La faille du marxisme : composition technologique du capital contre composition organique
2 septembre 2009, 01:39, par ffi
Marx est, avec Descartes, un de ces auteurs dont le prestige m’avait poussé à mettre mon nez. A vrai dire, quelques pages ont suffit, devant la pesanteur et la froideur du verbiage, pour que j’y coupe court. Pourquoi s’engager à s’instruire d’un grand système qui ne procède que par affirmation sans aucune preuve ?
Je suis donc assez mal placé pour commenter Marx, hormis une vague impression.
Vos citations, où celui-ci fait l’éloge de Mandeville (les vices privés font la richesse publique) montre qu’il est à mille lieu de la simple notion de service public.
Ce genre d’idéologie concevant une histoire linéaire où l’homme est spectateur de lois "invisibles" et automatique le place bien dans la lignée de l’Angleterre Victorienne, car ces vues sont similaires à celles de Adams Smith ou Darwin.
Il est évident que l’homme est le moteur du progrès, si on veut bien le placer dans les conditions favorables à cela et que l’histoire du progrès est l’histoire des inventions et de leur mise à disposition de tous.
Il est sûr que ce n’est pas en saoulant nos enfants continuellement de spectacles sensationnels et ébouriffant, que l’on peut parvenir à une meilleur économie, plus créative et inventive.
Alors, l’homme : moteur du progrès, ou simple rouage d’un système ?
Marx est, avec Descartes, un de ces auteurs dont le prestige m’avait poussé à mettre mon nez. A vrai dire, quelques pages ont suffit, devant la pesanteur et la froideur du verbiage, pour que j’y coupe court. Pourquoi s’engager à s’instruire d’un grand système qui ne procède que par affirmation sans aucune preuve ?
Je suis donc assez mal placé pour commenter Marx, hormis une vague impression.
Vos citations, où celui-ci fait l’éloge de Mandeville (les vices privés font la richesse publique) montre qu’il est à mille lieu de la simple notion de service public.
Ce genre d’idéologie concevant une histoire linéaire où l’homme est spectateur de lois "invisibles" et automatique le place bien dans la lignée de l’Angleterre Victorienne, car ces vues sont similaires à celles de Adams Smith ou Darwin.
Il est évident que l’homme est le moteur du progrès, si on veut bien le placer dans les conditions favorables à cela et que l’histoire du progrès est l’histoire des inventions et de leur mise à disposition de tous.
Il est sûr que ce n’est pas en saoulant nos enfants continuellement de spectacles sensationnels et ébouriffant, que l’on peut parvenir à une meilleur économie, plus créative et inventive.
Alors, l’homme : moteur du progrès, ou simple rouage d’un système ?