Communiqué
Paris, le 8 décembre 2012 – Hier au Palais de l’Elysée, le Président de la République a reçu Jacques Cheminade pour le consulter sur ses propositions concernant la réforme de la vie politique. Les deux hommes ont aussi évoqué brièvement l’enjeu de la réforme bancaire qui sera présentée en Conseil des ministres le 19 décembre.
Durant l’entretien d’une demi-heure, Jacques Cheminade a exposé ses contre-propositions aux conclusions de la Commission Jospin, insistant sur la nécessité de mettre un terme au système du financement des partis, qui n’est pas actuellement de nature à « refléter la diversité des courants de pensée et d’opinion ». Le fondateur de Solidarité & Progrès a notamment proposé d’instaurer un crédit d’impôt pour inciter l’ensemble des français à financer les partis, en lieu et place du système actuel de déduction fiscale favorisant les 50 % de Français assujettis à l’impôt sur le revenu. Il a aussi évoqué la nécessité de mettre fin à la « discrimination bancaire » des candidats à la présidentielle en obligeant les banques à prêter un montant minimum à ceux ayant rassemblé les 500 parrainages d’élus et ayant été admis à se présenter par le Conseil constitutionnel.
A ce sujet, Jacques Cheminade a défendu le système actuel des 500 parrainages, à condition que tous les parrainages de chaque candidat soient rendus publics. Il juge que le système de parrainages citoyens serait d’une part difficile à mettre en place dans la pratique, et d’autre part que le filtre des corps intermédiaires reste légitime dans une élection présidentielle.
Il a aussi exprimé son accord sur l’instauration d’une part de proportionnelle aux élections législatives, mais à hauteur d’au moins 20 % pour que soit réellement assurée la représentativité des courants. Il a également recommandé que, comme pour la présidentielle, les bulletins de vote et les déclarations de candidature soient pris en charge par l’Etat, car actuellement les « frais d’imprimerie » à la charge des candidats constituent un barrage financier à la pluralité ; un crible restant à déterminer devrait évidemment être ici aussi mis en place. Cheminade s’est également exprimé contre le cumul des mandats pour les députés, mais pas pour les sénateurs car pour lui le Sénat doit être une assemblée des territoires impliquant par sa nature même la présence de titulaires de responsabilités locales.
Jacques Cheminade a également fait part au Président de la République de la nécessité de réformer le Conseil constitutionnel et de prévoir la fusion du Sénat avec le Conseil économique et social, suivant la conception inspirée en son temps par Pierre Mendès France.
Jacques Cheminade a remis au Président une note de 9 pages contenant l’ensemble de ses recommandations. Il a finalement fait part de la nécessité d’une séparation stricte des banques, à l’image du Glass-Steagall, entre banques de dépôt et de crédit d’une part, et banques d’affaires et de marché de l’autre.
L’Agence France Presse, dont un représentant s’est entretenu pendant plusieurs minutes avec M. Cheminade sur l’ensemble de ces questions, a jugé ne pas devoir publier – du moins pour l’instant – un communiqué.
# Jean-Gabriel Mahéo
• 10/12/2012 - 20:24
(suite) Ainsi, Jacques Cheminade, muni des 500 signatures de grands électeurs et d’un tout petit trésor de campagne issus exclusivement des dons des sympathisants, s’est vu refuser le prêt bancaire par toutes les banques, alors qu’il avait la garantie du remboursement des frais de campagne à hauteur de 150 000 € assurée par son statut de candidat officiel. Tout les autres candidats, que je sache, ont bénéficié de prêts bancaires. Mais les banques n’aiment PAS DU TOUT Jacques Cheminade. Elle lui ont apparemment préféré Mélenchon, Poutou, Arthaud ou Marine, sans parler des autres... Allez savoir pourquoi...
Une bonne réforme, pour que les partis soient effectivement et essentiellement représentatifs, serait d’obliger à ce que le financement des partis ne proviennent que de citoyens ou d’entreprises françaises, d’interdire le financement par le secteur financier transnational ou étranger, et que les noms de ces donateurs soient publics. Il faudrait aussi valoriser l’acte de contribuer au financement des partis, sans discrimination.
Le système actuel des partis, pour imparfait qu’il soit, n’est pas la cause des problèmes que vous soulignez. Il faut rendre au peuple ses partis, et donc les arracher des griffes des financiers qui se les sont accaparés contre notre intérêt.
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# Eric
• 08/12/2012 - 20:42
Jacques Cheminade n’est pas un démocrate mais un défenseur du gouvernement faussement représentatif qui opprime les Français depuis deux siècles. Jacques Cheminade approuve l’existence des partis politiques alors même qu’ils se dressent entre le peuple et l’exercice de sa souveraineté et doivent donc disparaître de la scène politique. Il approuve également l’existence de la fausse Assemblée nationale et du Sénat où siègent des grands bourgeois qui ne consultent jamais les Français et servent les intérêts des oligarchies financière et industrielle (cette dernière comprend le funeste complexe militaro-industriel).
Si la France était une démocratie, il y aurait une véritable Assemblée nationale dont les membres seraient tirés au sort et renouvelés fréquemment. Cette Assemblée nationale aurait pour fonction d’approuver ou non les projets de lois rédigés par des citoyens lambdas (un projet de loi devrait obtenir un certain nombre de voix pour pouvoir être soumis à l’Assemblée nationale) ou des experts (les experts pourraient également améliorer ceux rédigés par des citoyens lambdas). Au cas où un projet de loi serait approuvé par l’Assemblée nationale, il devrait ensuite être soumis au peuple français qui aurait la possibilité de le rejeter.
Quant aux membres du gouvernement, ils seraient également tirés au sort (parmi des individus compétents), devraient rendre des comptes et seraient facilement révocables.
# Sylvère Labis
• 09/12/2012 - 07:35
Interdire les partis maintenant serait installer une dictature. La situation actuelle est déplorable mais tient compte encore d’un certain équilibre. La mise en place du tirage au sort implique des bouleversements importants qui ne peuvent pas se produire sans un mouvement populaire puissant bousculant tous les pouvoirs des prédateurs actuels. On nous a déjà fait le coup de la disparition des frontières et du dépérissement des Etats-Nations qui ne nous ont pas apporté autre chose qur la dictature des marchés dans une zône de libre-échange qui ressemble de plus en plus à une colonie... Et ce n’est qu’un exemple des arnaques généralisées, issues de slogans libertaires ou marxistes utilisés à contre temps.
# Gimo35
• 09/12/2012 - 10:16
"parmi des individus compétents"
... merci à Eric de cette précision qui montre le ridicule de son commentaire et que c’est lui qui n’est pas un démocrate et encore moins un humaniste.
# Eric
• 09/12/2012 - 18:13
Sylvère Labis a écrit :"Interdire les partis maintenant serait installer une dictature."
Sylvère cette phrase prouve que tu es conditionné car c’est au contraire sous le règne des partis, en l’occurrence de l’UMPS, que la France subit une dictature. Les partis politiques, produits de l’anachronique système monétaire, divisent les individus en plus de leur voler leur souveraineté. Par ailleurs, comment peux-tu comparer l’instauration du tirage au sort avec la disparition des frontières qui est une mesure néolibérale !? Le principe du tirage au sort redonnera, au contraire, vie aux Etats-nations et ce principe (son usage politique) n’a rien à voir avec le marxisme et le libéralisme libertaire puisqu’il fut instauré à Athènes au VIème siècle avant J.-C.
Gimo35, tu te crois capable, par exemple, d’être ministre de l’agriculture ou de l’industrie ? Moi non, et je ne pense pas être le seul.
# charlitango
• 09/12/2012 - 22:39
Pas eu besoin de tirage au sort pour créer le concept novateur de nation (sans idéologie de race ou de sang contrairement à la Grèce antique !), donner 60 ans sans crise financière ou créer la classe moyenne après la libération,... !! Principe de réalité avant d’oser monter sur ses grands chevaux. D’autant que qui refuse les améliorations progressives de Cheminade et est donc le salop dans cette histoire ?
Après tu pourras t’intéresser à la frousse qu’à filer Cheminade en 95 en profitant de toutes les failles du système TEL QU’IL EST et les conséquences REELLES qu’il a du supporté, "ça te fera les pieds" si tu me permets l’expression...
# Thoutmes
• 10/12/2012 - 08:00
Eric, votre commentaire, un peu irréaliste, mérite attention. Les partis sont effectivement antidémocratiques. Ils se substituent abusivement à la volonté générale et à l’intérêt collectif. Les élus sont en principe "élus du peuple", or dans le système partisan actuel ils ne représentent plus que les intérêts du parti qui leur a permis de se présenter et a financé leur élection. Les partis également font une présélection de candidats pour lesquels ils autorisent le vote populaire. C’est leur existence qui crée les réseaux d’influence qui font que J. Cheminade n’existe pas pour l’AFP alors que les Verts ou Poutou sont médiatisés.
De la même manière, qu’un accord entre partis permette à des représentants écologistes désavoués par le vote populaire, d’exercer le pouvoir dans certains ministères et d’exiger que leurs lubies soient mises en œuvre (les récentes interventions de Placé) montre bien que nous ne sommes plus dans un système démocratique.
Les solutions que vous préconisez ne sont malheureusement pas les bonnes. Il faudrait d’abord des votes secrets au Sénat comme à l’Assemblée Nationale, obliger les "grands" partis à présenter deux ou trois candidats par circonscription, et procéder par des votations comme en Suisse pour tous les sujets impactant l’organisation sociale ou le mode de vie.
Il faudrait en outre dissoudre toutes les grandes associations exerçant un lobbying politique.
C’est déjà un vaste programme...
# Jean-Gabriel Mahéo
• 10/12/2012 - 20:21
@ Eric :
Les partis, les factions, les regroupement, les coteries sont des formes d’associations, comme l’est une nation. Elle proviennent de l’instinct naturel de l’homme à s’associer pour permettre à force commune un meilleur avenir à tous et à chacun.
Vous n’avez pas entièrement tort dans votre analyse du dysfonctionnement du système partisan actuel, mais vous ratez sa cause : le financement des partis. Depuis les années 80, réformes après réformes du mode de financement des partis et des campagnes électorales, les partis ont perdu la base financière populaire et sociale (personnes physiques et personnes morales) rendue interdite ou très étroite, et sont aller chercher auprès des banques et du monde financier la puissance qu’ils avaient perdus avec les successives réformes. Aujourd’hui, pour mener sérieusement campagne, il faut soit être millionnaire (milliardaire pour une présidentielle), soit solliciter auprès des banques un prêt.
Les partis, à force, obéissent à ceux qui paient, c’est triste mais c’est une réalité, quel que soit la valeur des individus qui les composent.
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# petite souris
• 09/12/2012 - 13:38
La première dépêche de la France libérée est émise le 20 août 1944.
L’OFI devient l’Agence France-Presse.
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L’AFP est-elle encore libre ?
L’AFP s’auto censure ?
# Gimo35
• 09/12/2012 - 19:50
Peux-tu répondre à tes propres questions ?
Quel est ton point de vu précis sur l’AFP ?
Comment expliques-tu leur réaction ?
# Bertrand Buisson
• 09/12/2012 - 23:07
La direction politique de l’AFP a décidé dès le début de la campagne présidentielle de saboter Cheminade ; elle a refusé de reprendre les communiqués de campagne, multiplié les dépêches assassines, relayer les rumeurs/buzz les plus bêtes et lourdement participé au tribunal sur LCP :
http://www.lcp.fr/emissions/questions-d-info/vod/124224-jacques-cheminade-candidat-solidarite-et-progres-a-l-election-presidentielle
Depuis le 23 avril, c’est le boycott total, que ce soit la rencontre avec Hollande (Même Poutou et Arthaud ont eu droit à des dépêches) ou bien les poursuites de l’Etat contre Cheminade et le dépôt de sa QPC.
L’AFP avait aussi été clé dans la campagne de calomnie en 1995. Il s’agit à l’AFP ou ailleurs, d’un petit réseau de vieux journalistes usés par la vie mondaine et dépourvus de tout sens moral. Après on peut toujours se demander si ce genre de gens agissent en indépendants...
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# Patrick
• 09/12/2012 - 01:45
Cumul des mandats et fonctionnement des 2 chambres.
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Je ne crois pas que l’exercice d’un mandat local rapproche les élus des citoyens. Pour connaître les joies et les peines des citoyens, il faut vivre avec eux. Un élu est de par son statut une personne importante, protégée, à qui on réserve les meilleures places aux spectacles, et qui impressionne ses administrés. C’est la personne la moins bien placée pour juger de la situation de ses administrés.
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Le Senat n’a donc aucune raison d’échapper au non cumul des mandats.
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De plus, dans notre démocratie de godillots, les élus votent quasiment toujours selon la ligne du parti et non selon la ligne de leur territoire. Pour qu’ils votent dans l’intérêt de leur territoire, il faudrait qu’ils s’émancipent des partis, il faudrait donner plus de pouvoir aux régions, régénérer le personnel politique, le diversifier et donc ne pas cumuler. Il faudrait aussi introduire une bonne dose de proportionnelle.
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Pour moi, la meilleure façon serait, non pas de se battre sur le chiffre de 10% ou 20% de proportionnelle à l’assemblée nationale, mais d’avoir 0% de proportionnelle à l’assemblée nationale et 100% de proportionnelle à la 2eme chambre qui deviendrait la chambre des citoyens.
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La représentativité territoriale, en France, a vécu. Elle devrait être remplacée par un pouvoir accru des régions.
# petite souris
• 09/12/2012 - 13:31
Le cumul de deux mandats par ex. maire d’une commune de moins de 1000 habitants et député why not ....
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pour lutter efficacement contre la corruption les magouilles et autres lobbies, combines et pouvoirs aux petits copains............
il faut diminuer le nombre des mandats !!!!! à deux consécutifs ou non ............
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la vie professionnelle dure 40 ans + ou -
un mandat est d’environ 5 ans ... deux mandats donc 10 ans
soit 1/4 de sa vie professionnelle au service de son pays et du bien commun
avec des aménagements pour retrouver son métier ou poste précédent
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Il y aura moins de candidats à ces places privilégiées et donc des gens qui veulent réellement s’impliquer
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Il s’agit d’assainir la vie politique ou la laisser à une corporation qui tue la démocratie
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# Odile Perfumo
• 09/12/2012 - 12:07
L’entretien est à lui seul une source d’espoir.
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# Batman
• 08/12/2012 - 23:07
Trop gentil Mr Cheminade avec l"oligarchie bourgeoise du pouvoir , un peu plus d’exigence et de fermeté , plutot que des suggestions florentines, permettraient sans doute aux francais qui espèrent tant un Véritable Changement ainsi que la mise sous controle d’Etat des Mafias Bancaires et des Spéculateurs Criminels , de pouvoir enfin espérer autre chose que la continuation du système actuel plus proche de la monarchie oligarchique que d’une authentique Démocratie tournée vers l’Avenir et le Bien de l’Humanité .
J’espère que celà sera une authentique prise en compte des revendications légitimes et des convictions des militants de Solidarité et Progrès,
plutot qu’un adoubement par MonSeigneur Hollande, du Représentant d’une petite partie du peuple, mais qui a de grandes et pragmatiques convictions.
Par pitié , Mr Cheminade , ne devenez pas le Nième laquet du Prince du Palais, afin de pouvoir rentrer par la petite porte au seing du cercle très fermé des politiciens qui sont autorisés par le Sérail à pouvoir faire un peu de politique , mais sans avoir les moyens techniques de concrétiser leurs projets.
Ce n’est pas d’un nouvel Edgard Faure dont nous avons besoin, mais bien d’un Homme d’Etat au sens propre ,
qui s’inspire tout à la Fois de De Gaulle et de Roosevelt .
# Bertrand Buisson
• 09/12/2012 - 12:03
Croyez-vous sincèrement que Jacques Cheminade jetterait aux orties l’engagement militant de toute une vie, où il a refusé honneurs et carrière pour défendre ses idées, pour un poste ou un strapontin ?
Ca serait ne pas comprendre ce qui se dit sur ce site, ce qui se passe dans le monde et ce que S&P fait sur le terrain chaque jour. Quand même Batman ! Vous n’avez pas le monopole du super héros !
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# Patrick
• 09/12/2012 - 01:27
Parrainage des candidats à la présidentielle.
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En termes de représentativité, le système actuel est assez équitable. La critique vient de la discrimination qu’il crée entre les grands partis qui n’ont aucun effort à faire pour obtenir leurs signatures et les petits partis qui doivent sillonner le terrain, mais surtout s’investir financièrement et y consacrer un temps important au détriment de la campagne électorale.
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L’idée serait d’améliorer le système existant. Il ne faudrait pas 500 mais 1000, voire 1500 signatures.
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En contre partie, les maires n’auraient pas le « droit » de donner leur signature, mais le « devoir » de le faire. Ainsi au lieu d’avoir 1/3 des maires qui signent, 100% signeraient.
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Il existe également un 2eme inconvénient au système actuel : un grand nombre de maires ne veulent pas être catalogués, d’autres, liés à un parti, ne peuvent pas exprimer leur différence.
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La solution n’est pas l’anonymat. La solution serait, qu’au lieu d’avoir 1 signature, chaque maire en aurait 2.
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# Patrick
• 09/12/2012 - 01:12
Le financement des partis politiques devrait faire l’objet d’un vote national. La question serait "Quel parti souhaitez-vous financer ?". Ce vote s’effectuerait le même jour que les élections législatives afin d’assurer un bon taux de participation.
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Aujourd’hui, le financement des partis politiques est fonction du résultat des élections législatives. Or, lors de ces élections, l’électeur a une double contrainte : il vote à la fois pour soutenir un programme politique, mais aussi pour donner le pouvoir à un élu. Le souci du vote "utile" se pose forcément. Combien d’électeurs font ce choix du vote "utile", et reporte, dès le 1er tour, leur voix sur le 2ème candidat, au détriment du candidat qui les représentent le mieux ? Quant au financement des partis politiques, quel électeur s’interroge sur le parti qu’il souhaite financer lorsqu’il dépose son bulletin dans l’urne ?
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Ainsi, on se trouve dans la situation saugrenue, où l’argent, le nerf de la guerre, se trouve distribué au travers d’électeurs inconscients d’avoir participé au financement d’un parti. A l’évidence, ce système favorise les grands partis traditionnels et siphonne le financement des petits partis politiques.
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Une élection dédiée au financement des partis politiques éviterait ces écueils, aiderait les petits partis, permettrait l’émergence d’idées nouvelles, ouvrirait de nouveaux horizons aux électeurs et constituerait un progrès pour la démocratie.
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# petite souris
• 08/12/2012 - 22:51
points positifs :
* Hollande reconnait Jacques comme un interlocuteur
* Hollande ne pourra pas dire qu’il n’a jamais entendu parler du Glass-Steagall
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question :
Que fera-t-il des idées de Jacques ?
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On le saura bientôt .......................
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# olivier
• 08/12/2012 - 17:36
le 4ième pouvoir inféodé à la banque fait obstacle à la divulgation de cette rencontre....
Faut-il s’en étonner, s’en offusquer...
Puisse Hollande s’inspirer d’un humaniste comme Cheminade !
Ce serait une révolution.
Lui qui est tant incompris, tant calomnié...
Olivier...pas juste un fan...
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