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Perspectives des révolutions arabes

8 mai 2011 (Nouvelle Solidarité) – Depuis le début de l’année, les révoltes dans les pays arabes se sont succédé avec des résultats allant de la chute de régimes autoritaires à la contre-révolution et aux répressions les plus brutales, le tout teinté bien souvent d’interventions extérieures. Quelles sont désormais les perspectives d’action pour les peuples de ces pays ? Telle fut en substance la question d’un jeune barheïni à Lyndon LaRouche, dont nous publions en intégralité la réponse (datée du 26 avril) :

Pour répondre de manière compétente à votre question, nous devons d’abord faire la distinction entre : (a) un véritable empire tel que l’actuelle forme britannique d’empire romain monétariste ; (b) un système colonialiste comme l’empire français de la période Napoléon III jusqu’à la Ve République ; et (c) un Etat-nation souverain comme les Etats-Unis.

Un empire se définit correctement, tel que l’a implicitement fait Sir Henry Maine, comme un ensemble de simples royaumes placés sous l’autorité législative unique d’un empereur. Le roi peut édicter des ordonnance locales (lois royales), mais la loi dominante sous ce système impérial de loi monétariste relève de l’autorité unique de l’empereur. Ce système était en vigueur sous l’Empire romain, sous son successeur byzantin, puis sous le règne monétariste vénitien sur les royaumes des croisés médiévaux, et enfin sous l’Empire britannique du Nouveau parti vénitien qui plaça son porte-parole Guillaume d’Orange au pouvoir dans les îles britanniques. C’est là que s’est établie la forme britannique de l’actuel Empire romain qui émergea réellement suite à la Guerre de sept ans avec le Traité de Paris de 1763.

A titre d’exemple, les guerres lancées en Eurasie et au-delà par l’Empire britannique entre 1890, date où la famille royale évinça le chancelier allemand Bismarck, et aujourd’hui, sont une expression du règne impérial monétariste britannique. Depuis 1890, les principales guerres qui ont eu lieu à travers le monde ont été l’expression de cette forme actuelle d’empire monétariste héritée du premier Empire romain et qui se perpétue aujourd’hui avec l’Empire britannique de la Reine Elisabeth II, ou « Quatrième Empire romain ».

Prenons en exemple le cas du tristement célèbre Alexander Helphand, alias « Parvus », marchand d’armes au service des Britanniques qui prêchait le principe de « guerre permanente/révolution permanente ». Il fut utilisé dans l’opération « Jeunes turcs » menée par les services de renseignement britanniques, aux côtés du Comte Volpi di Misurata ; l’héritage vivant de cette opération domine encore le Moyen-Orient aujourd’hui. Helphand s’était retrouvé à Londres au début des années 1890 dans les cercles fabiens où, poussé par Friedrich Engels, il s’était mis au service des Britanniques. De nos jours, le contrôle exercé par les Britanniques sur le Moyen-Orient est un prolongement de cette opération.

Les composantes paradigmatiques les plus notables de ce système impérialiste depuis 1890 sont de simples échos de l’éviction par la famille royale britannique du chancelier Bismarck, qui fut éliminé pour deux raisons. Ses liens intellectuels au Système américain d’économie politique (qui dataient de 1877 environ) ont été un facteur déterminant. Cependant, la principale raison était « géopolitique » : la volonté de réaliser en Eurasie des systèmes ferroviaires transcontinentaux à l’image de ceux qui venaient d’être réalisés aux Etats-Unis, fut considérée comme une menace mortelle pour la perpétuation de l’Empire britannique. Les assassinats des président américains William McKinley et John F. Kennedy, ainsi que de son frère Robert, sont caractéristiques de la doctrine géopolitique britannique. La quasi-totalité des conflits au « Moyen-Orient » et en Afrique ont été l’effet de la gestion impériale du Foreign Office. Les deux « guerres mondiales » et le conflit anglo-soviétique impliquant les Etats-Unis, tout comme la participation américaine dans la Grande Guerre, sont des expressions de la géopolitique impériale britannique. Ceci est une réalité non seulement pour les guerres, mais aussi pour la fomentation de changements de régimes dans de nombreuses parties du monde.

Ce que nous devons qualifier de « grève de masse », dans le sens défini par Rosa Luxemburg, est un genre très spécial de réaction populaire, essentiellement spontanée. C’est une réaction envers ce que la population considère être une intolérable tyrannie impériale, y compris contre une tyrannie essentiellement britannique incarnée par des gouvernements qui se sont faits les agents des intérêts monétaristes menés par les Britanniques.

Le conseil implicite que je vous donne en répondant ainsi ne vise pas à vous décourager dans vos efforts pour assurer la justice, mais à vous mettre en garde contre une trop grande simplification de la combinaison de facteurs à l’œuvre dans les multiples défis auxquels nous sommes confrontés un peu partout dans le monde.

Lorsque l’on fait la guerre, le but est d’éviter les malheurs qu’elle apporte même lorsque la cause est juste. Si l’on approche la situation stratégique par le bas, ces dommages deviennent inutiles et coûteux. Nous devons gagner pour la cause juste ; mais si nous voulons l’emporter, nous avons l’obligation d’approcher cette crise mondiale par le haut.

Il faut en convenir, c’est en général plus facile à dire qu’à faire. Dans les cas de la Tunisie et de l’Egypte, on peut dire que les résultats sont là, à condition de les considérer comme des accomplissements utiles sur la route menant vers autre chose. Ailleurs, les manifestations légitimes de la grève de masse ont été écrasées brutalement, ou sont probablement en passe de l’être. Mais cela ne remet pas en cause le courage de ceux qui manifestent un désir de changement urgent, payant au prix fort un risque qu’ils ont dû juger bon de prendre pour le futur de l’humanité.

Saisir l’occasion de gagner une bataille pour la liberté humaine contre une tyrannie comme celle de l’empire monétariste britannique, est une option qui doit être privilégiée. Cette option prit un tour heureux lorsque l’effort fut mené par les Etats-Unis, rassemblés autour de leur principe anti-monétariste fondateur. Ce principe même en fit l’adversaire en chef de l’impérialisme britannique et de sa meute de Wall Street et d’ailleurs. C’est le chemin le plus direct vers la victoire, c’est là le seul recours que nous avons.

Au moment où je réponds à votre question, l’ensemble du monde transatlantique est en plein effondrement économique généralisé. Les Etats-Unis ne pourront surmonter cette crise qu’en imposant le rétablissement de la loi Glass-Steagall de 1933, ce qui mettrait à bas le système prédateur de paris financiers bâti sur de l’argent fictif, coulant ainsi l’empire monétariste britannique et déclenchant un processus de reprise de l’économie physique dans le monde entier.

La probabilité qu’un tel changement puisse avoir lieu rapidement doit être considérée dans le cadre de la situation inextricable de faillite de cette quasi « bad bank » qu’est l’Union européenne. Sitôt le Glass-Steagall réadopté aux Etats-Unis, l’épidémie hyperinflationniste serait éradiquée à la faveur de l’émergence d’un système de crédit se substituant au système monétariste.

Pour résumer : la clé pour comprendre la détérioration des conditions de vie dans l’ensemble du monde transatlantique, est de voir l’intention géopolitique britannique qui s’exprime depuis les assassinats du président Kennedy et de son frère Robert. Le but est ici la destruction des Etats-Unis et de ses potentiels alliés naturels à travers le monde. La politique de l’Empire britannique a été exposée en termes pratiques dans le projet de « mort verte » globale affiché par le WWF, consistant à réduire intentionnellement et rapidement la population mondiale à environ deux milliards d’individus.

Vu l’ampleur de la tâche que de tels faits impliquent, le mieux est d’avoir les idées bien au clair sur les véritables racines des maux que la cause de la justice nous demande de combattre.

– Lyndon.


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  • petite souris • 10/05/2011 - 13:46

    Je peux imaginer facilement que nozélites n’aiment pas Lyndon Larouche car il dit et sait ce qu’eux devraient et savoir et dire....

    Nozélites ne veulent pas être soupçonnés de ne pas savoir de ne pas prévoir
    Nozélites ont pour certains des comptes à rendre à ceux qui les ont poussés et aidés à obtenir leurs fonctions...

    Alors ils sont totalement en porte à faux s’ils ont connaissances des écrits de Lyn comme ceux de Jacques ici, en France.
    Ils n’ont donc qu’une seule solution pour pouvoir encore se regarder dans la glace le matin : la fuite en avant et la politique de l’autruche.

    Dommage pour le peuple de France et ceux du monde.
    Preuve que la majorité a raison mais c’est une minorité qui "gouverne" !

    • Ouallonsnous ? • 03/06/2011 - 22:49

      Petite souris, je penses , moi, que Lyndon Larouche se trompe quand il prétend répondre honnêtement en décomposant son argumentation coome il le dit ;
      (a) un véritable empire tel que l’actuelle forme britannique d’empire romain monétariste ; (b) un système colonialiste comme l’empire français de la période Napoléon III jusqu’à la Ve République ; et (c) un Etat-nation souverain comme les Etats-Unis.

      Comment peut il faire les différences qu’il évoque alors que le systéme colonialiste (mondialiste) succeseur de l’empire britannique est maintenant incarné par les Etats Unis qui ne sont plus et depuis longtemps un état nation souverain comme il le prétend, le peuple états unien étant réduit au silence et de plus en plus à la misére, les financiers et le lobby pétro-militaro industriel étant devenus les gouvernants occultes (de moins en moins) du pays.

      Voila une problématique qui est inquiétante pour Solidarité et Progrés et j’aimerais que Jacques Cheminade se dédouane de cette "propagande" digne des yankees des années 50 et de la guerre froide !

    Répondre à ce message

  • duchene • 10/05/2011 - 22:44

    Et pour la french militarisation étrangère, bravo la Liberté,
    Égalité, Fraternité, et surtout Honnêteté et Justice !

    http://infoguerilla.fr/?p=9659

    Répondre à ce message

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Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
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Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

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La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

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Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

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C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

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S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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