La « grande grippe », un jeu vidéo pour vous laver le cerveau
20 août 2009, 17:07, par ptiriso
La vie est une, il n’y a pas de bon à maintenir en vie et de « méchant » à faire mourir. C’est pareil pour les mauvaises herbes : ça n’existe pas. C’est comme les pauvres qui surgissent là où l’on ne veut pas d’eux et ont même quelquefois la témérité de faire connaître leurs besoins, ainsi que le montrent les récits de Charles Dickens.
La vie est une, il n’y a pas de bon à maintenir en vie et de « méchant » à faire mourir. C’est pareil pour les mauvaises herbes : ça n’existe pas. C’est comme les pauvres qui surgissent là où l’on ne veut pas d’eux et ont même quelquefois la témérité de faire connaître leurs besoins, ainsi que le montrent les récits de Charles Dickens.