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Exiger un Nouveau Bretton Woods

Exiger un Nouveau Bretton Woods

Ce texte est extrait du programme présenté par Jacques Cheminade à l’élection présidentielle de 2017. Notre gouvernement ne se dotant pas des moyens à la mesure des défis de notre époque, il reste plus que jamais d’actualité.

Citations :

Chacun reconnaît aujourd’hui que l’Etat est responsable de l’évolution économique, qu’il lui appartient de lutter contre les crises et le sous-emploi, d’orienter, de stimuler et de coordonner les efforts en vue de l’expansion et du progrès communs. Personne ne peut plus défendre sincèrement le libéralisme du dernier siècle, personne ne croit plus à la valeur de la vieille formule : ’Laissez faire, laissez passer.’

Pierre Mendès-France, La République moderne (chapitre 6)

Wall Street me hait et je me réjouis de cette haine.

Franklin Delano Roosevelt

La politique de la France ne se fait pas à la corbeille.

Charles de Gaulle

Un certain capitalisme financiarisé, mondialisé et dérégulé marque la fin de la démocratie telle que nous l’avons vécue depuis un siècle... Le pouvoir disciplinaire des marchés financiers lamine la souveraineté des peuples et des Etats ; or la ’souveraineté’ n’est que l’autre nom de la liberté et de la démocratie.

Jean-François Gayraud, Le nouveau capitalisme criminel (conclusion)

 
 

Sortir de l’économie casino et arrêter la dégradation de notre vie publique sont les deux premières conditions nécessaires à la refondation de nos repères. C’est un pari sur l’avenir pour retrouver l’estime de nous-mêmes et nous réapproprier notre pays.

Nous sommes en effet en état d’urgence financier car toutes les plus grandes banques du monde, y compris les nôtres, seraient en faillite si elles n’étaient pas soutenues par l’émission d’argent électronique des banques centrales. Et ce système ne survit qu’en détournant les flux financiers de l’économie réelle vers un vaste Monopoly de capital fictif, c’est-à-dire un capital qui ne correspond pas à la création de biens physiques ou à l’amélioration des conditions de vie des êtres humains.

Ce système de faux monnayeurs, arrivé à son point de rupture, bafoue les règles de la démocratie tout en prétendant exercer la « responsabilité de la protéger ». C’est pourquoi il faut mettre fin à cette hypocrisie criminelle.

Face à ce caractère systémique de la crise financière et monétaire internationale, il faut prendre de toute urgence un certain nombre d’engagements fondamentaux pour créer les conditions qui permettent d’échapper à un effondrement généralisé et organiser la réelle reprise d’une économie productive.

Mon projet est de faire de la France l’un des moteurs de cette refondation, qui doit reposer sur trois piliers :

  1. assainissement par la séparation bancaire ;
  2. décollage par le crédit productif public émis par une banque nationale ;
  3. planification participative porteuse de grands projets et Nouveau Bretton Woods pour mettre en œuvre un ordre monétaire international fondé sur le développement mutuel et éviter un désordre géopolitique suicidaire.

Il est évident que la France ne peut mettre en œuvre cette politique à elle seule. Tout repli national est en soi impossible. C’est donc à une autre dimension de la nation que je m’efforcerai de la porter. Cette dimension, que le général de Gaulle désignait comme le service de la « cause de l’humanité », s’accorde à la mission universelle qui a toujours caractérisé notre République.

Le terrain financier se trouvant alors déminé et le principe de crédit public adopté, je m’efforcerai, à l’échelle européenne et internationale, dans la perspective d’« une ceinture, une route » tracée par la Chine, d’organiser une initiative coordonnée de grands travaux, afin d’équiper l’homme et la nature en vue d’un développement mutuel entre les peuples.

En bref
Création d’un ministère délégué au Plan, rattaché au Premier ministre
Avec une équipe indépendante d'une centaine de hauts fonctionnaires et de représentants des divers courants économiques de la nation.
En lien permanent avec le Conseil national du crédit qui animera la Banque nationale et fournira les moyens d'exécution du Plan voté par le Parlement.

Quatre impératifs en découleront :

  • Mettre en place, à cette échelle européenne et internationale, des mécanismes publics coordonnés de financement à long terme et faible taux d’intérêt, en vue de l’exécution de ces grands travaux, impliquant l’abandon du système monétariste aujourd’hui en vigueur. A l’échelle de chaque pays, les Trésors publics pourront ainsi utiliser, pour les projets d’équipement à moyen et long terme dans les cadres nationaux, européens et internationaux, des avances ou crédits de leur banque nationale ou de leurs pôles financiers publics respectifs à des taux préférentiels, en coordonnant les efforts entre partenaires selon les besoins.
  • Annuler la dette des Etats pour sa part illégitime, étrangère à toute création de valeur économique réelle. Pour la part légitime, engagée au service de l’économie réelle, examiner les possibilités de rééchelonnement pour les pays en ayant le plus besoin, au regard et en fonction des bénéfices apportés par les projets à venir financés par du crédit public. Concrètement, dans le cas de la Grèce, où près de 90 % des plans d’aide et de crédit qui lui ont été théoriquement accordés ont en réalité servi à renflouer les établissements financiers (banques, compagnies d’assurance, etc.), il est évident qu’une annulation partielle de sa dette et un moratoire pour une autre part s’imposent. Ouvrir la possibilité d’équiper et de produire, en délaçant le corset de la dette illégitime, est la seule voie pour accéder au remboursement de la part légitime de la dette, tout en évitant à la fois une déflation prédatrice et une inflation destructrice.
Annuler la dette des Etats pour sa part illégitime.
  • Je militerai donc pour que se tienne une grande conférence internationale en vue de refonder un ordre de développement mutuel entre les nations et les peuples, basé sur ces principes. Le préalable à cette conférence, que j’appelle un « Nouveau Bretton Woods », doit être un nouveau « jubilé » d’annulation des dettes illégitimes, déterminées en commun, et son principe ultime, de donner à l’humanité des objectifs communs.

    Parmi ceux-ci, je défendrai une politique d’exploration spatiale, une politique d’aménagement et de mise en valeur des océans et un plan de développement de l’Afrique pour l’accompagner dans sa perspective de devenir la Chine du XXIe siècle, en mieux. Dans ce contexte, les soldes des échanges entre pays devront être réglés sur la base d’une valeur de référence à un prix convenu entre Etats, pour échapper aux spéculations sur les monnaies. Cette référence doit être commune, que ce soit l’or ou un panier de produits correspondant aux dépenses indispensables à chacun, dites aujourd’hui « contraintes » (alimentation, habillement, logement, celles que le prophète Isaïe évoquait déjà comme les biens que les créanciers n’ont pas le droit de saisir...).

  • Utopie ? Non, porte de sortie par le haut d’un désordre mondial qui nous mène au désastre et au chaos. Au niveau européen et mondial, la nouvelle Route de la soie chinoise, les projets des BRICS, les grands projets Nord-Sud et Est-Ouest, et au niveau national, notre Plan de développement  : ces deux ambitions à long terme sont naturellement complémentaires en se fondant toutes deux sur l’essor des pouvoirs créateurs de l’être humain et en rejetant le profit à court terme, le pillage financier et l’économie casino.
En bref
Grande conférence internationale en vue de refonder un « Nouveau Bretton Woods »
Son préalable ? Un nouveau « jubilé » d'annulation des dettes illégitimes
Sortie de crise par le haut, avec, au niveau européen et mondial, la nouvelle Route de la soie chinoise, les projets des BRICS, les grands projets Nord-Sud et Est-Ouest, et au niveau national, notre Plan de développement.

Initiatives complémentaires : en finir avec les paradis fiscaux, transformer la dette d’Etat en investissement

J’ajouterai deux initiatives qui sont essentielles pour accompagner mon projet et faire rapidement la preuve de notre volonté de « prendre le taureau par les cornes » :

  • Proposer aux Nations unies et au G20 que soit déniée toute existence juridique aux coquilles off-shore ouvertes dans les paradis fiscaux, en particulier celles placées sous la protection de Sa Très Gracieuse Majesté la reine d’Angleterre. Il s’agit de mettre fin à une pratique de camouflage couvrant le blanchiment d’argent et la fraude fiscale. Privées d’existence juridique, ces sociétés sans réelle activité économique ne pourraient plus ouvrir de comptes bancaires dans les banques « officielles », qui devraient donc les radier de leurs livres. Que nos propres banques soient fortement impliquées dans les paradis fiscaux ne doit pas nous arrêter.
  • Chez nous, nous disposons de l’instrument d’intervention qu’est la Banque publique d’investissement (BPI). Je propose d’en tripler progressivement les moyens et, notamment, de convertir 50 milliards de notre dette publique détenue par les banques françaises en augmentation de son capital. La BPI se trouverait alors dotée d’une véritable force de frappe lui permettant de stimuler la création et le développement de nos entreprises, force qui pourrait être multipliée par des prêts complémentaires accordés par les banques.

    L’Etat garderait le contrôle de la BPI, arme du Plan, par un montage juridique (golden share ou autre). Les moyens ainsi dégagés pour obtenir une relance durable de la croissance pourraient être rapidement suivis par d’autres pays. Dans ce contexte, les commissaires au redressement productif d’Arnaud Montebourg exerceraient un rôle d’animation, pourvu qu’ils ne se cantonnent pas à simplement sauver l’outil de production existant et qu’ils soient choisis dans le monde de l’entreprise plutôt que dans celui des administrations.

En bref
En finir avec les paradis fiscaux
Tripler le capital de la BPI jusqu’à 100 milliards
Convertir 50 milliards de notre dette publique détenue par les banques françaises en augmentation de son capital

Ces deux initiatives complémentaires auraient un effet « boule de neige » et permettraient d’enclencher la discussion sur le fond avec d’autres pays.

La France n’est pas condamnée à subir. Avec ses responsabilités, sa tradition et l’autorité de ses responsables dans les institutions économiques internationales, je lui ferai jouer un rôle d’inspirateur, de catalyseur et de médiateur de cette politique, en prenant immédiatement l’attache avec les responsables d’autres pays. Cette démarche est la seule susceptible d’évincer les grandes féodalités économiques et financières de la direction de l’économie et de rétablir les valeurs de la Déclaration de Philadelphie du 10 mai 1940, fixant les buts et les objectifs de l’Organisation mondiale du travail, et du programme de notre Conseil national de la Résistance du 15 mars 1944.

Je n’admettrai jamais ce que François Mitterrand disait à sa femme Danielle, telle qu’elle le rapporte dans son Livre de ma mémoire :

Je n’ai pas le pouvoir, la France comme le reste du monde est assujettie à une dictature financière qui gère tout

Cette dictature est aujourd’hui comme un mort vivant, car elle s’est détruite elle-même. La question est de savoir si elle nous entraînera dans sa chute. Ma réponse est qu’il ne faut pas attendre d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. Je suis convaincu que dans ce moment où les circonstances de l’histoire s’y prêtent, impossible n’est pas français lorsqu’il s’agit de faire revenir les « jours heureux ».

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Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation

Nous entrons dans un moment tragique de l’histoire sans que l’immense majorité de nos contemporains soit capable de le percevoir ou veuille en prendre conscience. Que se passe-t-il derrière l’apparence des indices ? Une tragédie qui se joue sur la scène du temps.

En savoir plus

Don rapide

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Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
 que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
 que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
 que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
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