LaRouche révèle les dessous du système Greenspan

jeudi 18 septembre 2008, par Lyndon LaRouche

Lettre aux banquiers

Les faits de l’affaire Alan Greenspan

Par Lyndon LaRouche

le 16 septembre 2008

La mort du système bâti par Alan Greenspan ne fait plus aucun de doute. Cependant, le système de mesmérisme utilisé par Greenspan doit être considéré par tous les étudiants en histoire bien informés comme un plagiat de la nouvelle terrifiante publiée par Edgar Allan Poe à ce sujet.

C’est d’autant plus certain aujourd’hui, que la pestilence de la disparition de plusieurs institutions comme Lehman Brothers et ses suivants, rend la véritable histoire de ces phénomènes fétidement évidente.

Pour ceux qui, comme Georges Bush, sont ignorants de l’histoire et de la littérature classique, il faut retenir la leçon : il vaut mieux donner un enterrement décent aux morts et au moment approprié, plutôt que de s’illusionner sur la possibilité de sauver le mort en transmettant sa maladie, comme par un mariage, à ce qui est encore vivant, bien que dangereusement malade.

Contrairement aux illusions que de nombreux partagent depuis l’effondrement de Lehman Brothers et de la putride Northern Rock, le système bancaire adopté par Alan Greenspan était fondé implicitement et dés le départ sur une pratique criminelle, dans le but de piller les banques agrées et autres institutions économiques les unes après les autres, jusqu’à ce qu’elle soit dans le coma et que mort s’en suive.

Nous devons maintenant séparer les institutions financières vivantes des futurs morts, en recourant au principe de redressement judiciaire national sous protection fédérale afin de sauver l’économie et les banques agrées, tout en enterrant ce qui aurait dû être considéré comme mort, en tant que créatures morts-vivantes élevées par M. Greenspan.

Comme à la fin de La Vérité sur le cas de M. Valdemar de Poe, le temps est venu d’enterrer les morts plutôt que de diffuser l’infection par le mariage du malade condamné au vivant.