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La Monarchie britannique au coeur du fascisme vert

Intervention de Richard Freeman, journaliste d’investigation, lors de la visioconférence de l’Institut Schiller des 20 et 21 mars 2020 sur le thème : « Deux mois après l’investiture de Biden, le monde à la croisée du chemin. » Pour voir le programme complet et accéder aux liens vers les différents discours, cliquez ICI.

Par Richard Freeman,
journaliste d’investigation, Executive Intelligence Review (EIR)

Ce projet, sous couvert d’environnementalisme, engendrerait un recul drastique de démographie mondiale, un arrêt de la production agro-industrielle, au grand profit d’une bulle spéculative verte de 40 000 milliards de dollars, le tout mis en œuvre sous le règne dictatoriale des banquiers centraux.

Dans la même veine, le président Joe Biden vient de prendre deux décrets très importants — les ordonnances 13990 et 14008 – dès les premiers jours de sa présidence, ainsi que d’autres programmes tels que le document d’orientation « Making Mission Possible », afin de rendre possible la mise en oeuvre de ce Green New Deal.

Tout cela se passe à un rythme effréné, sans que les gens ne s’en aperçoivent. À moins que nous mettions un terme aux plans du Prince et de ses amis, l’économie physique va être mise en ruine, et il s’ensuivra génocide sans doute plusieurs fois supérieur à celui d’Hitler.

L’environnementalisme tue

En février dernier, l’Executive Intelligence Review (EIR), l’hebdomadaire fondé par le penseur américain Lyndon LaRouche a publié un rapport spécial intitulé « Le grand bond en arrière : LaRouche expose le Green New Deal » , que je vous encourage à vous procurer. Je vais vous en présenter quelques points saillants.

Pour comprendre la véritable nature du Green New Deal, il faut connaître son histoire et son intention. Car il n’est pas tombé du ciel.

Le Green New Deal n’a pas été conçu en 2017, comme cela est souvent affirmé en toute mauvaise foi. Il s’agit en réalité de l’aboutissement d’un projet de 75 ans. Le Green New Deal est une politique soigneusement conçu dans l’objectif de réduire drastiquement la population, sans réel préoccupation pour l’environnement.

Les génocidaires qui ont élaboré le Green New Deal estiment que seuls les ultra-riches, les 3% ou 4% supérieurs de la population, sont aptes à survivre ; ils considèrent les 96% restant comme, selon les termes des nazis, « des bouches inutiles ».

Cette diapositive (voir ci-contre) montre trois personnes : à gauche, le prince Philip, époux royal et père du prince Charles ; au centre, le prince Bernhard des Pays-Bas et à droite Julian Huxley.

En 1946, Julian Huxley lança un appel en faveur de la relance de la politique nazie d’eugénisme — un an seulement après la fin de la Seconde Guerre mondiale.

La même année, Huxley était nommé à la tête de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). Dans sa déclaration de prise de fonction, Huxley affirmait :

Le poids mort de la stupidité génétique, de l’instabilité mentale et de la prédisposition à la maladie, qui existent déjà dans l’espèce humaine, s’avérera un fardeau trop lourd pour que de réels progrès soient réalisés. Ainsi, même s’il est tout à fait vrai que toute politique eugénique radicale sera pendant de nombreuses années politiquement et psychologiquement impossible, il sera important pour l’UNESCO de faire que le problème eugénique soit examiné avec le plus grand soin possible et que l’esprit du public reste informé des problèmes en jeu, de sorte que ce qui est maintenant impensable puisse au moins devenir pensable.

En 1946, la question de l’eugénisme était très délicate. Même si Huxley en inscrivit le terme dans la déclaration de politique de l’UNESCO, il se serait littéralement tiré une balle dans le pied s’il avait ouvertement qualifié ce mouvement d’« eugéniste » ; il a donc opté pour le terme « environnementalisme ».

Quant au duc d’Édimbourg, le prince Philip, dans l’avant-propos de son livre If I Were An Animal (Si j’étais un animal), publié en 1987, il a écrit, parlant de la croissance de la population humaine :

Je dois avouer que je suis tenté de demander à être réincarné en tant que virus mortel.

Les princes Philip et Bernhard des Pays-Bas ont créé avec Huxley le World Wildlife Fund (WWF) en tant que centre de pilotage de ce qui allait devenir la « Grande Réinitialisation ».

Et ils ont déployé le fils de Philip, Charles, pour en faire la promotion. Le pouvoir du Prince Charles ne provient pas de lui-même, mais de sa position dans un arrangement institutionnel impliquant la monarchie, les institutions financières liées à la City de Londres, à Wall Street et à la Banque d’Angleterre, et les services de renseignements britanniques — MI-5, MI-6, GCHQ. Je tiens à souligner qu’il existe également d’autres forces.

Au début des années 1990, le Prince Philip et consorts ont déployé le Prince Charles afin d’organiser le Sommet de la Terre, qui s’est tenu en 1992 à Rio de Janeiro, au Brésil, et d’en contrôler l’ordre du jour. Ce sommet s’est tenu en grande pompe, avec plus de 100 chefs d’État et 38 000 participants.

Premièrement, alors que le Groupe d’experts international sur le changement climatique (GIEC) avait précédemment attribué le changement climatique autant à l’homme qu’à la nature, le sommet de Rio a affirmé que l’homme en était la cause unique. Le sommet a fixé des objectifs très élevés en termes de réductions des gaz à effet de serre ; ces réductions ont été rendues obligatoires lors du sommet de Kyoto cinq ans plus tard en 1997.

Le sommet de la Terre de Rio est devenu la référence pour tous les futurs sommets environnementaux des Nations Unies, qui se tiennent tous les cinq ans.

Deuxièmement, en 2008, en s’appuyant sur ses proches conseillers, John Porritt et Tony Juniper, que j’appelle les petits hommes verts de Charles, le Prince a lancé en Grande-Bretagne le Green New Deal, en créant une organisation portant ce nom, mais mise en place dans l’intention d’être exportée vers les États-Unis —soit neuf ans avant que le Green Deal soit censé être « découvert » aux États-Unis. C’est donc bien Charles qui a créé le Green New Deal. Le rapport spécial de l’EIR donne davantage de détails à ce sujet.

Le New Deal vert de Biden

La situation s’est intensifiée lorsque les Britanniques ont pu compter sur une administration Biden consentante pour imposer le Great Reset/Green New Deal, faisant des États-Unis le principal promoteur mondial de ce plan.

Biden et son envoyé spécial pour le climat, l’ancien secrétaire d’État John Kerry, travaillent à un rythme effréné. Ils adoptent des politiques par décret qui, à dessein, porteraient gravement atteinte aux capacités et aux actifs agricoles et industriels des États-Unis, et mettraient en péril l’existence même de la nation.

Le 20 janvier, à peine quelques heures après avoir prêté serment en tant que président, Biden a signé le décret 13990.

Dans une explication simplifiée, tous les niveaux du gouvernement fédéral, étatique et local sont tenus par la loi d’évaluer chaque nouvelle infrastructure potentielle ou autre projet sur la base d’une analyse coûts-avantages, dans laquelle l’avantage est censé être supérieur au coût.

Le décret exécutif 13990 de Biden rend obligatoire l’intégration des « coûts sociaux du dioxyde de carbone ou d’autres gaz à effet de serre » dans l’analyse coûts-avantages.

Sans entrer dans une explication détaillée ici, il faut dire que les écologistes affirment à tort que le dioxyde de carbone, le protoxyde d’azote et le méthane augmentent le réchauffement climatique, ce qui à son tour nuit gravement à l’économie.

Les écologistes font une estimation financière des dommages causés par chaque gaz à effet de serre (GES), en fonction du prix qu’ils choisissent. Lorsque ce coût social du GES est multiplié par 1 000 tonnes d’émissions supplémentaires, par exemple, cela peut engendrer des dizaines de millions, voire des centaines de millions de dollars de coût. Ajoutées aux coûts réels du projet, — canalisations, béton, etc — et les coûts deviennent tout à coup trop importants par rapport aux avantages pour justifier la poursuite du projet.

Si le décret 13990 de Biden devait entrer en vigueur, il mettrait un coup d’arrêt à la majorité des projets fédéraux, étatiques et locaux, en particulier dans l’agriculture.

L’image suivante ci-dessus montre le coût social de chaque GES et leur concentration dans l’atmosphère.

Notez que le protoxyde d’azote ne constitue que 3 cent millièmes pour cent de tous les gaz de l’atmosphère, ce qui est largement négligeable. On prétend que le protoxyde d’azote réduit le trou de la couche d’ozone antarctique.

Mais la revue scientifique Scientific American a récemment rapporté que le trou d’ozone en Antarctique est à un minimum depuis 1988. L’administration Biden sait qu’il est frauduleux de dire que l’oxyde nitreux réduit le trou dans la couche d’ozone, et elle applique son décret en dépit de cela.

La bonne nouvelle est que le 8 mars, le procureur général du Missouri, Eric Schmitt, et les procureurs généraux de 11 autres États, ont déposé plainte contre le décret 13990 de Biden dans le district Est du Missouri, affirmant que cela « infligera des centaines voire des milliers de milliards de dollars de dommages à l’économie américaine dans les prochaines décennies. Cela détruira les emplois, étouffera la production énergétique, étranglera l’indépendance énergétique des États-Unis, détruira l’agriculture, découragera l’innovation et appauvrira les familles d’ouvriers ».

Quant au décret 14008 de Biden, il est radical.

Il va charger le directeur du renseignement national, le secrétaire à la Défense, le secrétaire à la Sécurité intérieure et le président des chefs d’état-major interarmées de produire un rapport sur les incidences du changement climatique sur la sécurité nationale. Ainsi, le changement climatique devient une question centrale dans chaque agence, y compris au département de la Défense et dans les services de renseignement.

Le décret 14008 prévoit également une politique appelée « Conservation 30 × 30 », sur laquelle ma collègue Marcia Merry Baker reviendra demain.

Mais nous pouvons dire que cela soustraira 30% des terres et 30% des eaux fédérales à toute forme de développement énergétique ou d’utilisation à des fins productives comme l’agriculture.

Enfin, examinons brièvement le document d’orientation intitulé « Making Mission Possible », produit par l’Energy Transitions Commission de Londres.

Ce rapport semble préparer le terrain une réduction drastique de la production et de l’utilisation de l’aluminium, du ciment et de l’acier, au prétexte que leur production émettrait trop de gaz à effet de serre, menaçant d’aggraver le réchauffement climatique.

Mais, comme le montre l’image suivant, les secteurs de l’aluminium, du ciment et de l’acier sont tous trois indispensables pour dans le système économique.

Comme l’a souligné Lyndon LaRouche, une économie est un ensemble intégré ; ce n’est pas un truc avec lequel nous construisons un petit quelque chose ici ou là-bas. Plusieurs processus sont nécessaires dans l’ensemble afin d’augmenter le potentiel de densité démographique relatif de l’humanité, ce qui implique en particulier d’augmenter le potentiel cognitif de l’homme et de générer des percées vers les niveaux de développement suivants. En supprimant ces trois éléments en eux-mêmes, on devient incapable de construire des infrastructures, de soutenir l’industrie ou d’équiper l’agriculture.

Détruire des pans entiers de l’agriculture, comme les décrets de Biden en expriment l’intention, dans une économie en plein essor, ne peut que provoquer l’effondrement de l’existence humaine et donner libre cours au projet vieux de 75 ans élaboré par Julian Huxley, le prince Charles et Hans Joachim Schellnhuber, pour n’évoquer que les plus radicaux des malthusiens. Mais c’est la même condition dans la plupart des pays du monde, à l’exception de la Chine et de certaines régions d’Asie.

Le procès intenté par les procureurs généraux de 12 États montre que nous avons d’énormes possibilités, si nous les saisissons. Nous pouvons faire tomber complètement le Green New Deal et entrer dans l’ère de l’initiative de la Ceinture et la Route.

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  • Ouallonsnous ? • 15/04/2021 - 21:26

    Cela est réel depuis longtemps, et il n’y a pas de fumée sans feu, mais pour savoir quelle est l’importance du sinistre, il faudrait pouvoir l’apprécier autrement qu’a travers des tableaux en anglo-yankee

    Répondre à ce message

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Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

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