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Krach ou pas krach, il faut couper les banques en deux !

Revoir le Facebook Live sur la moralisation bancaire

Le 28 février 2018, pour aiguiser les esprits et donner du grain à moudre aux sympathisants et militants engagés dans la bataille pour la moralisation de la vie bancaire, Solidarité & Progrès a organisé une émission spéciale transmise en direct comme un Live Facebook.

Invités :

  • Pierre-Henri Leroy, expert financier, fondateur de Proxinvest, ancien banquier ;
  • Karel Vereycken , vice-président de S&P, co-rédacteur de la proposition de loi sur la séparation des banques.

Merci de signer notre pétition sur www.moralisationbancaire.fr et d’aller voir votre député(e) pour lui en parler !

Compte-rendu :
cherche citoyens responsables pour éduquer nos députés !

La mobilisation transpartisane lancée par S&P à l’été 2017 pour la « moralisation de la vie bancaire » se poursuit, relayée par plus de 320 personnes qui se sont sérieusement engagées à rencontrer leur député sur ce sujet.

L’objectif ? 400 députés ou sénateurs rencontrés par au moins un de leurs administrés d’ici à la fin de la session ordinaire du Parlement, en juin. Prendre contact avec son élu pour le convaincre d’introduire au Parlement notre loi pour la séparation stricte des banques, cela demande souvent un peu de préparation.

Quoi de mieux que de pouvoir poser directement ses questions à l’un des rédacteurs de cette loi, Karel Vereycken, et à un expert financier, comme Pierre-Henri Leroy, l’un des conseillers de Jacques Cheminade pour sa campagne présidentielle de 2017 ?

C’était le sens du Facebook Live organisé par S&P le 28 février dernier.

Karel Vereycken a ouvert la polémique en montrant, graphiques à l’appui, l’ampleur des bulles prêtes à éclater.

Selon lui, face à cette faillite intrinsèque du système financier, qui génère beaucoup plus de dette et de titres financiers que de richesses et d’activités économiques réelles, nous avons le choix : soit nous subissons tôt ou tard un effondrement financier incontrôlé, chaotique, dévastateur pour les populations et l’économie réelle, soit nous provoquons une faillite, mais de manière organisée, où les fonctions bancaires vitales à l’économie réelle et à la population sont mises de côté et sauvegardées (dans les banques de dépôts et de crédit), et les fonctions spéculatrices, purement financières (partie banque d’affaire), passées par pertes et profits et liquidées.

Si Pierre-Henri Leroy ne souhaite pas de « krach », il défend aussi cette séparation bancaire. Son point de vue d’ancien de la banque et de l’industrie, et, aujourd’hui, de conseiller pour les petits actionnaires, est pertinent et très instructif : il faut tout simplement que notre président « remette les banquiers au travail ! »

Car son expérience professionnelle lui a appris à quel point les banquiers actuels ne sont plus du tout attachés au financement des entreprises. Un exemple concret : autrefois, les banques avaient toutes un bureau d’étude pour déterminer si les projets des entreprises qui sollicitaient un prêt étaient viables, et donc finançables... Aujourd’hui, il n’y a même plus de bureau d’étude.

Il se trouve aussi que M. Leroy se faisait auparavant l’avocat des banques universelles (les banques d’aujourd’hui, c’est-à-dire celles qui jouent sur les marchés spéculatifs en même temps qu’elles gèrent votre épargne, votre compte courant et vous octroie du crédit).

Pourquoi est-il devenu aujourd’hui, au contraire, un fervent défenseur de la séparation bancaire ? Il s’est rendu compte du caractère pervers de la banque universelle, voyant qu’elle induisait un clientélisme invraisemblable entre le dirigeant d’entreprise, le banquier et l’Etat (devenu le garant des bêtises de ces messieurs-dames malgré leur incompétence crasse, comme dans le cas du Crédit lyonnais par exemple).

Nous ne pouvons bien entendu résumer ici l’ensemble des propos de Pierre-Henri Leroy et Karel Vereycken, aussi n’hésitez pas à regarder la vidéo disponible sur la chaîne Youtube et la page Facebook de S&P.

Vous serez alors armés intellectuellement pour décrocher le téléphone, prendre contact avec votre député, et même participer à notre prochain weekend de mobilisation nationale !

Séparation des banques : que fait l’opposition ?

Si la plupart des 150 députés de tous bords rencontrés par leurs concitoyens dans le cadre de la mobilisation pour la moralisation bancaire se montrent très ouverts au dialogue, et ne cachent pas leur ignorance sur ces enjeux, force est de constater que pour l’instant, ce sont les élus de la majorité présidentielle, ou proches d’elle, qui sont passés à l’action.

Ainsi, après les questions écrites posées par les députés Lise Magnier (Les constructifs), Olivier Gaillard (LREM) et Patrice Perrot (LREM) sur la nécessité de séparer strictement les banques de dépôts et de crédit des banques d’affaires, c’est le député LREM du Finistère, Didier le Gac, qui a interpellé le 30 janvier Bruno le Maire, ministre de l’Economie. Il a directement évoqué les inquiétudes des épargnants face aux nouvelles règles de renflouement interne (bail-in), qui prévoient qu’en cas de faillite d’une banque, les dépôts au-dessus de 100 000 € seront saisis (ce seuil fait déjà l’objet de négociation à Bruxelles pour être abaissé à 80 000 €, ndlr).

Où sont les questions écrites, ou même orales, des élus du Parti socialiste, de la France insoumise, du MoDem, du FN, etc. ? La séparation des banques n’est-elle pas incluse dans le programme de leur parti ?

Pendant que s’affrontent les plans com’ des uns et des autres pour se positionner comme la véritable opposition, les mises en garde contre les nouvelles bulles se multiplient.

Notamment de la part de ses anciens gestionnaires, maintenant à la retraite : après Wolfgang Schäuble (ancien ministre des Finances allemand) et Alan Greenspan (ancien président de la Réserve fédérale américaine), c’est l’ancien directeur de la BCE, Jean-Claude Trichet, qui exprimait le 1er mars son inquiétude sur BFM : « La croissance de l’endettement au niveau mondial est très inquiétante »...

Ces chiffres qui font craindre un krach systémique,
évoqués par Karel Vereycken

Krach ou pas krach, il faut couper les banques en deux !
  • Bulle des actions. Le S&P 500 dépasse les 2700 points, c’est-à-dire plus que le double du niveau à la veille du krach de 2008. Warren Buffet examine systématiquement le PER (Price Earning Ratio qui mesure le gouffre qui sépare sa valeur en bourse avec ses bénéfices) avant toute décision. A cela il faut ajouter la prolifération des « licornes » (genre Tesla), ces start-ups de la Silicon Valley dont la valeur réelle n’est qu’une image construite à coup de com ;
  • Bulle des obligations dont la valeur baissera mécaniquement avec la hausse annoncée des taux ;
  • Les banques cachent leur insolvabilité : alors que ses fonds propres ne représentent que 4% des actifs, une banque, en pondérant ses actifs, peut affirmer en toute légalité que son ratio atteint 10 %...
  • Bulle de la dette entreprise (corporate). Le volume des dettes des grandes entreprises privées non financières a augmenté de 7 800 milliards de dollars entre 2010 et 2017 aux États-Unis ;
  • Bulle de la dette étudiante américaine a dépassé 1350 milliards de dollars en 2017 et le pourcentage de défauts de paiement atteint plus de 11 % ;
  • Bulle du crédit automobile américain : le volume des dettes sur le marché de l’automobile de ce pays dépasse 1200 milliards de dollars, c’est une augmentation de 70 % depuis 2010 ; Les échéances des crédits dépassent celles de la durée physique des voitures ;
  • La dette des ménages aux États-Unis a dépassé début 2017 le niveau qu’elle avait atteint en 2008 avant la faillite de Lehman Brothers. Le volume total de la dette des ménages avoisine 13 000 milliards de dollars ;
  • Les banques centrales se transforment en Bad Banks : la BCE possède 21% des dettes souveraines de la zone euro ; la Fed possédait en octobre 2017, 1770 milliards de dollars de MBS (Mortgage Backed Securities), c’est-à-dire des titres adossés à l’immobilier américain. Dès leur mise sur le marché, leur prix s’effondrera ;
  • Le shadow banking, des marchés de gré à gré totalement en dehors de toute régulation et rendu possible par les directives européennes, représente au moins 92000 milliards de dollars, à comparer avec le PIB mondial (70 000 milliards de dollars) ;
  • La taille des mégabanques : les bilans totaux des quatre grandes banques américaines représentent 44,5 % du PIB des États-Unis et les totaux des bilans des quatre grandes banques françaises représentent 3 fois le PIB de la France ;
  • L’encours des produits dérivés a été multiplié par dix depuis 1997 pour dépasser les 700 000 milliards de dollars en 2007, dix fois le PIB mondial ;
  • L’UE veut lancer les Sovereign Bonds Backed Securities (SBBS), c’est-à-dire des titres adossés à la dette souveraine européenne. Vous avez aimé les subprime ? Vous allez adorer les SBBS ! Qui dit mieux ?
Krach ou pas krach, il faut couper les banques en deux !

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Don rapide

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Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
 que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
 que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
 que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
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