Jean Zay, un destin de « chic type »

jeudi 15 juillet 2010

Par Frédéric Bayle

C’est Orléans qui voit naître, le 6 août 1904, Jean Elie Zay. Orléans, c’est la fille de la Loire, l’emblème de la France libérée par Jeanne d’Arc , la ville que Charles Péguy hantait d’un verbe musical que le jeune Zay cherchera tant de fois à imiter. Il faut dire que, fils d’un journaliste et d’une institutrice, un destin d’homme de lettres lui est tout tracé. Aidé de sa sœur Jacqueline, il rédige son premier journal à l’âge de 8 ans, composant toutes les rubriques, y compris la section humoristique ! (Héritage probable de la culture juive de son père). Cependant comme tous les jeunes de son temps, l’insouciance de l’adolescence croise la Première Guerre mondiale, et de la mobilisation des pères naît cet air sombre sur le visage des jeunes hommes (...)

Dossier

Ce dossier est paru dans l’édition du 1er août 2008 du journal Nouvelle Solidarité, publié par Solidarité & Progrès.

L’intégralité de ce dossier est disponible au format pdf en cliquant sur l’image ci-contre.