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Visioconférence de l’Institut Schiller

L’OTAN ? Mieux que la quitter, la dissoudre !

Voici l’intervention du colonel Richard Black (cr), ancien sénateur républicain d’Etat de Virginie, lors de la visioconférence internationale des 12-13 décembre 2020 organisée par l’Institut Schiller.

Les auditeurs ont pu découvrir sa contribution lors de la deuxième table ronde qui avait comme thème « Les buts communs de l’humanité. Pour échapper au danger d’une IIIe guerre mondiale ».

Voici également la vidéo de sa présentation suivie d’une transcription.

Il faut dissoudre l’OTAN !

Présentation du colonel Richard Black (cr), ancien sénateur d’État de Virginie

Le colonel Richard Black (cr).
Le colonel Richard Black (cr).

Je suis très heureux de participer à cette visioconférence de l’Institut Schiller. Je veux que vous sachiez à l’avance que j’aborderais mon sujet avec l’esprit d’un patriote américain. J’ai risqué ma vie des centaines de fois au combat et je suis profondément attaché à ma patrie, mais l’Organisation du Traité de l’Atlantique-Nord (OTAN) m’inquiète.

A mon avis, l’OTAN représente aujourd’hui une grave menace pour la paix mondiale. En fait, elle est la pièce maîtresse de « l’État profond » (Deep State). Rappelons que l’OTAN a été créée en 1949, en tant qu’alliance défensive contre une Union soviétique (URSS), massivement dotée d’armes nucléaires.

En réponse, six ans plus tard, en 1955, l’URSS constitua le Pacte de Varsovie. De nombreuses années de Guerre froide s’ensuivirent. Heureusement, il n’y a pas eu de guerre nucléaire, ni de guerre conventionnelle. La Guerre froide a pris fin en 1991, lorsque l’Union soviétique s’est effondrée et que le communisme est tombé en discrédit. Le pacte de Varsovie s’est dissout la même année.

Ainsi, en 1991, l’OTAN a perdu toute raison d’être et aurait dû être dissoute. Sa dissolution aurait pu marquer un pas décisif pour la paix mondiale. Les perspectives d’une paix permanente étaient très prometteuses. L’étendue territoriale séparant l’Allemagne de la Russie couvre plus de 4800 km, ce qui constitue un énorme « tampon » permettant d’éviter tout lancement accidentel de missile ou invasion hostile, d’une manière ou d’une autre. À l’époque, l’éventualité d’une troisième guerre mondiale était donc extrêmement éloignée et c’était une très belle période.

Un an auparavant, en 1990, le président George H.W. Bush (père) et les hauts responsables de l’OTAN avaient assuré à Gorbatchev, le président de l’URSS, que s’il n’intervenait pas dans la réunification de l’Allemagne, l’OTAN n’étendrait pas son champ d’action vers l’Est, vers les frontières russes, et il a accepté cet accord, qu’il a appliqué loyalement. Mais l’OTAN a menti, et de manière éhontée ! Au lieu de respecter sa promesse, elle a rapidement étendu sa progression, jusqu’à se trouver aujourd’hui à moins de 32 km de la frontière russe. Elle s’est donc étendue sur un territoire presque aussi vaste que celui séparant San Francisco de New York !

Au lieu de se dissoudre, l’OTAN est passée de 16 à 30 membres, et cela, en présentant faussement la Russie comme la réincarnation de l’URSS, ce qui n’est absolument pas le cas.

Il est important de savoir que la population russe ne représente que la moitié de celle des États-Unis, et que son PIB ne dépasse pas celui de l’Italie. Une bonne mesure du risque réel que représente la Russie est que l’Allemagne, le bastion industriel de l’Europe, a évalué la menace d’une invasion russe comme étant si éloignée qu’elle a réduit le nombre de chars, de 5000 pendant la Guerre froide, à 200 aujourd’hui, soit presque rien.

Par ailleurs, Donald Trump a fait campagne pour que les Etats-Unis sortent de l’OTAN, parce qu’elle est obsolète, et il s’est engagé à normaliser les relations avec la Russie et la Syrie. Cependant, le problème est qu’un retrait américain en aurait détruit la raison d’être et, du même coup, l’État profond. C’est la raison principale, à mon avis, qui fit que le président Trump a été confronté, chez lui, aux Etats-Unis, à un coup d’État permanent, qui a commencé avant son élection pour culminer dans la fraude électorale massive que nous venons de voir.

L’affaire du Russiagate a mis le président Trump dos au mur. Il a été forcé de modifier son réquisitoire anti-OTAN pour le transformer en hausse de la participation des pays membres aux dépenses d’armements. C’est ce qu’ils ont fait, et bien sûr, cela n’a fait qu’exacerber la course aux armements entre l’OTAN et la Russie.

L’OTAN et le complexe militaro-industriel, l’État profond tout entier, emploient des millions de bureaucrates influents, dont l’existence dépend de la perception par la population de menaces inexistantes.

Des millions d’emplois liés à la défense sont en jeu dans cette situation. Mais le fait est qu’à l’exception d’escarmouches mineures à la frontière avec le Mexique, les États-Unis n’ont jamais été envahis par aucune nation étrangère depuis la guerre de 1812. À l’époque, nous étions une petite nation faible, alors qu’aujourd’hui, nous sommes le monolithe du monde. Le budget de la défense des États-Unis est si important qu’il dépasse les dix plus gros budgets de défense des autres nations.

2019. Dépenses militaires par pays (en milliards de dollars US).
2019. Dépenses militaires par pays (en milliards de dollars US).

Notre budget de la défense représente trois fois celui de la Chine, quinze fois celui de la Russie et quarante fois celui de l’Iran. La marine américaine dispose de trois fois le tonnage naval de la Russie ou de la Chine. Leurs marines sont primitives : alors que nous disposons de 11 grands porte-avions pour projeter notre puissance, la Chine et la Russie n’en ont qu’un seul et modeste chacune.

Les troupes de marine, l’infanterie de marine, sont une mesure de la capacité dont dispose une nation pour envahir d’autres pays par mer. Les États-Unis ont 15 fois plus de troupes navales que la Russie et 8 fois plus que la Chine. Ainsi, quiconque imagine que nous puissions être menacés par ce type d’invasion n’a qu’à regarder l’effectif du corps des Marines américains et l’importance de leurs forces navales pour se rendre compte que c’est un fantasme.

Avec les États-Unis en tête, l’OTAN a pris des mesures provocatrices téméraires contre la Russie. Pour accroître délibérément les tensions, nous effectuons régulièrement des missions à capacité nucléaire en direction des frontières russes, et juste avant qu’elles n’atteignent la limite, elles s’esquivent et font demi-tour. Rien qu’en août, l’OTAN a ainsi obligé à 27 reprises la Russie à faire décoller ses avions à réaction pour intercepter nos bombardiers.

Une arme hypersonique russe.
Une arme hypersonique russe.

Les provocations, tant navales qu’aériennes, sont devenues si agressives et si risquées qu’en 2019, le président Poutine a décidé de dévoiler son programme d’armes nucléaires hypersoniques, jusque-là secret. Il l’a fait, non pas pour fanfaronner et impressionner le monde, mais pour écarter toute possibilité d’action offensive contre la Russie. Il a ensuite annoncé qu’il allait équiper la marine et les forces sous-marines russes de missiles hypersoniques.

Sans pratiquement aucun tampon entre l’OTAN et la Russie, ces missiles, qui ne peuvent être interceptés [grâce à leurs trajectoires aléatoires], peuvent atteindre Washington ou New York depuis la Russie en une heure, et pour les missiles tirés depuis les sous-marins russes croisant au large, ils peuvent, en quelques minutes, annihiler littéralement toute la population de Washington ou de New York. Cela représente un danger extraordinaire pour le peuple américain.

Il faut que nous comprenions une chose : la Russie ne veut pas la guerre. Et certainement pas une guerre nucléaire. Et elle ne peut vaincre les États-Unis et l’OTAN de façon conventionnelle.

Une du journal Nouvelle Solidarité. Pour s'abonner, c'est par ici.
Une du journal Nouvelle Solidarité. Pour s’abonner, c’est par ici.

Mais les États-Unis ont démantelé tous les traités de désarmement nucléaire, ou presque, alors qu’ils ont été péniblement négociés pendant des décennies, et maintenant nous développons des armes nucléaires de faible puissance, dont le seul but est de faire de la guerre nucléaire une réalité plus concrète.

Ainsi, l’OTAN, qui autrefois protégeait l’Europe, mène désormais des guerres agressives au Moyen-Orient et cherche à engager les Européens dans des conflits avec la Chine, ce qui risque fort de se produire. Chacune de ces expansions de l’OTAN fait surgir le spectre d’une guerre nucléaire.

Si la troisième guerre mondiale éclate, elle tuera un grand nombre de citoyens américains, et c’est l’OTAN qui en sera responsable. Le nombre de morts dépasserait celui de toutes les guerres qui aient jamais été menées ! Elle empoisonnerait la Terre avec des radiations. Elle provoquerait un effondrement total du commerce, des transports et de la production alimentaire. Elle pourrait mettre fin à la présence humaine sur Terre, rien de moins.

Il est important que les Américains comprennent la géographie du monde. Les États-Unis ont la chance d’avoir d’immenses océans sur leurs deux grands rivages : le Pacifique et l’Atlantique, qui s’étendent sur plusieurs milliers de kilomètres. Nous ne sommes donc pas menacés.

Aucune nation ne peut envahir les États-Unis, et à moins que nous ne menacions les autres, d’un point de vue réaliste, on n’a absolument aucune guerre à craindre. Le citoyen américain n’a rien à gagner aux guerres sans fin que nous menons, sous l’égide de l’OTAN et de nos alliés. Et il faut être bien conscient que le jour où cela commencera, les hauts responsables gouvernementaux et les oligarques mondiaux iront s’abriter dans des villes souterraines prévues à cet effet, mais que nous autres, nous nous retrouverons calcinés par leur folie.

Il faudra alors remercier l’OTAN pour la disparition de la civilisation occidentale.

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  • Soumano • 03/05/2022 - 02:24

    Un ?? ,pays,que l’on veut voir disparaître,Mon MANDÉ est ÉTERNEL.

    Répondre à ce message

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Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

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S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

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Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

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Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

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