Chronique stratégique du 6 décembre 2019 (pour s’abonner c’est PAR ICI)
Finance verte
Michael Bloomberg est actuellement la 11e fortune mondiale, avec 58 milliards de dollars, selon le magazine Forbes. Face à lui, Donald Trump, avec ses trois milliards et sa 275e place mondiale, fait figure de petit caïd de banlieue. L’ancien maire de New-York a mis 100 millions de dollars sur la table pour financer sa campagne. Du jamais vu. Fin novembre, il a acheté 840 mots-clés liés à « climat », comme « crise climatique » ou « apocalypse climatique », de façon à ce que les Américains faisant des recherches sur Google US tombent sur sa campagne.
Précisons que Bloomberg, de connivence avec la City de Londres et la Banque d’Angleterre, se trouve au cœur du montage visant à « verdir » la finance, que nous avons exposé ICI et LÀ. L’idée étant d’exploiter la nouvelle peur des bien-pensants afin de continuer à faire d’énormes bénéfices après le krach financier, et d’imposer un système totalitaire où les États seront placés sous la tutelle des banques centrales. « Du renflouement des banques au renflouement climatique », comme l’écrit à juste titre l’ancien éditorialiste et actuel actionnaire du quotidien économique allemand…