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LaRouche : Évaluation stratégique et urgence d’action


Crash de l’airbus AF 447, folie de la présidence américaine, crise systémique, rôle du dollar... le dimanche 7 juin, Lyndon LaRouche a réagi sur le vif à ces événements.


« Les informations que j’ai reçues d’experts européens sur le crash du vol 447 d’Air France, évoquent l’hypothèse d’une explosion dans le nez de l’appareil, en dessous du cockpit. Ce n’est pas officiel, mais c’est l’opinion de certains experts, qui permettrait d’expliquer ce qu’il s’est apparemment passé. Cette explosion aurait neutralisé toutes les commandes électroniques de l’appareil, le rendant incontrôlable.

Ces suppositions ne sont contredites par aucun des éléments rendus publics jusqu’ici. Soit une bombe sophistiquée avait été placée sous le cockpit, soit quelque chose d’autre aurait provoqué les mêmes effets. Ce sont les seules options.

Quoi qu’il en soit, dans un monde où aucun gouvernement n’est prêt à affronter la crise, c’est une question gravissime. Et le gouvernement américain compte parmi les moins disposés à faire face à la réalité : notre cabine de pilotage est occupée par des fous.

Les gouvernements, les économistes et les groupes de pensée sont incapables d’affronter l’effondrement du système monétaire et de l’économie physique mondiale qui s’ensuit. Dans ce contexte, si la Russie pousse la Chine à abandonner le dollar et que celle-ci l’accepte, l’on assistera à un effondrement immédiat du gouvernement fédéral, ainsi que de chacun des Etats américains, ce qui se répercutera aussi en Europe.

Il faut bien avoir en tête que le président des Etats-Unis, ses conseillers et les intérêts financiers qui contrôlent le gouvernement depuis septembre 2007, font exactement l’inverse de ce qu’il faudrait faire. Avec sa soi-disant « réforme » du système de santé, Obama s’apprête à faire le pire que l’on puisse imaginer.

Non seulement c’est une politique génocidaire modelée sur celles d’Hitler, mais elle ne fera qu’accélérer l’effondrement structurel des institutions américaines. Dans ces conditions, si une pandémie de grippe se déclenchait aux Etats-Unis mêmes, ce serait un désastre dépassant tout ce que l’on peut imaginer.Sous la pression de la crise et la menace d’un nouveau Tien-an-men, promu par les gouvernements britannique et américain, la Chine pourrait changer de politique vis-à-vis du dollar. C’est ce que certains, aux Etats-Unis et en Europe, promeuvent activement. Mais cela signifierait la désintégration instantanée du gouvernement des Etats-Unis et de la notion même de gouvernement.

Pour en venir à l’essentiel, ce problème ne peut être résolu par aucun dirigeant en place. Je suis le seul à savoir comment faire. Les dirigeants économiques et financiers américains ne sont pas compétents sur ce point. Il y a certes des personnes capables dans nos institutions, mais elles ne sont pas actuellement en position d’influence.

Sous certains aspects, la situation est même pire en Europe de l’ouest et en Europe centrale. Avec ce système euro qu’elle s’est elle-même infligé, l’Europe est en train de se saborder. Les nations d’Europe continentale n’ont pas l’autorité institutionnelle pour faire face. Le Royaume-Uni sombre dans le chaos et cette crise pourrait bien lui être fatale. Gordon Brown pourrait sauter, et c’est tout ce qu’il mérite, mais, malheureusement pour le monde, il n’y a personne de compétent pour le remplacer.

Si la Chine rompt avec le dollar, le système international s’effondrera et tout dépendra de qui, à Washington, est en position d’influer sur la politique américaine. Et j’ai bien peur que si je ne suis pas, pour ainsi dire, aux manettes pour piloter les opérations, les Etats-Unis n’y survivent pas.

Alors que les gens cèdent à leurs propres préoccupations et que l’administration Obama déclenche de véritables opérations de basse police contre nos militants, après notre intervention dans leur réunion sur la réforme du système de santé, nous restons la seule force ayant le savoir-faire pour guider les cercles dirigeants américains. Évidemment, la première chose à faire est de se débarrasser de cette réforme de la santé. Nous ne pouvons tolérer l’adoption de politiques hitlériennes dans notre pays !

Des accords doivent de toute urgence être conclus avec d’autres gouvernements pour mettre le système financier international en banqueroute organisée du jour au lendemain, comme ce qui s’est fait le 1er mars 1968 : il s’agit de suspendre soudainement le système en vertu d’un accord de transition, visant à assurer la stabilité économique. Concrètement, on gèlera les paiements sur certains types d’actifs financiers et l’on créera de nouveaux outils pour émettre du crédit sécurisé à long terme, ce qui nous permettra d’enrayer l’explosion du chômage et le déficit d’infrastructure et de production industrielle et agricole, aux Etats-Unis comme en Europe et ailleurs.

Pour cela, il faut que quelque-unes des principales nations se mettent d’accord en 24 à 48 heures. Je sais pertinemment quelles sont les mesures qui fonctionneront et je sais où trouver le genre de personnes qui, dans les différents gouvernements, sauront les mettre en place.Nous pouvons très bien empêcher cette planète de sombrer dans un âge de ténèbres.Les gens voient la crise qu’ils veulent voir, considèrent les problèmes qu’ils veulent bien considérer et parlent des choses dont ils aiment parler : ils ne regardent pas la réalité en face. De toute l’histoire humaine, on n’a jamais vu pareil effondrement planétaire de la finance et du système physique d’économie. En tous cas, certainement pas depuis 1700 avant JC. Il n’y a pas de précèdent.

Puisqu’il s’agit essentiellement d’un problème d’argent, nous pouvons créer un nouveau système de crédit pour remplacer le système monétaire actuel et empêcher ainsi la désintégration physique de l’économie mondiale. Pour cela, il faudra qu’un accord soit trouvé entre les Etats-Unis, la Russie, la Chine, l’Inde et d’autres, ce qui est tout à fait possible si le rôle du pilote est confié à la bonne personne.

Voilà où nous en sommes. Toute autre discussion ou point de vue sur ces choses, localement ou mondialement, est une perte de temps. »

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  • Ben • 22/06/2009 - 13:59

    Bonjour,

    N’envisagez-vous pas le fait que la conduite des gouvernements soit préméditée ?

    Vous laissez entendre que les gouvernant "ne savent pas faire". N’est-il pas plus pertinent de dire que les gouvernants "ne veulent pas faire" ?

    Cordialement.

    Répondre à ce message

  • Al Kwarizmi • 15/06/2009 - 18:25

    Bonjour par rapport à l’évaluation stratégique avez vous des infos sur ce qu il ce passe en Iran en ce moment à la suite des elections presidentielles ?
    Y aurait il une tentative de provoquer et de destabiliser l Iran derriere toutes ces manifestations ?
    Ou peut etre est ce juste pour l’enfoncer encore plus aux yeux de l opinion ?

    • Bebert • 15/06/2009 - 23:25

      Comme en moldavie,le facteur twitter n est pas negligeable et sert de source d informations non verifie pour les medias occidentaux.

      Il y a apparement une grande difference electorale entre les grandes villes et les campagnes. Beaucoup de classes moyennes superieure et d etudiants reve d une ouverture au monde, et particulirement occidental, et d un Iran plus cosmopolite et moderne. Et avec amadinejad, il doivent etre sacrement decus, c est sur !

      Maintenant tout ca ne nous dit rien sur le resultat de l election. D ailleurs personne ne semble avancer de preuves tangibles d une fraude.

      Il se pourrai bien que les espoirs d une partie de la population soient utilise pour destabiliser l Iran, chauffer le regime a blanc et preparer l opinion a une guerre qui serait de son fait.

      Au meme moment Netanyahou fait croire a des concessions sur la Palestine pour paraitre modere aux yeux du monde et la france vient de signer un accord de defense avec les EAU qui nous met en premiere ligne face a l Iran.

    Répondre à ce message

  • matière invisible • 08/06/2009 - 19:58

    Les personnes à qui j’essaie de faire lire les documents de Larouche sur l’économie ont l’impression d’avoir à faire à une secte (côté sectaire) car toutes les connaissances semblent provenir d’un seul homme.
    Et donc pour essayer de convaincre que larouche a raison est difficile.
    Que faire ?
    Pourrait-on mieux connaître la personne sur la provenance de ses connaissances ?

    • julien • 09/06/2009 - 17:10

      Cela fait dix ans que je regarde ce qu’écrit Larouche (depuis la crise de 98). Il a vu juste mais est-ce si étonnant ?
      Larouche a construit un mouvement autour de sa pensée et de sa personnalité : comment ne pas passer pour un gourou ? Je crois que le modèle du penseur isolé et celui du mouvement politique ne sont pas conciliables. Est-ce une situation transitoire ? Quel est l’avis du modérateur ?

    • Bertrand Buisson • 10/06/2009 - 20:52

      @matière invisible et Julien :

      Si vous lisez les textes de LaRouche, vous avez du voir qu’il n’a de cesse de ressituer dans le contexte politique actuel un courant de pensé qui n’est pas né avec lui et qui ne devra pas s’éteindre avec lui...

      Mais je suis sûr que cet aspect central ne vous avait pas échappé.

    • julien • 14/06/2009 - 10:22

      "qui ne devra pas s’éteindre avec lui"
      Vous pensez-vous investis d’une mission ? Je trouve cela plutôt inquiétant.
      Un point dérangeant chez LaRouche c’est que ces idées qui sont à la marge du discours puissent en fait en être "l’aspect central".

    • Bebert • 14/06/2009 - 21:27

      Pour dire ca tu n as pas du le lire reellement.

      tu trouveras la quelque uns de ses textes de fond traduit en francais :
      http://solidariteetprogres.org/article4609.html#2

      sinon va sur le site du larouche pac, il y a notamemt son dernier texte :
      http://larouchepac.com/node/10319

      Apres j ajoute quand meme que les idees et les personnes, ne sont pas deux choses separees, les premieres s incarnent car les seconds les font vivre par leur combat politique.
      Souvent les gens pensent que larouche est tres presomptueux mais il ferait mieux de se poser la question "qu est-ce qui lui permet de dire ca".
      Avant ca on devrait meme d abord juger ce qu il dit par rapport a la realite politique plutot que de partir sur des formalites.

      a suivre...

    • Bebert • 14/06/2009 - 21:28

      (suite)

      Perso, j ai entendu/lu larouche pour la premiere fois en 2003 autour de sa campagne pour destituer Cheney ou il etait en guerre contre les reseaux qui ont organise ladministration Bush et la guerre d Irak. Ce qui m a marque par rapport a ce que je lisai par ailleurs c est qu il allait droit au but et qu il n hesitait pas a baser son analyse sur une continuite historique contemporaine et meme ancienne. Je me suis dit 2 choses : 1. "putain ce type a raison" et 2. "mais d ou y sort pour dire des choses pareils ?". mais la je me suis pas arreter aux recherches google/wikipedia et j ai lu ses textes de fonds ou il developpe les fonmdements de sa pensee puis je suis alle voir les references qu il citait et j ai commence a les lire dans le texte...

      Apres, a toi de voir si les idees ca existe et si ca a une quelconque importance politique pour aujourd hui et pour demain.

    Répondre à ce message

  • pikpus • 09/06/2009 - 00:47

    Pour agir avec sagesse il faut faut beaucoup d’altruisme. C’est ce qui manque à nos dirigeants qui ne pensent qu’à leur carrière puisque parrainé par des puissances financières aux objectifs malsains. De plus, cela suppose une vision et une connaissance parfaite de la situation globale. Celui qui fait abstraction des besoins fondamentaux des humains amène le monde dans une impasse et vers le chaos...

    Répondre à ce message

  • dra • 08/06/2009 - 19:59

    Eh ! oui ! Lyn a raison encore une fois.
    L’abstention massive dans tous les pays européens hier est la réponse du peuple qui ne sait formuler sa pensée et agir mais qui sait que ce qu’on lui propose ne va pas dans le bon sens celui de la vie et du partage. Il veut une politique à visage et à échelle humaine. C’est tout !

    Répondre à ce message

  • yann • 08/06/2009 - 17:30

    J’adhère totalement à cette idée, cependant dans la mise en œuvre, trouver des personnes réellement compétentes est un défi dans chaque pays. En effet, la volonté du peuple est nécessaire avant d’accoucher de cette volonté de changer les dirigeants.
    Aujourd’hui chacun espère encore que cette crise se tassera, comme cela s’est passé bien avant. nous espérons nous lever avec la valeur de l’argent qui n’a pas changé sans nous rendre compte que nous sommes virtuellement en pleine banqueroute zimbabwéenne...
    Comment faire ?

    Répondre à ce message

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a vu juste sur...

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Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

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La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
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Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

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S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

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Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

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Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
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