Contrairement à ce qu’a écrit Benoit Chalifoux, je trouve que ce film ne dénonce pas la coopération internationale, puisque l’héroïne doit son salut à son passage dans l’ISS sous contrôle russe (elle va même jusqu’à revêtir une combinaison d’astronaute russe sur laquelle le drapeau russe est bien visible et elle sait même lire le russe), puis à son arrivée dans une station spatiale chinoise.
Contrairement à ce qu’a écrit Benoit Chalifoux, je trouve que ce film ne dénonce pas la coopération internationale, puisque l’héroïne doit son salut à son passage dans l’ISS sous contrôle russe (elle va même jusqu’à revêtir une combinaison d’astronaute russe sur laquelle le drapeau russe est bien visible et elle sait même lire le russe), puis à son arrivée dans une station spatiale chinoise.