Communiqué de presse de la campagne présidentielle de Jacques Cheminade
Paris, le 23 septembre 2011 — Dans un reportage produit par Laure Debreuil et Tristan Waleckx, et diffusé lors du Journal télévisé de 20h du 22 septembre sur TF1, il a été reconnu ouvertement pour la première fois par le Président de Conseil Constitutionnel en 1995, Roland Dumas, que les comptes de campagne d’Edouard Balladur et de Jacques Chirac avait été scandaleusement retravaillés par le Conseil, afin de pouvoir être validés, sinon « les deux candidats n’auraient pas pu décemment se représenter. Alors, c’était la République sans tête ».
Il est donc aujourd’hui public que le Conseil constitutionnel, en octobre 1995, a délibérément abandonné sa casquette de plus haute autorité judiciaire française, pour devenir une officine politique. Dans ce contexte, n’est-il pas troublant que les comptes de Jacques Cheminade, candidat dénonçant les dérives des milieux financiers de la City de Londres et de Wall Street, ainsi que de leurs relais en France, aient, eux, été rejetés pour des motifs plus que contestables ?
