Le parti du travail humainTel. 01 76 69 14 50

25 mai - Réunion sur ce qu’on nous cache à propos du Cannabis Lire 22 mai - L’Intelligence Artificielle, arme de paix ou de guerre ? Lire 17 mai - La France face au cauchemar Lire
AccueilNotre actuPartenaires

Dans le Washington Times, LaRouche présente ses solutions à la crise

Signe d’un intérêt grandissant pour les solutions prônées par l’économiste américain Lyndon LaRouche, dépassant les clivages politiques habituels à un moment de grave crise, le journal conservateur Washington Times, troisième quotidien de la capitale américaine en termes d’importance, vient de publier sur son site un entretien en deux parties avec lui sur des questions touchant à l’économie, l’immigration, la science et son engagement en politique.

En guise d’introduction, le journaliste Joseph F. Cotto fait remarquer que LaRouche joue, depuis quelques décennies, « un rôle actif dans la prévision de tendances financières, promouvant l’utilisation des technologies industrielles et privilégiant l’exploration spatiale, entre autres ».

En voici quelques extraits :

Lyndon LaRouche explique comment l’économie américaine peut redevenir gagnante

Joseph F. Cotto : Les Etats-Unis restent embourbés dans les sables mouvants de la Grande dépression. Comment pensez-vous que notre pays puisse recouvrer un jour sa vitalité économique ?

Lyndon LaRouche : Pour être à la fois bref et précis : j’ai proposé un ensemble spécifique de mesures qui feraient l’affaire et qui constitueraient pour l’essentiel les trois principaux points de la politique économique requise :

  1. Le retour immédiat à une politique de type Glass-Steagall [séparation des banques commerciales utiles (dépôts et crédits), des banques d’investissement spéculatives (activités de marché, dérivés, etc.) comme c’était le cas en France entre 1945 et 1984] mettrait fin à cette dynamique vers l’hyperinflation lancée de facto à la fin de la présidence Clinton, et doit être reconnu comme la seule plate-forme indispensable, comme ce fut le cas pour le président Franklin Roosevelt, capable d’éradiquer le tourbillon hyperinflationniste qui a pris le contrôle des économies de la région transatlantique depuis septembre 2007 aux Etats-Unis.
  2. Nous devons revenir aux politiques de « banque nationale » pratiquées avant l’arrivée au pouvoir du président Andrew Jackson, comprenant le précédent système de crédit fédéral en vigueur sous la présidence de John Quincy Adams, un système de crédit fédéral caractérisé par l’émission de crédit public pour réaliser des objectifs identifiés au préalable. C’est la seule manière de garantir une reprise de l’économie physique des Etats-Unis à l’heure actuelle.
  3. Il faut également des projets nationaux spécifiques comme ceux répondant aux objectifs du projet NAWAPA [grand projet d’aménagement hydrologique à l’échelle du continent nord-américain] des années 1960, mais avec des ajustements prenant en compte les avancées technologiques qui ont eu lieu depuis ; à compléter par un programme de développement de machines-outils dont nous avons urgemment besoin pour mettre fin aux dégâts de la culture soixante-huitarde dominante et revenir à une économique réelle.

Des économistes et politiques reconnus disent que le libre-échange ne bénéficiera aux Etats-Unis qu’à long terme. Qu’en pensez-vous ?

Ils répètent les mêmes arguments qui, depuis la folie furieuse des soixante-huitards et plus encore depuis 2007, ont enfoncé notre économie nationale. Toute économie en croissance doit pouvoir surmonter l’épuisement de ce qui existait jusque-là, grâce au progrès, en développant les éléments de substitution nécessaires à l’aide de meilleures méthodes et de technologies supérieures. Sinon, on tombe dans l’usure et la stagnation qui sévissent depuis la fin de la guerre d’Indochine. L’une des raisons pour lesquelles l’économie américaine n’a jamais réussi à sortir de la Grande dépression est qu’elle produit de moins en moins de biens matériels.

Que pourrait-on faire, selon vous, pour relancer le secteur manufacturier ? En fait, est-ce encore possible ?

Je suis certain que les cercles auxquels vous appartenez sont suffisamment conscients du fait que notre principal problème en matière économique a été le renversement du principe de progrès économique – à un rythme allant en s’accélérant depuis l’assassinat du président Kennedy. Si nous n’inversons pas cette tendance, la civilisation transatlantique est condamnée : nous sommes rendus au bout de nos récentes décennies de folie.

La perte de la majeure partie de nos capacités dans la production de machines-outils telle qu’elle a existé dans les domaines de l’automobile, de l’aéronautique et de l’aérospatial, depuis l’effondrement de Detroit, doit être maintenant remplacée par des programmes dans la conception de machines-outils pour raviver et améliorer nos capacités technologiques, des programmes dont nous avons absolument besoin pour rendre possible une reprise.

Les théoriciens de l’économie libérale tendent à croire que les déficits commerciaux sont d’une importance minime. Ces déficits ont-ils un grand impact sur l’économie américaine ?

Ce que l’on identifie parfois à tort comme des déficits commerciaux sont les effets d’un effondrement dans le progrès technologique. Nous avons besoin d’une politique « protectionniste », mais d’un type très particulier : le progrès scientifique et technologique, plutôt que la mort de l’ancien système de nations souveraines en Europe centrale et occidentale. Nous devons protéger le progrès scientifique et technologique sain. Et alors, nous n’aurons plus continuellement peur de la « compétition ». Les jeux financiers ne remplaceront jamais le progrès économique tiré par la science.
(...)

L’immigration illégale est une poudrière politique. Quelle serait selon vous la manière la plus prudente d’aborder le problème ?

Il faut revenir au système d’Etat-nation souverain, que représentent nos propres principes pour une égalité dans le traitement des familles et les normes habituellement en usage pour nos hôtes ! (…) Les principales menaces à notre sécurité nationale sont associées aux grandes catégories de crimes comme le trafic de drogue, ainsi qu’aux éléments terroristes opérant au sein d’un contingent grandissant de terroristes en Arabie saoudite et dans cette région. Ces éléments terroristes, incluant des fonctionnaires saoudiens, sont aujourd’hui « protégés » par des accords spéciaux passés avec le gouvernement américain, en particulier les gouvernements de George W. Bush et de Barack Obama.

L’administration Obama a maintenu la pratique officielle consistant à dissimuler l’identité des Saoudiens et autres ressortissants de nations affiliées, membres du groupe ayant participé à l’origine aux attentats du 11 septembre 2001, ainsi que d’autres groupes similaires qui s’en sont pris aux ressortissants des Etats-Unis autant que de pays comme la Libye et maintenant la Syrie.

Ce fléau, qui appelle des mesures de précaution particulières en matière de sécurité, a à voir non seulement avec le comportement fallacieux de l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair dans le lancement de la seconde guerre contre l’Irak, mais également avec les errements du président Barack Obama et de sa représentante à l’ONU pour ce qui concerne l’assassinat de nos diplomates à Benghazi le 11 septembre 2012.

L’annulation de notre programme de navette spatiale a été l’objet d’une grande controverse. Croyez-vous que l’exploration spatiale soit d’une importance particulière pour notre pays ?

Absolument ! A part le danger de guerre thermonucléaire planant au-dessus de notre planète, le besoin de défendre la Terre contre les astéroïdes et les comètes, en raison de leur collision possible avec la Terre, est de la plus haute priorité.
Une défense contre ce type d’événements, d’une magnitude significative, et le besoin de renseignements précis concernant les astéroïdes évoluant dans l’espace situé entre les orbites de Mars et de Vénus, ainsi que le défi encore plus grand que représentent les comètes, est de la plus grande importance. Un système de défense efficace contre ces menaces représente un engagement dépassant une seule année ou même beaucoup plus... Nous ne connaissons présentement qu’une infime partie de ces objets, leur localisation et leur trajectoire dans le volume d’espace que nous venons de mentionner. Ce domaine en est un où mes associés et moi-même [de même que toute l’humanité] ont un intérêt pratique.

L’amputation par le président Obama des programmes spatiaux américains est quelque chose qui relève de la plus folle insouciance de sa part. Le développement de capacités à distance sur Mars est crucial, mais sans présence humaine pour la poursuite des opérations, nos installations sur Mars, et les opérations qui leur seront associées, tendront à être limitées à l’exploration et la collecte d’informations plutôt qu’à quelque chose ressemblant à un processus de « colonisation ».

En attendant, Curiosity marque le début d’un effort de développement accéléré pour installer des systèmes sur Mars..., ainsi que celui d’opérations dans l’espace situé entre la Terre et Mars pour ce qui concerne la détection des astéroïdes, à combiner aux efforts du Dr Edward Teller et de ses associés dans ce domaine, depuis la fin des années 1970.

Ainsi, l’Initiative de défense stratégique (IDS) a évolué pour devenir l’Initiative de défense de la Terre (IDT). Les retombées d’un tel programme pour la défense de la Terre seraient de la même nature que les avancées technologiques induites par notre programme spatial original au cours des années 1960. Les capacités productives du travail seraient accrues au-delà de l’imagination des économistes les plus alertes aujourd’hui.

Quelle a été la plus grande satisfaction de votre carrière ?

En termes de bénéfice net, je répondrais que c’est une vie qui a immensément valu la peine et l’expérience d’être vécue.

Maintenant que notre discussion tire à sa fin, beaucoup de lecteurs se demandent probablement comment vous en êtes venu à devenir une voix aussi forte sur les questions économiques et politiques. Dites-nous un peu ce qui a inspiré votre travail dans ce domaine.

Pour être aussi bref que possible, à la fin de mon service militaire, qui s’est terminé dans le théâtre de guerre sino-indien à la fin de la deuxième Guerre mondiale, j’ai eu l’occasion d’occuper le temps de ma convalescence d’une hépatite avec un travail comme consultant en gestion. Je suis ensuite devenu cadre dans une société de conseil plus importante. J’ai travaillé en indépendant par la suite et j’ai lancé mes propres opérations à la fin des années 60, en particulier ma participation dans la mise en place d’une importante fondation scientifique au cours des années 70 et une grande partie des années 80. La vidéo que j’ai fait produire en 1988, La femme sur Mars, est un exemple significatif de « provocation utile ».

Pour résumer, tôt dans ma vie d’adulte, je me suis distingué dans ce domaine restreint qu’est la prévision économique et les questions qui lui sont associées, économiques en tant que telles.

Même si je suis beaucoup plus que familier avec l’usage des méthodes de prévisions statistiques, je considère ces pratiques comme étant souvent futiles. Mon domaine est essentiellement celui qui consiste à prévoir le futur réel au-delà de ce que je crois être, à juste titre, de simples projections statistiques. La différence entre ces deux approches est que ma spécialité traite des différences qualitatives plutôt que statistiques. Puisque je reste activement engagé dans la prévision en termes d’économie physique et des questions qui lui sont reliées, même à un âge dépassant les 90 ans, j’ai accumulé une solide expérience professionnelle dans l’exercice de véritables prévisions, et non de simple projections statistiques, « en dessous de la ceinture ».

Ce fut un véritable plaisir pour moi que de répondre à vos questions.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?

Pour afficher votre trombine avec votre message, enregistrez-la d’abord sur gravatar.com (gratuit et indolore) et n’oubliez pas d’indiquer votre adresse e-mail ici.

Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

  • Elie • 04/01/2013 - 09:01

    Les économistes (prévisionnistes) ont été crées pour que les météorologistes se sentent moins seuls.....La totalité d’entre eux se trompent la majorité du temps. Le subterfuge est de faire dix prévisions pour en avoir une de bonne, et de dire ensuite : "Vous voyez, c’est moi qui avait raison, je l’avais prévu".
    Donc, méfions nous des économistes, d’autant plus quand ils sont "multiservices", et encore plus quand ils ont la tête dans les étoiles....
    Bonne année car, croyez moi, l’année 2013 sera excellente...

    Répondre à ce message

Déplier les commentaires||Replier les commentaires
Vous souhaitez aider ? Adhérer, faire un virement mensuel, participer à un stand militant ? Prenez contact avec nous.

Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation

S&P et Jacques Cheminade se battent depuis plusieurs décennies pour re-nationaliser la Banque de France, afin de reprendre le gouvernail de notre avenir et recréer des millions d’emplois.

En savoir plus

Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
Faire un don et adhérer plus tard