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Vitrenko exige que le monde reconnaisse la nature néo-nazie du putsch en cours en Ukraine

Le Dr Natalia Vitrenko, présidente du Parti progressiste socialiste d’Ukraine, a publié hier une déclaration après que des guérilleros marchant sous la bannière rouge et noire du collaborateur nazi Stepan Bandera ont commis des actes de violence dans le centre de Kiev.
« C’est seulement lorsque la communauté mondiale aura reconnu la nature néo-nazie du putsch que la violence en Ukraine pourra être arrêtée », est le titre de sa déclaration.

Vitrenko a rapporté que le sang a coulé à nouveau hier, après que des colonnes organisées et lourdement armées, sous prétexte d’une marche pacifique sur la Rada suprême à l’appel mensonger des dirigeants de l’Euromaidan (Iatsenouk, Klitschko et Tyahnybok), ont tenté de saccager la Rada (Parlement) et attaqué tant la police que des manifestants pacifiques du Parti des régions, actuellement au pouvoir. Elle a accusé les dirigeants de l’opposition d’avoir incité cette nouvelle vague de violence et les a tenus responsables pour le sang versé. Mais elle a ajouté :

La responsabilité pour la violence, le sang, les morts et les blessés, et la guerre civile en Ukraine, n’incombe pas seulement aux organisateurs de l’Euromaidan, aux guérilleros et aux terroristes, mais également aux dirigeants de l’Union européenne et des Etats-Unis qui ont, dans leur myopie politique, confondu un putsch nazi avec une révolte populaire pacifique en défense des valeurs européennes.

Vitrenko a répété ce qu’elle avait déclaré dans une vidéo du 13 février, qui est que les politiques étrangers se rendant sur le Square de l’Indépendance (Maidan Nezalezhnosti) refusent délibérément de reconnaître que toute la zone du Maidan est décorée de graffiti néo-nazis, tandis que des « menaces nazies » telles que « poignardons les moscovites » et « gloire à la nation – mort aux ennemis » sont scandées continuellement. « Pour une raison quelconque, ils n’arrivent pas à voir que ce qui arrive en Ukraine est parfaitement similaire à la saisie du pouvoir par les nazis en Allemagne. »

En conclusion, elle a ajouté :

En tant que dirigeante d’un parti d’opposition de gauche en Ukraine, j’appelle la communauté mondiale à regarder ce qui est au cœur de nos problèmes en Ukraine. Il s’agit d’un putsch néo-nazi, visant à établir une dictature nazie. Le droit international et les valeurs européennes, la défense des droits humains en Ukraine (et dans le monde), ainsi que les principes démocratiques, obligent toutes les nations du monde et toutes les forces progressistes à s’unifier dans le but de bannir les partis et mouvements néo-nazis en Ukraine. Sinon il sera impossible de stabiliser la situation et d’obtenir des changements démocratiques.

Vitrenko avait remercié dans sa déclaration vidéo du 13 février Helga Zepp-LaRouche, fondatrice de l’Institut Schiller, pour son intervention récente dans une réunion du National Endowment for Democracy (NED) à Washington D.C., où elle avait dénoncé depuis la salle : « Sous couvert de ’’démocratie’’, vous vous ingérez dans les affaires internes de l’Ukraine et vous pourriez déclencher une troisième Guerre mondiale. »

Vitrenko a terminé en disséquant les faussetés contenues dans les plus récentes résolutions adoptées tant par le Congrès américain que le Parlement européen sur l’Ukraine.

Le soutien apporté par le Parlement européen aux insurgés actuels est particulièrement outrageant, étant donné les résolutions antérieures de ce même Parlement condamnant les mouvements politiques néo-nazis en Ukraine. En 2010, le Parlement européen avait déclaré que celui-ci :

Regrette vivement la décision du président ukrainien sortant, Victor Iouchtchenko, d’accorder à titre posthume à Stepan Bandera, chef de l’organisation nationaliste ukrainienne OUN qui collabora avec l’Allemagne national-socialiste, le titre de « héros national de l’Ukraine »

Ce même Parlement a déclaré dans une résolution adoptée le 13 décembre 2012, qu’il :

S’inquiète de la montée du sentiment nationaliste en Ukraine, qui s’est traduit par le soutien apporté au parti « Svoboda », lequel se trouve ainsi être l’un des deux nouveaux partis à faire son entrée à la Verkhovna Rada ; rappelle que les opinions racistes, antisémites et xénophobes sont contraires aux valeurs et principes fondamentaux de l’Union européenne et, par conséquent, invite les partis démocratiques siégeant à la Verkhovna Rada à ne pas s’associer avec ce parti, ni à approuver ou former de coalition avec ce dernier.

Aujourd’hui, fait remarquer Vitrenko, les responsables européens et américains sont en contact constant avec le dirigeant de Svoboda, Oleh Tyahnybok.

Lundi 24 février 19h00 :

Conférence-débat à Paris : Non au coup d’Etat occidental en Ukraine !

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  • Eric • 20/02/2014 - 10:42

    "... les principes démocratiques, obligent toutes les nations du monde et toutes les forces progressistes à s’unifier dans le but de bannir les partis et mouvements néo-nazis en Ukraine."
    Mme Vitrenko, si vous étiez une vraie démocrate vous diriez qu’il faut bannir tous les partis politiques d’Ukraine et non pas seulement les partis et mouvements néo-nazis. Plus bas dans cet article figure un oxymore : "partis démocratiques". Etant donné qu’il n’y a pas de partis politiques dans une démocratie, il ne saurait exister des "partis démocratiques".

    Répondre à ce message

  • liguori aurelien • 20/02/2014 - 16:55

    Sous entendre que bandera est un collaborationniste est une honte. c’est un nationaliste qui s’est battu contre les nazis et l’URSS durant la seconde guerre mondiale.
    Que des néo-nazie est récupéré sont image est une chose, mais ne lui attribuez pas des actes qu’il n’a pas commis.

    • Philippe Bosc • 20/02/2014 - 17:52

      Je connais tres bien l’Ukraine . Les Etats Unis et l’Europe n’auraient jamais du mettre leurs nez en Ukraine comme ils l’ont fait : Les politiciens polonais , allemands ...et americains n’avaient pas a aller a Kiev pour encourager a la revolution . ( Imaginez par example les anglais venir a Paris pour encourager le peuple a la rebellion ...). Ils sont en partis responsables de ce qui arrive .
      Certes le president ukrainien est tres corrompu . Mais en Ukraine la corruption est partout . ( classe 150em pays le plus corrompu sur une echelle de 170 pays / au meme niveau que le Nigeria )
      Effectivement , en supportant le soulevement , L’Europe a encourage les gropuscules nationalistes et fachistes de l’Ouest ukrainiens surnommes ’’Bandera ’’ : Car ils continuent de glorifier la memoire de Stepan Bandera qui collabora avec les allemands pendants la guerre . ( Et je connais tres bien l’Histoire de ce pays...)
      Ce sont eux qui combattent contre la police .
      Ce bain de sang etait a prevoir .
      Et attention aux risques de guerre civile entre l’ouest et l’est

    • liguori aurelien • 21/02/2014 - 08:44

      Bandera est mort en camp de concentration avec ses frères et ses soeurs après avoir combattu Hitler sur un front et l’URSS sur un autre, c’est un héros ukrainien dire qu’il a collaboré et pour moi une honte a la mémoire de cette hommes.
      L’occident n’a pas a ingéré dans les affaires de l’Ukraine je n’ai jamais dit le contraire et si les manifestants veulent leur révolution nationaliste sa ne regarde ni l’occident ni la Russie.

    Répondre à ce message

  • nepoznat • 20/02/2014 - 22:30

    décidément, l "ouest" ne pardonne pas la Russie de l’entraver en Syrie...
    de la même façon que la révolution orange était pilotée par l’ouest, il en est de même pour ce conflit de guerre civile dit de "Maidan".
    Grosse différence : lors de la révolution orange, les occidentaux se sont appuyés sur les éléments civils de la population, là, il s’agit principalement de groupes paramilitaires, armés (d’où le nombre de morts des deux côtés). Il s’agit de groupes néo-nazis très différents du mouvement orange. Ces gens-là qui mettent le pays à feu et à sang ne sont pas "pro européens", ils sont "anti russes" au nom d’un nationalisme ukrainien (qui peut même être expansionniste sur la Russie au nom de la fameuse Rus’ de Kiev).
    La clique "internationale" les soutient uniquement en vue d’affaiblir la Russie poutinienne, mais elle pourrait à terme s’en mordre les doigts.
    C’est amusant, ces gens qui stigmatisent les extrêmes ici mais qui les attisent là-bas, en Syrie comme à Kiev. Comme quoi, il y a de bons terroristes islamistes et de bons néo-nazis...
    Au besoin de propagande, on peut les travestir en "peuples aspirant à la liberté". Ahhh, il n’est pire guerre que celle de l’information.

    Répondre à ce message

  • petite souris • 20/02/2014 - 14:05

    Je crains que contrairement à Natalia Vitrenko, qui est une femme politique, que les dirigeants de l’Union européenne et des Etats-Unis n’aient jamais confondu un putsch nazi avec une révolte populaire pacifique en défense des valeurs européennes !
    "Ils" ont utilisé la complexité des "révoltés" pour arriver à leur but : la destitution de Poutine qui ose faire de la Russie un grand pays développé, ce qui va à l’encontre de la gouvernance dictatoriale de l’oligarchie financière ..............

    Répondre à ce message

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La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

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en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

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Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

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