a une finalité d’amélioration sociale et environnementale : la dette est liée à une action réelle ;
- la dette reliée à la spéculation est illégitime, aucun lien avec l’activité économique réelle du pays : dette d’écriture présente uniquement sur les ordinateurs des banques.
2 - Stricte séparation des activités des banques : Glass-Steagall
Le but :
- protéger les dépôts des Français (épargnes, salaires, retraites...) des spéculateurs qui jouent avec
- remettre les banques au travail (soutien à l’économie réelle).
La séparation stricte entre notre argent et leur casino est une règle d’urgence saine qui consiste à séparer la banque de dépôt de la banque d’affaires spéculative.
La séparation strite, c’est la mise en faillite organisée, quand la banque spéculative essuie des pertes au casino financier et devient insolvable : il n’y a pas d’impact sur l’argent des gens.
La séparation STRICTE empêche la garantie des risques de la partie spéculative. Le vrai rôle d’une banque c’est de prêter aux gens et aux entreprises, pas de jouer sur les marchés.
Les peuples n’ont pas à renflouer les banques en faillite, ni via les Etats, ni via la spoliation des dépôts ou le vol de l’épargne avec les taux négatifs. Quand on renfloue sans avoir d’argent, on impose l’austérité pour le trouver et on détruit la société : lits d’hôpitaux, personnels en moins, etc. Cela n’est pas juste.
3 - La banque nationale émet du crédit public pour du travail
L’État doit pouvoir émettre du crédit pour orienter l’argent vers les projets à finalité sociale et environnementale. C’est-à-dire équiper la société d’un socle de base améliorant la qualité de vie : transports ferroviaires, hôpitaux, écoles, centrales nucléaires, recherche, etc. Ainsi des emplois sont créés, le chômage diminue et les salaires augmentent.
L’argent ne va plus à la spéculation, mais au développement de l’économie physique réelle, pour construire le monde de demain basé sur l’humain. Pour y arriver, nous devons :
- rompre avec le Traité de Lisbonne et les autres traités européens qui l’interdisent ;
- abroger les lois qui interdisent à la Banque de France de soutenir l’économie réelle ;
- protéger nos comptes du bail-in, qui est la spoliation des dépôts en cas de faillite d’une banque ;
- rétablir une vraie banque nationale sous contrôle citoyen pour notre pouvoir d’achat.
Affiche de campagne
Tous les candidats de S&P
- 11e circo des Français de l’étranger : Jacques Cheminade
- 10e circo des Français de l’étranger : Odile Mojon-Cheminade
- 9e circo des Français de l’étranger : Sébastien Périmony
- 5e circo de l’Essonne (91) : Benoît Odille
- 1ere circo du Tarn-et-Garonne (82) : Jean-François Grilhault des Fontaines
- 2e circo de l’Ardèche (07) : Gérard Julien