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Mettre Mars à notre portée grâce à la Fusion thermonucléaire

Nous présentons ci-dessous des extraits d’une discussion à bâtons rompus de Lyndon LaRouche avec ses collaborateurs sur l’urgence de relancer la recherche sur la Fusion thermonucléaire contrôlée.


"Au cours des derniers jours, j’ai souligné à plusieurs reprises qu’il est nécessaire de concentrer nos recherches aux Etats-Unis et à l’échelle internationale, sur la fusion thermonucléaire. Parce que si vous regardez les facteurs auxquels nous sommes confrontés, si vous répondez directement aux questions telles qu’elles nous sont présentées actuellement, si vous essayez d’être en phase avec l’humeur générale de la presse et des responsables politiques, vous ne ferez probablement rien d’utile.

Par contre, ce qui est utile, est ce qui a été développé par notre équipe de jeunes chercheurs, par Sky Shields en particulier. Et nous mettrons cette question [de la fusion] de l’avant, de manière plus proéminente.

La clé de l’avenir est la mise en place un relais de communication entre la Terre et Mars, via la Lune. Ceci est envisageable a condition de développer les moteurs à fusion thermonucléaire qui mettront Mars à notre portée, en une semaine, alors que par les méthodes actuelles de propulsion on mettrait 200 à 300 jours, trajet que les astronautes ne survivraient pas !

La technologie nécessaire pour faire cela existe de manière implicite, et ne demande qu’à être développée. Et le programme que nous mettrons en place pour développer la capacité de réaliser un relais de communication entre la Terre et Mars, via la Lune, est la seule chose qui donnera aux Etats-Unis et au monde en général l’espoir de sortir de la crise actuelle.

Par conséquent, si nous sommes sains d’esprit, le thème principal de notre activité à partir d’aujourd’hui sera la fusion thermonucléaire comme moteur pour aller vers Mars. Car la plupart des gens vivent dans le passé, le passé perpétuel, ils ne réagissent jamais à l’avenir, jusqu’à ce que l’avenir les frappe. Et alors ils disent : « Oh ! C’est arrivé. »

Mais vous trouvez en général qu’il n’y a pas aujourd’hui de véritable inspirateur ; dans le passé il y a eu des gens comme John F. Kennedy, qui chevauchait l’avenir. Et ils l’ont finalement écrasé, ainsi que son frère, et d’autres, et ont créé cette bande d’illuminés, appelés environnementalistes. L’environnementalisme est la maladie qui est en train de détruire l’humanité.

Nous devons donc changer l’agenda. Nous devons activer l’idée de la fusion thermonucléaire, comme véhicule nous permettant d’atteindre Mars de notre vivant, du moins pour la plupart d’entre vous. Et nous passerons par la Lune, car il serait trop onéreux, dans un certain sens, d’y aller directement. Nous pouvons aller sur Mars directement pour y accomplir quelques tâches mineures. Mais si voulons vraiment y construire quelque chose, il faut un faisceau de produits, en termes de production et d’organisation, allant de la Terre vers la Lune, puis de la Lune vers Mars.

En accomplissant cela, nous allons découvrir, premièrement, que nous allons changer fondamentalement une chose. L’humanité n’aura plus besoin de laisser son destin en suspens en restant sur la Terre. L’humanité pourra se rendre sur Mars, en établissant un relais permanent, ce qui ne peut être accompli qu’avec la fusion thermonucléaire – qui, soit dit en passant, est une technologie établie, pas seulement pour faire des bombes ou des choses de ce genre, mais une technologie pouvant être, dans un délai raisonnable, le principal moteur. Ainsi nous ne nous contenterons pas d’envoyer un homme sur Mars, mais nous initierons ici même sur Terre, en même temps grâce à la fusion, un programme complet et soutenu de développement de l’économie et de la vie dans son ensemble.

Ainsi nous entrons, depuis le pessimisme actuel, dans une période d’optimisme. L’optimisme n’est pas que de l’enthousiasme à l’égard d’un rêve. L’optimisme est la réaction à la réalité de ce qui est possible. Les gens disent que nous avons besoin d’un truc qui permettra de rendre les êtres humains optimistes, d’être de meilleure humeur, et d’abandonner ce non-sens environnementaliste, et ensuite d’enchaîner avec d’autres choses. Mais comment allez-vous accomplir cela ? Vous dites que c’est ce dont vous avez besoin.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’humanité, en particulier les Etats-Unis, et ce depuis Roosevelt et la victoire après la Guerre, ont été assujettis à un effort intense et soutenu de la part de l’Empire britannique pour reverser et écraser cet optimisme, et le remplacer par ce pessimisme maléfique qui, sur plusieurs générations – trois générations successives maintenant – a engendré, pas à pas, une dégénérescence morale et intellectuelle. Cette force, dont la première impulsion a été lancée sous Truman, a explosé avec l’assassinat du Président Kennedy.

Depuis lors, la jeune génération – ceux qui étaient adolescents au moment de l’assassinat de Kennedy – ces adolescents sont devenus de plus en plus dégénérés, tant sur le plan moral qu’intellectuel. Et la génération qui a suivi s’est trouvée empoisonnée par cette dégénérescence accrue. Et la génération suivante, celle qu’on rencontre aujourd’hui dans la rue ou en d’autres occasions, celle des 14 à 25 ans, est en train de devenir encore plus dégénérée que celle qui l’a précédée.

Et les gens parlent de réformes. Ils parlent de programmes qui accompliront des merveilles. Tout cela est du pipeau. Car si nous vous ne renversez pas cette tendance générale vers la dégénérescence, qui a été lancée dans une forme accélérée depuis l’assassinat de Kennedy et l’œuvre de dissimulation qui s’en est suivie, vous n’accomplirez rien de ces choses merveilleuses dons vous rêvez.

La seule manière de faire cela est d’établir une poussée entretenue en sens inverse, exactement contraire à tout ce qui est arrivé, c’est-à-dire au renversement de direction survenu depuis l’assassinat de Kennedy. Et tout comme Kennedy lança le programme Apollo vers la Lune – qui fut ensuite arrêté et supprimé –, nous allons rétorquer avec la conquête de Mars. Et seule cette action de notre part, pour l’instant, nous permettra d’accomplir au moins l’une des choses que nous recommandons aujourd’hui.

Peu de gens, même au sein de notre propre mouvement, ont une compréhension de ce dont je parle, et de ce que Sky a soulevé il y a quelques jours. Cette réactualisation doit être au centre de tout notre travail, si nous voulons réussir à vaincre le processus de descente aux enfers qui est sur le point de frapper notre planète.

Le problème de notre société en général, est que la plupart des gens pensent en terme du présent, s’inscrivent dans le courant dominant et pensent en terme d’idées qui peuvent être acceptables pour la population, qui elle-même accepte le courant dominant. Et c’est de cette manière que l’humanité régresse et se retrouve dans le pétrin de manière répétée. Essayer d’être pratique, d’être en phase avec la société, de ne pas présenter d’idées qui ne s’accordent pas avec ce qui est généralement accepté dans la population... Tout progrès dans l’histoire de l’humanité a dépendu d’une minorité qui a révolutionné la situation en mettant de l’avant, comme programme actif, ce qui était considéré comme impraticable par la majorité des gens.

De tels accomplissements permettent de montrer que le temps n’est pas quelque chose d’ « absolu,un repère extérieur à notre univers ». En réduisant le trajet Terre-Mars, de 300 jours à une semaine, grâce aux progrès scientifiques, techniques et économiques réalisés par la société humaine, nous découvrons que le temps est relatif, relatif aux transformations accomplies par l’homme ! Ce temps relatif nous permet aussi d’asseoir notre moralité personnelle sur quelque chose de réel : être moral, c’est transformer l’espace temps physique de l’univers pour le bien de l’humanité.

Il est donc urgent de cesser d’être pratique, et de produire une poussée révolutionnaire qui choquera et changera le courant dominant dans notre société aujourd’hui. C’est ce que nous accomplirons à travers notre site dans les jours qui viennent."

Donc, rendez-vous sur Larouchepac.com !!!

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  • Arthur • 08/03/2012 - 22:12

    Il me semble que le moteur à fusion thermonucléaire ne peut fonctionner que dans une amosphère.... difficile pour des voyage dans l’espace donc dans le vide, ou absence d’atmosphère.... il faudrait nous expliquer le fonctionnement du votre... Je pense que cela ferais avancer la science...

    Répondre à ce message

  • Chantal • 19/01/2012 - 17:58

    L’homme a conquis la terre et la terre est foutue, alors continuons notre belle aventure, en allant détruire et polluer les autres planètes....c’est très amusant !

    Faut arrêter de fumer la moquette.

    • Julien Lemaître • 19/01/2012 - 18:24

      Chantal,
      En guise de réponse, je vous suggère fortement de visionner la vidéo "L’Art et la Science au Peuple : l’espace, destination naturelle de l’humanité", et voir l’humanité dans une toute autre perspective.

    • Tony • 26/02/2012 - 12:53

      Ça c exactement le discours des faux écolos... C est toi qui devrait arrêter la moquette..ou passer à autre chose..c est exactement ce qu on veut nous faire penser . Que l homme est une merde sur terre alors que c est les gens qui développe cette penser les grosse merde..de plus ce n est pas l homme qui détruit la terre mais les multinationale et le système qui vas avec.. Je vous conseil de vous renseigner sur les calculs du pib dont on nous rabâche tout les jours qu il faut l augmenter et vous comprendrez pourquoi la terre est dans cette état.. Bien à vous.

    Répondre à ce message

  • pranakundalini • 20/01/2012 - 09:04

    La recherche sur la fusion a commencé dans les années 50.
    La solution aux décharges de disruption sur les tuiles de confinement n’a toujours pas été trouvée.
    Iter est probablement le dernier des tokamac.
    Pourquoi chercher midi a 14 heures :
    Le soleil fourni déjà une énergie de fusion inépuisable.
    Utilisons la.
    Vos positions délirantes et dangereuses sur un progrès capables de solutionner les problèmes causés par une population à croissance exponentielle vous discréditent complètement.
    Dommage car l’analyse financière et économique est bonne.
    Miser la survie de l’humanité sur un progrès technique que l’on n’a pas maîtrisé en 50 ans me semble complètement irresponsable

    • Benoit • 27/01/2012 - 20:09

      Combattre le principe oligarchique implique d’expliquer un peu les principes dont on parle afin que les obstacles rencontrés ne paraissent pas magiques et pour qu’une solution puisse être trouvée.

      A propos des disruptions : ce sont des instabilités inhérentes au procédé electromagnétique utilisé sur ITER, qui provoquent l’arrêt de la réaction de fusion, l’émission de chaleur et d’électrons à haute énergie pouvant endommager la paroi du réacteur. C’est un obstacle majeur, pour sûr.
      Des recherches sont en cours pour régler ce problème (—> http://www-fusion-magnetique.cea.fr/en_savoir_plus/articles/disruptions/index.htm).

      Ce sera pas miraculeux du jour au lendemain mais une chose est sûre : il faut former plus de jeunes en physique des plasmas !! Et les intéresser à la science :)

    Répondre à ce message

  • alain • 20/01/2012 - 12:52

    "Ainsi nous ne nous contenterons pas d’envoyer un homme sur Mars, mais nous initierons ici même sur Terre, en même temps grâce à la fusion, un programme complet et soutenu de développement de l’économie et de la vie dans son ensemble"

    Trés bien, vous pensez à la fusion "civile" pour la production d’énergie électrique sans les défauts du nucléaire actuel auquel elle pourrait succéder ?

    Répondre à ce message

  • ? • 19/01/2012 - 20:47

    Lyndon Larouche a écrit : "Tout progrès dans l’histoire de l’humanité a dépendu d’une minorité qui a révolutionné la situation en mettant de l’avant, comme programme actif, ce qui était considéré comme impraticable par la majorité des gens."

    On a l’impression qu’il parle du Mouvement Zeitgeist et de l’économie basée sur les ressources naturelles que promeut ce mouvement.

    • Julien Lemaître • 19/01/2012 - 21:12

      Non, monsieur X,
      l’encrage historique de LaRouche n’a rien à voir avec le trip Zeitgeist, qui sort de nul part, sans aucun repère historique.
      Il ne suffit pas de proposer quelque chose "d’impraticable", il faut aussi savoir dans quel monde on vit.

    • Christophe • 20/01/2012 - 00:12

      Non, Julien,

      rien n’est impraticable, tout tient à la limitation de nos consciences et des cadres rigides ancrés dans nos esprits par l’histoire et nos vies.

      Cela tient aussi bien pour des avancées scientifiques (ah, la fusion froide) que pour des systèmes sociétaux (l’économie basée sur les ressources). Les vidéos ZeitGeist se basent sur des fondements historiques nombreux contrairement à ce que vous dites (systèmes sociaux après la préhistoire, évolution des systèmes économiques) mais ne proposent qu’un cadre sociétal, sur le constat de l’échec de l’économie monétaire et de l’illusion de la démocratie représentative qui nous a menés ici, ce qui est lié (voir aussi les travaux d’Étienne Chouard qui sont très instructifs : pour devenir de vrais citoyens, nous ne devons pas seulement nous intéresser au progrès humain mais aussi à notre sort de citoyen, donc à la constitution, en l’écrivant). Il faut ensuite mettre du contenu scientifique et culturel dans ce cadre, c’est une chose différente.

      Nous sommes à une époque où il faut voir "large" et remettre le paradigme en question. C’est cela réellement, savoir dans quel monde on vit, faire une analyse fine de ce qui ne marche pas et pourquoi.

      Là où nous nous rejoignons : la place centrale de la culture, de la science et du développement technologique pour l’avenir de l’humanité. Je soutiens votre mouvement et vos idées. La présidentielle en aura quelque consistance et vos idées seront plus connues.

      Vous êtes les instigateurs de cette vision dans le temps court de la politique, c’est de grande valeur. Mais nous devrons, pour notre survie et, plus loin, notre vie, instiller un cadre sociétal et politique différent car la vraie science n’adviendra durablement que très difficilement sans cela. Et cela peut se faire de la base sur des cadres sociétaux comme ceux promus par ZeitGeist, avec des projets d’économie sociale et "technique" concrets "par le bas" où la logique monétaire est simplement "shuntée".

      Je crois que contrairement à ce que votre réaction semble laisser apparaître, les deux approches sont complémentaires et convergentes. Plus tard, si l’Humanité survit à sa médiocrité (...), c’est que son évolution lui aura dicté de faire disparaître l’argent et l’économie monétaire (économie basée sur les ressources). Un premier pas, un paradigme de transition vers cela : le crédit productif public, peut-être...

      Bon combat !

    • Julien Lemaître • 21/01/2012 - 11:23

      Christophe,

      Le principe oligarchique et son incarnation la plus moderne à travers l’empire britannique et la forme d’empire financier dans laquelle il a muté depuis l’après guerre, est l’élément majeur dans la situation actuelle du monde.

      Désigner un outil ou une forme d’institution (monnaie et démocratie) extérieur à la volonté et l’intention humaine comme problème principal (ou solution) est une méprise fondamentale. C’est pour ça que je suis sans concession pour le projet Zeitgeist/Venus, que j’ai parcouru.

      Cela me semble une ineptie de parler d’établir un cadre comme ci ou comme ça, et "ensuite", en disant que "c’est une chose différente", d’y mettre du contenu scientifique et culturel.

      Etienne Chouard se méprend tout autant à mon avis en s’attachant à une mécanique institutionnelle (assemblée constituante & tirage au sort) comme solution en soi.

    • Christophe • 23/01/2012 - 19:20

      Julien,

      le principe oligarchique n’est en vigueur que par la volonté de la majorité, volonté inconsciente. Ce principe a été pérennisé par le fait que les masses sont devenues aussi avides et matérialistes que l’oligarchie elle-même. Bien entendu, cela a été piloté et provoqué par un "programme" de déculturation de masse dans la seconde moitié du 20ème siècle.

      Il ne faut certes pas attribuer à l’institution monétaire en elle-même cet état de fait, ce serait une erreur grossière en effet. Il faut l’attribuer à une fondation matérialiste de la société, de la culture et de la connaissance. Qui date des empiristes anglais des 17ème et 18 ème siècles et qui n’a pas cessé d’être perpétuée au gré des courants économiques.

      Néanmoins, l’institution monétaire a été créée à une période de l’histoire humaine où la technologie était de basse densité et l’abondance des biens de subsistance (nourriture, énergie, habitat) et d’équipement était faible. C’est cette rareté qui rendait la monnaie nécessaire dans le cadre d’une économie d’échange et de circulation de biens.

      Aujourd’hui, malgré l’apparente rareté, factice et créée par les marchés, nous sommes à une époque où l’abondance et la circulation instantanée de l’information rend caduque le rôle de la monnaie, objectivement. On peut donc dire que l’abolition de la monnaie, de pair avec l’évolution de la conscience et de la créativité humaine et un retour de la science "au centre", est le vecteur (et non une fin en soi) d’une société plus efficace, plus humaine et d’un fonctionnement optimal.

      En effet, la démocratie représentative telle que nous la connaissons en France depuis deux siècles, l’économie monétaire, les activités d’assurance et de commerce (où des produits sont créés sur un marché et le besoin avec -avec la dépense en ressources naturelles qui va avec- simplement parce qu’il faut vivre, voir s’enrichir, produits le plus souvent sans réel intérêt ni utilité pour l’Homme) sont des pôles sociétaux qui, par une dérive progressive, nous ont fait arriver à la situation actuelle, tant sociétale que culturelle et environnementale. Tout est lié, en effet. Tout ces pans sociétaux peuvent être simplement supprimés dans l’ère technologique actuelle. Bien entendu, cela ne se fera pas "par le haut", les chiens de garde rongeant leur os du statu-quo.

      Si l’on observe les choses attentivement, on s’aperçoit que l’économie basée sur les ressources est une extrapolation de l’économie physique de Larouche hors système monétaire et qu’elle en reprend les principes fondateurs, comme l’augmentation de la densité technologique de l’outil de production. Dans un système amonétaire, cette densification n’est plus limitée par la ressource monétaire, une ressource anti-naturelle et limitante.

      Pour finir, je remarque que l’on peut faire l’hypothèse selon laquelle l’avilissement de la culture et de la créativité humaines doit à mon sens être attribué à un principe de nos sociétés monétaires : le salariat et ses dérives.
      La dérive en est la suivante : une dimension matérielle voire matérialiste est apposée à toute activité humaine et introduit une relation infantile de la grande majorité des individus à leur travail : le système de la récompense. Celui-ci est lié à la fois à la campagne de déculturation évoquée plus haut et à la rétribution du travail par un étalon monétaire qui, encore un fois, je pense n’a plus d’objective raison d’être.

      Alors que nous devrions travailler, je dirais œuvrer, pour le simple plaisir de faire ce qu’on aime faire et d’œuvrer pour l’intérêt général. Donc des projets d’économie citoyenne (production de biens, de culture et d’énergie) de transition vers ce paradigme sociétal amonétaire d’économie basée sur les ressources est l’occasion pour un nombre grandissant de citoyens de toucher à nouveau à la créativité, au plaisir de faire et à la responsabilité citoyenne par l’action et la participation réelles et concrètes à la Société.

      Ce que ne permet pas l’espoir en une élection et la délégation déresponsabilisante que représente
      la "démocratie" représentative...

    Répondre à ce message

  • mathieu • 23/01/2012 - 17:57

    Bonjour,
    Je voudrais bien savoir d’où est tiré ce texte ?

    Merci

    Répondre à ce message

  • mathieu • 23/01/2012 - 19:39

    Bonjour,
    Pourquoi n’avoir pas mis la partie tragique qui devait surement figurer au début vu que larouche l’utilise souvent ?

    C’est pour cela qu’on retrouve autant de mystique sur cet page.

    Répondre à ce message

  • Max TERNON • 19/01/2012 - 20:30

    Bonsoir,
    il y a mieux, la fusion matière-antimatière, ou l’antimatière toute seule qui annihilera la gravité et l’inertie et nous permettra de franchir le mur de la lumière, voir même de remonter le temps comme les neutrinos !
    L’embryon de théorie et la justification existent,voir la fusion "froide", je vous l’ai adréssé, mais visiblement ce message est tout aussi audible auprès de notre communauté scientifique que fut celui de Galilée à son époque. C’est vrai qu’il met à mal les politiques dominantes de "l’empire", le Darniwisme social ; si tu crèves tu n’as pas su d’adapter... et le fameux "dogme" du "big-bang" (hommage à Freyd Hoyle, Gold et Bondi inventeur de ce terme par dérision à la théorie de l’oeuf primordial)

    [modo]Modération : La suite est supprimée, pas de messages codés ici[/modo]

    Répondre à ce message

  • petite souris • 19/01/2012 - 18:40

    Quand j’étais une toute petite souris, nous rêvions tous d’aller dans la Lune.
    Cela s’est fait.
    Il est normal que les jeunes d’aujourd’hui rêvent d’aller sur Mars.
    Ils vont le faire.

    ... et tous ensemble ayons pour ligne de mire Avril 2012 !!!

    Répondre à ce message

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Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

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Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
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