Marx tomba sous l’infulence d’Urquhart au même moment où Carey convainquit l’opinion américaine d’être du côté russe lors de la guerre de Crimée. Carey et Greeley ne défendirent aucunement le régime tsariste, tous deux profondément républicain. Ils se préoccupaient cependant du développement économique qui devait notamment mener à l’émancipation des serfs. En bref, Carey essayait d’organiser une alliance des nations face à la politique économique de l’Empire britannique qui supprimait le développement. On les attaqua toujours en essayant de leur dire qu’ils défendaient le tsariste contre la liberté…Carey écrivit l’excellent The European Imbroglio, NYT, 6 juin 1855 qui répondit au Times qui ne comprenait pas comment pouvait défendre le régime russe –comme ci cela importait vraiment, Londres défendait n’importe quel type de régime, pourvu que suivait le libre-échange - après tout l’Empire Ottoman n’était pas le paragon de liberté ni la dictaure de Napoléon III… Carey de répondre : « That such should be the opinion of that journal does not in the least surprise us, for John Bull has so long been accustomed to proclaim himself the champion of freedom and the herald of civilization that he has, to all appearances, come to believe the story himself » et Carey de faire un cours 101 de l’histoire des politiques guerrières de l’Empire britannique et les politiques économiques désastreuses comme en Irlande, Indes, etc..
Solidarité & Progrès
Marx tomba sous l’infulence d’Urquhart au même moment où Carey convainquit l’opinion américaine d’être du côté russe lors de la guerre de Crimée. Carey et Greeley ne défendirent aucunement le régime tsariste, tous deux profondément républicain. Ils se préoccupaient cependant du développement économique qui devait notamment mener à l’émancipation des serfs. En bref, Carey essayait d’organiser une alliance des nations face à la politique économique de l’Empire britannique qui supprimait le développement. On les attaqua toujours en essayant de leur dire qu’ils défendaient le tsariste contre la liberté…Carey écrivit l’excellent The European Imbroglio, NYT, 6 juin 1855 qui répondit au Times qui ne comprenait pas comment pouvait défendre le régime russe –comme ci cela importait vraiment, Londres défendait n’importe quel type de régime, pourvu que suivait le libre-échange - après tout l’Empire Ottoman n’était pas le paragon de liberté ni la dictaure de Napoléon III… Carey de répondre : « That such should be the opinion of that journal does not in the least surprise us, for John Bull has so long been accustomed to proclaim himself the champion of freedom and the herald of civilization that he has, to all appearances, come to believe the story himself » et Carey de faire un cours 101 de l’histoire des politiques guerrières de l’Empire britannique et les politiques économiques désastreuses comme en Irlande, Indes, etc..