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LaRouche relance son appel à la création d’une Commission Pécora

1er janvier 2009 (LPAC) —La colère provoquée par l’affaire Madoff, ainsi que par la décision récente de l’administration Bush d’accorder 6 milliards de dollars du plan Paulson au renflouement de GMAC, la compagnie financière du fabriquant automobile, General Motors, ont incité Lyndon LaRouche à réitérer son appel pour la création d’une nouvelle Commission Pécora pour établir les responsabilités du crash financier que nous sommes en train de vivre.

En 1932, la Commission bancaire du Sénat des Etats-Unis, a ouvert une enquête sur les causes du crash de 1929, devant laquelle un certain nombre de banquiers de Wall Street, à la tête desquels JP Morgan, a du répondre de ses crimes. Le principal conseiller de la Commission, Ferdinand Pecora, procureur général de New York, a dirigé cette enquête qui a donné au président Franklin D. Roosevelt, le levier nécessaire pour faire passer tout une série de nouvelles régulations dans le secteur financier y compris la fameuse loi Glass Steagall de Juin 1933 qui a imposé la séparation entre banques de dépôts et banques d’affaires. En révélant les aspects criminels de la spéculation qui avait provoqué l’effondrement de 1929-30, la Commission Pecora qui s’est focalisée notamment sur les fraudes commises par les holdings de JP Morgan et d’Insull, a contribuée à la grande réorganisation bancaire et au New Deal de Roosevelt. Car elle a permis au peuple de savoir que le Président Roosevelt se battait contre l’oligarchie et a lui apporter sa confiance. Samuel Insull et Jock Whitney, l’homme de JP Morgan, ont fini en prison.

Le premier appel de LaRouche pour la création d’une telle commission remonte au 28 septembre dernier. Il avait soutenu alors la résolution 1452 de la Chambre de représentants introduite par Marcy Kaptur (Démocrate d’Ohio) et par Scott Garrett (Républicain du New Jersey) qui appelait à la création d’une « Commission d’enquête sur les renflouements bancaires ». Mais la résolution fut orientée vers la Commission des règlements de la Chambre (House Rules Committee) seule habilitée à décider quelles résolutions ou projets de loi seront présentés à la discussion des Congressistes, où elle est, depuis, enterrée.

Etant donné les révélations récentes sur les 50 milliards de dollars escroqués par Bernard Madoff à toute une série d’investisseurs ainsi que la décision récente du Secrétaire au Trésor des Etats-Unis, Henry Paulson, de transformer le statut de GMAC LLC, la compagnie financière de General Motors, en « banque », afin de rendre cette compagnie éligible aux renflouements financiers accordés dans le cadre du Plan Paulson, LaRouche a renouvelé son appel à la création d’une Commission Pecora, au plus tard, en janvier.

Avec ses 161 milliards de dollars de dette, dont une bonne partie placée en instruments toxiques, et des pertes de l’ordre de 8 milliards pour les sept derniers trimestres, la Réserve Fédérale a néanmoins accepté de reclasser GMAC en « banque », le 26 décembre dernier. Et ce, malgré l’incapacité de GMAC, de répondre aux exigences émises par la même FED pour accéder à ce statut. Ce n’est pas vrai, à déclaré LaRouche, qu’une telle mesure « sauvera un quelconque emploi dans le secteur automobile, comme ils le prétendent. Il n’y a aucune intention de sauver des emplois, uniquement des intérêts financiers ».

« Nous ne pouvons pas perdre un instant de plus », Larouche a souligné. « Nous avons besoin d’une nouvelle commission Pecora avec tous les pouvoirs judiciaires nécessaires pour aller au fond de la pire débâcle financière de l’histoire. Etant donné la terrible condition dans laquelle se trouvent les Etats et les villes, j’appelle mes amis dans les parlements des Etats, dans les conseils municipaux, dans les bureaux des maires, à contacter leurs représentants au Congrès afin d’obtenir la création de cette Commission de toute urgence. »

La nouvelle administration Obama a besoin d’emprunter cette page à Franklin Delano Roosevelt. Donnez au peuple américain ce qu’il demande : des réponses à la question de comment la bulle financière la plus importante de toute l’histoire a été créée. Il faut trouvez les responsables. C’est seulement en braquant les projecteurs sur les crimes de ce passé récent, qu’un soutien populaire peut être obtenu pour des solutions légitimes. Donnez à la nouvelle administration le même type de levier que la Commission Pécora a apporté à Franklin Roosevelt, pour que la réorganisation bancaire puisse se faire et que la reconstruction économique puisse réellement commencer.

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Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
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