Au passage, je me demande bien ce que notre Mr.Cheminade(même si j’admets reconnaître certaines dénonciations justifiées), le "mieux du moins pire" en quelque sorte,
que nous propose-t-il concernant la Françafrique ?
Je me permets de (me) citer (commentaire posé sur un autre site) :
"Je m’intéresse (un peu de loin, mais régulièrement) aux connivences entre les élites françaises (politiques et entreprises) et certains régimes sanglants d’Afrique. Bref la "Francafrique".
Il semble de plus en plus indéniable que nos élites ont une culpabilité dans l’apparente stagnation économique du continent africain. Pire, une implication active dans le soutien à des régimes totalitaires, voire génocidaires..
Ma question cependant : ces grandes entreprises à qui "profite le crime", représentent une part conséquente de notre PIB français, donc de la richesse de notre nation et de sa population. Je n’ai pas de chiffres, qui seraient d’ailleurs durs à déterminer. J’imagine un graphique qui montre le pourcentage du PIB français issu de ces collaborations nauséabondes, au cours du temps. Mais je n’ai pas trouvé quelque chose qui y ressemble de près ou de loin."
Au passage, je me demande bien ce que notre Mr.Cheminade(même si j’admets reconnaître certaines dénonciations justifiées), le "mieux du moins pire" en quelque sorte,
que nous propose-t-il concernant la Françafrique ?
Je me permets de (me) citer (commentaire posé sur un autre site) :
"Je m’intéresse (un peu de loin, mais régulièrement) aux connivences entre les élites françaises (politiques et entreprises) et certains régimes sanglants d’Afrique. Bref la "Francafrique".
Il semble de plus en plus indéniable que nos élites ont une culpabilité dans l’apparente stagnation économique du continent africain. Pire, une implication active dans le soutien à des régimes totalitaires, voire génocidaires..
Ma question cependant : ces grandes entreprises à qui "profite le crime", représentent une part conséquente de notre PIB français, donc de la richesse de notre nation et de sa population. Je n’ai pas de chiffres, qui seraient d’ailleurs durs à déterminer. J’imagine un graphique qui montre le pourcentage du PIB français issu de ces collaborations nauséabondes, au cours du temps. Mais je n’ai pas trouvé quelque chose qui y ressemble de près ou de loin."