Le problème Obama

jeudi 8 novembre 2012, par Bertrand Buisson

COMMENTAIRES

petite souris - le 10 novembre 2012

Regarder la vérité en face !
Bravo !
Ici à S&P cela se fait car il y a dans ce parti des gens qui ont des convictions et pour les défendre elles doivent se développer à partir de la réalité.
.........
Ailleurs, les gens n’ont pas de convictions, ils ne défendent que leurs propres intérêts faisant fi de l’intérêt général, et ont donc abandonné depuis belle lurette, leur honneur, leur dignité, le sens des responsabilités, etc.... et, pour pouvoir se regarder encore dans la glace lorsque l’inconscient revient à la surface, ils s’efforcent par tous les moyens de nous faire croire que c’est cela la vraie vie !!!!!

Eric - le 11 novembre 2012

Certes, il faut destituer Obama car c’est un psychopathe, mais il faut aussi que vous reconnaissiez chez Solidarité et Progrès que la Constitution américaine n’est pas démocratique et que c’est pour cette raison que tous les présidents qui se sont succédés aux USA depuis l’indépendance méprisaient l’intérêt général quand ils n’étaient pas des criminels.
Les Etats-Unis ne sont pas une démocratie et les Pères Fondateurs, Madison en tête, ne voulaient surtout pas qu’ils en soient une. A la même époque, les révolutionnaires français partageaient le même mépris pour la démocratie.
Dans les deux pays, c’est le gouvernement faussement représentatif qui a été institué. Je vous invite à lire "Principes du gouvernement représentatif" (1995) de Bernard Manin pour en avoir la preuve. Bernard Manin s’est menti à lui-même ainsi qu’à ses nombreux lecteurs (la deuxième édition de son essai est paraît-il déjà épuisée) en n’insérant pas l’adverbe "faussement". dans le titre de son ouvrage.

Denis3008 - le 11 novembre 2012

Je ne partage pas tous les points d’analyse de Bertrand Buisson :
A savoir que Obama appauvrit sa population quand contre vents et marées il se bat pour un nouveau système d’assurance sociale pour TOUS les américains.
A savoir que Obama manipule les électeurs via les votes électroniques !
Non mais vous allez un peu loin tout de même,non ? Vous les tenez d’où ces certitudes ?
Par contre je suis d’accord avec la fin de l’intervention : il faut dire,il faut accepter la vérité,aussi cruelle soit-elle.
J’ajoute que tant que l’argent sera au centre des préoccupations ,des valeurs fondamentales au lieu d’y mettre l’homme et son travail,fruit de toute existence saine et épanouissante au sein d’une collectivité en harmonie avec elle-même,on n’est pas sorti de l’auberge !