Brèves

Le carnage d’Oslo : un parfum de type 11 septembre

lundi 25 juillet 2011, par Lyndon LaRouche

Lors d’une conférence internet internationale tenue en janvier 2001, Lyndon LaRouche alertait du danger d’un possible incident de type incendie du Reichstag dans le courant de cette même année, afin d’’établir une dictature sur les États-Unis. Ce qui n’a pas été loin d’aboutir sous le régime de Bush et Cheney.

Aujourd’hui, du point de vue de l’oligarchie financière qui a mis Obama au pouvoir à partir de Londres et de Wall Street, devant la faillite imminente d’aussi bien le système dollar que celui de la zone euro, il est question de recourir au pire, c’est-à-dire à la mise en place des régimes dictatoriaux dotés de pouvoirs d’exception. Pour les justifier, des attentats de grande envergure du type 11 septembre risquent de se produire.

Le 23 juillet, au lendemain du carnage d’Oslo et des menaces terroristes contre le métro de New-York, LaRouche a fait part de ses observations :

« Si vous regardez la société comme un tout, vous vous apercevrez qu’un certain nombre d’opérations en préparation ont une certaine ressemblance avec le 11 septembre.

Que se passait-il alors ? Le 3 janvier 2001, je déclarais – ce qui a énormément choqué la famille Clinton, et Hilary, particulièrement – je disais : "Nous anticipons une opération terroriste contre les États-Unis, dans le courant de cette année". Et c’est arrivé. Les signaux d’alerte étaient là. Il y avait divers déploiements, dans divers directions, feints – c’est-à-dire du même type que l’on voit en Europe et ailleurs en ce moment, où nous assistons à des opérations de diversion, une menace sérieuse ici, par exemple en Norvège, une menace sérieuse là [menace d’attentat terroriste dans le métro de New York, ndlr.] !

Il existe effectivement une menace ici [aux Etats-Unis]. Mais pourquoi toutes ces menaces ? Parce que, s’il y a de nombreuses menaces de toute nature, arrivant simultanément, votre attention est affaiblie pour essayer de trouver quelle est la véritable menace ? Quelle est la véritable menace ?

Car, si vous aviez affaire à la menace originale, vous pourriez la détecter, vous pourriez détecter sa généalogie. Tandis que si vous êtes confrontés à des menaces contradictoires, dont chacune semble avoir son importance, comme ce fut le cas en 2001, qu’est-ce qui se passe ?

Je ne savais alors pas ce qui allait arriver, en 2001 ; il y avait toutes sortes de choses que je savais pouvoir se réaliser. Je savais quelles étaient les menaces, de manière générale. Nous travaillions alors sur l’une d’elle, qui se préparait dans les environs de Washington D.C., sous Washington D.C., dans la périphérie, et qui constituait une menace majeure pour Washington. C’est ce qui est devenue l’attaque sur Washington, par un des engins envoyé dans le Pentagone. Des attaques étaient également prévues contre la Maison Blanche et d’autres endroits. Certaines ont fonctionné, certaines non, mais tout était préparé.

Toutes ces attaques avaient une certaine crédibilité, comme ce qui c’était passé en Italie auparavant, dans l’Italie du Nord, la même chose. Mais finalement, il y a eu la véritable attaque, « la mère » de toutes les attaques - j’utilise ici le terme "la mère" selon l’argot péjoratif du ghetto – la mère de toute les attaques s’est montrée, en plein New York.

L’attaque a été menée, par quoi ? Elle a été menée principalement par deux agences : Les Israéliens en avaient connaissance, mais n’en étaient pas une partie active. Ils étaient là, à observer. Ils étaient tout près, au New Jersey, observant les tours [du World Trade Center] ! Ils se sont enfuit dès que ça a été terminé. Ils regardaient les Tours ! Pourquoi étaient-ils rassemblés là, à contempler les tours ? C’était une opération de renseignement, une opération de renseignement israélienne. Parce qu’ils étaient au courant à propos de l’attaque, ils savaient d’où elle venait, et ils étaient là pour regarder le spectacle.

C’est une opération qui a été menée par les saoudiens, qui l’ont financé, indirectement. C’était assuré par les saoudiens, qui ont organisé le personnel utilisé pour certaines de ces attaques.

L’ambassadeur saoudien à Washington , aux États-Unis, était l’un des principaux opérateur derrière le lancement du 11 septembre ! Les investigations ont permis de mettre parfaitement à jour le fait qu’il s’est agi d’une opération Anglo-Saoudienne, avec B.A.E., et britannique. Ils ont monté une opération pour lever l’argent pour cette attaque.

Le 11 septembre a été organisé avec la famille Bush ! La famille Ben Laden était au Texas au moment de l’attaque sur New York. Toute la famille Ben Laden ! La même famille.

Et après l’attaque, lorsque la fumée commençait à se dissiper, et que les États-Unis était en état de siège, un état de siège par une force d’occupation, toute la famille s’est vue attribuer une escorte – le seul vol en partance pour l’étranger était pour cette famille saoudienne, escortée à bon port jusqu’en Arabie Saoudite ! Une opération en partie planifiée, financée et dirigée par les saoudiens.

Sont venues ensuite les enquêtes, les auditions, et il y a eu ces paragraphes du rapport qui indiquaient, explicitement, quels étaient exactement les liens des saoudiens et des britanniques avec cette opération.

Tout y est ! Nous n’avons pas tout, mais nous avons les preuves qui mènent à ces agences impliquées, dont l’ambassadeur saoudien à Washington ! L’opération a été menée par [la société d’armement britannique] BAE, qui a financé l’opération et organisé les personnalités impliquées, ça a été organisé par le royaume saoudien, la monarchie saoudienne ! Et par d’autres, des collaborateurs.

Ces éléments ont été gelés par l’administration Bush. Bon, c’était l’administration Bush qui a organisé cette attaque sur les États-Unis ! Probablement pas le pauvre idiot de Bush lui-même, mais les intérêts Bush : C’est les Bush qui avaient reçu la famille, au Texas, au moment des attaques. Nous avons donc un acte de guerre contre les États-Unis, et le Président des États-Unis est complice dans l’étouffement de l’affaire, des auteurs de l’attaque. Et vous le respectez ? Vous respectez George W. Bush ? Quel genre de raclure êtes-vous ? Ce type était coupable, en vertu de sa position, il était coupable d’un acte de guerre contre les États-Unis ! Un acte de guerre, le massacre de citoyens américains dans un acte de guerre ! Et le Président est complice dans la dissimulation des faits concernant cet acte de guerre contre les États-Unis.

Regardez les citoyens américains ! Regardez leur bravoure, regardez leur hardiesse et l’efficacité avec laquelle ils ont défendu les États-Unis !

Et maintenant revenez à la situation présente à la lumière de ça. L’actuel Président des États-Unis n’a rien fait d’autre qu’étouffer à nouveau le 11 septembre ! En supprimant une section du rapport, dans les conclusions, pour des questions de "sécurité nationale" ! Ce salopard, l’actuel président des États-Unis, est complice d’une attaque sur les États-Unis, d’un acte de guerre contre le peuple américain.

Et maintenant, savez-vous pourquoi je dis ce que je suis en train de dire, au vu de ces éléments ? lorsque je dis que nous devons nous attendre à la pire des menaces ? Quelle est la pire des menaces ? La pire des menaces, c’est le renflouement [bancaire]. »