La gouvernance, c’est comme le gouvernement, sauf que l’on ne sait pas qui tient le gouvernail.
L’UE apparaît mieux pour ce qu’elle est, un carcan mettant ses membres au service de la finance.
La sortie de l’UE de la France pourrait être l’action déterminante pour catalyser l’abandon de ce système financier absurde au niveau international.
La France est encore un pays prestigieux et puissant. Elle est classée au premier rang du patrimoine mondial classé par l’Unesco, elle dispose d’un siège au Conseil de sécurité de l’ONU, elle est 6ème puissance économique mondiale.
En retrouvant une diplomatie indépendante, elle pourra jouer le rôle d’entremetteur entre les puissances Eurasiatiques (Russie, Chine, Inde) pour renverser ce système.
Il y a un ancien de Bercy, François Asselineau, qui est en train de monter un parti avec comme mot d’ordre "Quitter l’UE". Ce parti se nomme l’UPR.
Pourquoi S&P et l’UPR ne ferait-il pas un bout de chemin ensemble ? Il suffit à S&P de vouloir quitter l’UE.
La gouvernance, c’est comme le gouvernement, sauf que l’on ne sait pas qui tient le gouvernail.
L’UE apparaît mieux pour ce qu’elle est, un carcan mettant ses membres au service de la finance.
La sortie de l’UE de la France pourrait être l’action déterminante pour catalyser l’abandon de ce système financier absurde au niveau international.
La France est encore un pays prestigieux et puissant. Elle est classée au premier rang du patrimoine mondial classé par l’Unesco, elle dispose d’un siège au Conseil de sécurité de l’ONU, elle est 6ème puissance économique mondiale.
En retrouvant une diplomatie indépendante, elle pourra jouer le rôle d’entremetteur entre les puissances Eurasiatiques (Russie, Chine, Inde) pour renverser ce système.
Il y a un ancien de Bercy, François Asselineau, qui est en train de monter un parti avec comme mot d’ordre "Quitter l’UE". Ce parti se nomme l’UPR.
Pourquoi S&P et l’UPR ne ferait-il pas un bout de chemin ensemble ? Il suffit à S&P de vouloir quitter l’UE.