Voici la traduction d’une présentation vidéo faite le 25 janvier dernier, par Lyndon LaRouche et deux de ses jeunes collaborateurs, sur des questions fondamentales touchant à la nature de l’Univers, des organismes vivants et de la société humaine.
Au moment où la zone transatlantique se débat contre la crise financière la plus grave de son existence, ces conceptions ont des conséquences immédiates pour la science économique que nous devons adopter pour en sortir le plus rapidement et pour assurer l’avenir de notre espèce.
Au cours de cette intervention, les auteurs enterrent une fois pour toutes l’extension de la deuxième loi de la thermodynamique à l’ensemble de l’univers et aux organismes vivants.
Cette loi stipule que par suite d’une déperdition de chaleur, provoquée par l’usure, l’univers va lentement mais inéluctablement vers sa mort ! On passerait ainsi de stades d’organisation plus complexes, a un état d’épuisement et de chaos. C’est ce qu’on appelle communément la loi de l’entropie.
A l’origine c’est Sadi Carnot qui avait constaté ce principe en étudiant le processus de transformation de l’énergie en travail au sein d’une machine à chaleur. Ce principe qui est tout à fait valable dans le système clos d’une machine, ne correspond pas du tout cependant à une loi de l’univers, comme Clausius et Boltzman l’ont prétendu plus tard.
Comme on peut le constater aisément en examinant l’évolution de notre biosphère depuis l’apparition des premiers organismes vivants il y a 540 millions d’années, ce qui caractérise l’évolution de notre univers est le processus inverse : l’anti-entropie. Au cours de cette période nous voyons la biosphère passer par des sauts qualitatifs, de stades d’organisation plus simples vers de stades plus complexes, des formes d’énergie moins efficaces vers des formes plus efficaces. Au cours de ce…