Le projet MYRRHA : l’avenir de l’humanité passe par la transmutation des déchets nucléaires
19 octobre 2009, 15:48, par cutcut
Cela me rappelle étrangement les louanges d’un certain phoenix.
Alors allons y gaiement, chantons à nouveau le progrès en marche et les lendemains radieux.
Si le projet est séduisant, et surtout s’il tient ses promesses dans un futur proche, j’en serai le premier ravi.
Mais d’ici là, force est de constater aujourd’hui que le nucléaire, ce sont surtout des milliers de tonnes de déchets hautement radioactifs, qui se baladent à la surface de la planète dans un flou peu rassurant.
Et connaissant le haut degré de responsabilisation de nos élites gouvernantes, il n’y a pas de raisons que la sécurisation de ces déchets devienne une priorité dans les mois à venir.
Ainsi, quand le nucléaire aura une solution viable à proposer du début à la fin de la chaîne de production, peut-être que je le soutiendrai, d’ici là, tant qu’on reste dans le domaine des promesses myrrhifiques, cela reste pour moi un moyen de produire de l’énergie à bas-coût au mépris de la santé humaine et des équilibres environnementaux, un exemple type de la production capitaliste.
Cela me rappelle étrangement les louanges d’un certain phoenix.
Alors allons y gaiement, chantons à nouveau le progrès en marche et les lendemains radieux.
Si le projet est séduisant, et surtout s’il tient ses promesses dans un futur proche, j’en serai le premier ravi.
Mais d’ici là, force est de constater aujourd’hui que le nucléaire, ce sont surtout des milliers de tonnes de déchets hautement radioactifs, qui se baladent à la surface de la planète dans un flou peu rassurant.
Et connaissant le haut degré de responsabilisation de nos élites gouvernantes, il n’y a pas de raisons que la sécurisation de ces déchets devienne une priorité dans les mois à venir.
Ainsi, quand le nucléaire aura une solution viable à proposer du début à la fin de la chaîne de production, peut-être que je le soutiendrai, d’ici là, tant qu’on reste dans le domaine des promesses myrrhifiques, cela reste pour moi un moyen de produire de l’énergie à bas-coût au mépris de la santé humaine et des équilibres environnementaux, un exemple type de la production capitaliste.