LES PREUVES : la prétendue ingérence russe dans les élections américaines est un fake

mercredi 26 juillet 2017

Obama en discussion avec l’ancien patron de la CIA John Brennan.
Maison-Blanche

La déclaration suivante a été publiée hier par le Comité d’action politique de l’économiste américain Lyndon Larouche (LPAC).

Déclaration du LPAC

Source : LPAC

M. le Président, enquêtez immédiatement sur ceci !

Washington, le 25 juillet 2017 (LPAC) – Il est assez rare que nous suspendions nos évaluations stratégiques quotidiennes sur notre site. Si nous le faisons aujourd’hui, c’est en raison d’un mémorandum hors du commun rédigé hier par Veteran Intelligence Professionals for Sanity (VIPS), un collectif d’anciens professionnels du renseignement américain, qui démontre que le soi-disant piratage (hacking), attribué à la Russie, des ordinateurs du Comité National du Parti Démocrate (DNC) n’était en rien du hacking – mais provoqué par une personne ayant physiquement accès aux ordinateurs du DNC. Les données ont ensuite été maquillées pour incriminer la Russie.

L’intégralité des révélations explosives du mémorandum du VIPS adressé au Président Donald Trump est accessible ici.

Le VIPS, dont fait parti l’ancien directeur technique de la NSA William Binney, soutient l’analyse technique et scientifique réalisée par un groupe indépendant incluant Skip Folden, un ancien responsable d’IBM en charge des technologies de l’information pour les Etats-Unis. Il est à noter qu’aucune analyse technique et scientifique de ce type ne fut réalisée sous Obama.

Si les documents du DNC ont été divulgués au grand public, ce n’est pas la faute aux Russes, mais le résultat de fuites provenant de l’intérieur du DNC. Revoyons le film des événements : la première fuite remonte à juin 2016, un peu avant le 12, jour où Julian Assange annonçait être en possession de documents du DNC et avoir l’intention de les publier. La seconde fuite eut lieu le 5 juillet 2016, dans une tentative manifeste d’entacher de manière préventive tout ce que Wikileaks pourrait sortir, en prétendant que cela venait d’hackers russes.

Comme on le sait, Wikileaks a publié une série d’informations démontrant qu’Hillary Clinton et le DNC conspiraient pour truquer la primaire démocrate contre Bernie Sanders.

Au cœur de l’analyse technique et scientifique, le fait qu’en début de soirée du 5 juillet 2016 (heure d’été de l’Est), un individu travaillant dans cette même zone horaire a copié, depuis un ordinateur directement connecté au serveur du DNC ou du réseau local, 1976 mégabites de données en 87 secondes, sur un système de stockage externe. Cette vitesse est plusieurs fois supérieure à tout ce dont un hacker est physiquement capable. Il apparaît donc que le prétendu piratage du DNC par Guccifer 2.0 n’était pas un hacking venant de Russie ou d’ailleurs, mais bien une copie de données du DNC sur un système de stockage externe. L’analyse technique et scientifique réalisée sur les métadonnées révèle qu’il y eut ensuite une insertion artificielle – un copié-collé utilisant un modèle russe – avec l’objectif clair d’attribuer les données à un piratage russe. Toute l’opération a eu lieu dans la zone horaire de la côte Est.

Le mémorandum du VIPS appelle le Président à enquêter sur la CIA, en particulier sur l’ancien directeur John Brennan et sur le FBI, pour faux piratage et pour la fausse attribution russe. VIPS rappelle l’aptitude de la CIA à créer des hackages bidons en faisant référence à la révélation récente de l’affaire du Coffre 7 (Vault 7 tools) et du programme Marble Framework.

De ce point de vue, l’ancien directeur de la CIA Brennan, lors du récent Forum de Sécurité de l’Institut Aspen, a appelé à un coup d’Etat de fait contre le Président Trump si ce dernier venait à décider de limoger le procureur spécial Robert Mueller, le protégé et assistant de Brennan dans la guerre illégale et anticonstitutionnelle contre le Président.

Nous appelons le Président Trump à réclamer l’ouverture immédiate d’une enquête au sujet de Brennan et de ses hommes de main, à la fois par la nomination d’un Conseil spécial et par le Congrès.

Si vous lisez cette déclaration et que vous voulez agir, merci de la partager aussi largement que possible et appelez votre sénateur ou votre congressiste pour exiger une enquête.