Part 2
C’est la même entropie,mais pas la même forme. la première, financière et spéculative, de par sa "toujours plus grande vélocité" - Sujet que Paul
Virilio connaît en maître - ne fait qu’accroître les effets "stroboscopiques" et qui à force d’être trop rapide en devient nulle, elle s’effondre. Même chose pour la seconde, mais inversement, ce n’est plus de vitesse qu’il s’agit là, mais d’absence de celle-ci, puisque les flux liés à l’activité sociale s’arrêtent.là aussi à force de ralentir(croissance), de s’arrêter(chômage), chaque individu disparaît socialement, mais pas physiquement, et c’est justement là que cette "fausse absence" révèle l’autre entropie, et sa force qui comme pour la précédente ne s’exerce plus nulle part...
Le futur de notre société, assez tourmenté dans les années qui viennent avec un cadre de "crise exceptionnelle"
avec des dispositifs qui seront ceux de pays en "état d’urgence", nous repenserons même à notre époque actuelle en ayant à l’esprit que nous
étions encore dans un univers bien agréable....
Solidarité & Progrès
Part 2
C’est la même entropie,mais pas la même forme. la première, financière et spéculative, de par sa "toujours plus grande vélocité" - Sujet que Paul
Virilio connaît en maître - ne fait qu’accroître les effets "stroboscopiques" et qui à force d’être trop rapide en devient nulle, elle s’effondre. Même chose pour la seconde, mais inversement, ce n’est plus de vitesse qu’il s’agit là, mais d’absence de celle-ci, puisque les flux liés à l’activité sociale s’arrêtent.là aussi à force de ralentir(croissance), de s’arrêter(chômage), chaque individu disparaît socialement, mais pas physiquement, et c’est justement là que cette "fausse absence" révèle l’autre entropie, et sa force qui comme pour la précédente ne s’exerce plus nulle part...
Le futur de notre société, assez tourmenté dans les années qui viennent avec un cadre de "crise exceptionnelle"
avec des dispositifs qui seront ceux de pays en "état d’urgence", nous repenserons même à notre époque actuelle en ayant à l’esprit que nous
étions encore dans un univers bien agréable....