La logique aristotélicienne contamine toute la pensée de l’homme. Nous pensons de façon linéaire, auditive. Quand nous étudions un phénomène, nous essayons de lui appliquer un modèle de façon neutre. Le modèle est fixé une fois pour toutes. Comme les 4 interactions que nous connaissons. Or observer n’est pas neutre. Parce qu’il existe des limites. La façon d’observer un phénomène conditionne les informations que nous pouvons en extraire. Nous devons donc intégrer cet aspect et construire des modèles dynamiques. Notre logique elle même doit être dynamique. Il faut abandonner nos "mètres étalons" pour des "mètres dynamiques". Notre espace est dynamique. Nos modèles doivent l’être aussi.
La logique aristotélicienne contamine toute la pensée de l’homme. Nous pensons de façon linéaire, auditive. Quand nous étudions un phénomène, nous essayons de lui appliquer un modèle de façon neutre. Le modèle est fixé une fois pour toutes. Comme les 4 interactions que nous connaissons. Or observer n’est pas neutre. Parce qu’il existe des limites. La façon d’observer un phénomène conditionne les informations que nous pouvons en extraire. Nous devons donc intégrer cet aspect et construire des modèles dynamiques. Notre logique elle même doit être dynamique. Il faut abandonner nos "mètres étalons" pour des "mètres dynamiques". Notre espace est dynamique. Nos modèles doivent l’être aussi.