Le 4 janvier 2008 (LPAC) - Après avoir pris connaissance des résultats de la première élection primaire américaine, (le processus de présélection visant à désigner des candidats à l’investiture démocrate et républicaine en vue des élections présidentielles américaines de novembre de cette année), celle des caucus de l’Iowa de ce mardi, Lyndon LaRouche soulignait qu’à l’heure actuelle le monde fait face au plus important effondrement financier de l’histoire et que les candidats en lice donnent l’impression de se présenter à la présidence de l’île de Laputa décrite par Jonathan Swift dans les Voyages de Gulliver.
Telle qu’elle se déroule, cette campagne présidentielle est, pour l’instant, une folie furieuse car tou(te)s les candidat(e)s tentent de nous convaincre que cet faillite systémique n’existe pas.
En ce faisant, ils se comportent comme des imbéciles. Nous voilà devant une échéance électorale décisive pour les Etats-Unis et le monde avec aucun candidat réellement portant attention aux mesures essentielles à prendre pour surmonter la débâcle. Malheureusement, rien n’indique qu’un candidat du type Rooseveltien fait parti du lot pour l’instant. Au lieu de cela, nous courons à la catastrophe, à la tragédie.
