Le parti du travail humainTel. 01 76 69 14 50

22 mars - Conférence internationale de l’Institut Schiller Lire 21 mars - Entretien avec le professeur Renaud Piarroux Lire 21 mars - Travail humain Lire
AccueilNotre actuPartenaires
Déclarations d’Helga Zepp-LaRouche

« La vérité finit par se savoir », Déclaration d’Helga Zepp-LaRouche sur le Sommet de Copenhague

La vérité finit par se savoir
ou les habits neufs du roi à Copenhague

L’ahurissant projet d’imposer au monde une dictature mondiale sur la base du plus grand scandale scientifique de l’histoire a échoué. Ainsi, une défaite décisive a été infligée à l’Empire britannique — dont les divers représentants ont avoué avec une franchise sans précédent leur véritable objectif, à savoir une réduction massive de la population mondiale. Parmi les résultats positifs de la conférence, soulignons la défense de la souveraineté nationale et une coopération qualitativement nouvelle entre la Chine et l’Inde, comme le notait le Times of India.

Le président Obama, par contre, a fait mauvaise figure. Tout d’abord, dans son discours de huit minutes, il a employé des formulations largement interprétées comme insultantes pour les Chinois, puis il a brusquement fait éruption dans une réunion des dirigeants chinois, indiens et brésiliens, malgré les protestations des officiers chinois du protocole, pour leur dire qu’il ne voulait pas qu’ils négocient à huis clos. Le quotidien brésilien O Globo rapporta l’incident, en précisant qu’« il n’y a pas eu de blessés graves ».

L’échec du sommet géant de Copenhague est un camouflet cinglant pour tous ceux qui, en dépit du Climategate et du nombre grandissant de scientifiques qui se distancient de la thèse du réchauffement climatique anthropogène, comptaient imposer leur changement de paradigme dans le monde. Que l’arrogance de Mme Hedegaard, qui dirigeait les négociations, ait considérablement renforcé la résistance des pays en voie de développement, n’a surpris que les idéologues du climat qui n’avaient pas encore remarqué que le centre de la dynamique historique s’était déplacé depuis un bon moment vers la région du Pacifique.

Un député républicain du Texas présent à Copenhague, Joe Barton, a tenu des propos plus réalistes : « Je ne pense pas que la Chine se livre à de l’obstruction, je crois que c’est une réalité. Ils ne vont pas, soudainement, laisser tomber tout le développement technologique et économique qu’ils ont réalisé, rien que pour satisfaire à un objectif politique de l’Ouest. Qu’est-ce que nous [les Etats-Unis] aurions fait en 1850 si l’Angleterre, la France et l’Allemagne avaient dit : "Vous ne pouvez pas construire des usines." Nous leur aurions dit d’aller se faire voir. »

Au lieu de s’accrocher à cet agenda raté et à la chimère clairement irréalisable d’une « dictature du climat », les gouvernements et tous les responsables feraient mieux de conduire une analyse honnête et exhaustive des évènements. Le Climategate n’a pas seulement révélé les méthodes avec lesquelles certains « scientifiques » se sont spécialisés en vue de profiter des fonds réservés à la recherche, mais aussi le manque de scrupule avec lequel certains hommes politiques et représentants des médias se moquent des effets que la politique du climat qu’ils proposent aurait sur les pays en voie de développement.

Même si cela ne plaît pas aux représentants de l’Establishment occidental, le chef actuel du G77, Lumumba Di-Aping, avait raison de commenter dans une conférence de presse, qu’on a tout essayé pour obliger les pays du Sud à signer un « pacte suicidaire ». En effet, comme le reconnaissent les économistes honnêtes aux Etats-Unis et en Europe, le traité sur le climat proposé se traduirait par la destruction du développement que le tiers monde a déjà réalisé. Un grand nombre de gens mourraient chaque jour de faim, du manque de soins médicaux, de l’absence d’infrastructures. Les mesures proposées auraient eu pour effet d’accroître énormément le taux de mortalité et le chaos social, ouvrant la voie aux Quatre chevaliers de l’Apocalypse, au renversement de gouvernements et à un nouvel âge de ténèbres.

Pourtant, les scientifiques sérieux se montrent prêts à admettre des erreurs dans les évaluations. A titre d’exemple, des membres éminents de l’American Physical Society diffusent une lettre ouverte à la direction de l’Association lui demandant de revenir sur sa déclaration de soutien à la théorie du réchauffement climatique, émise en 2007. La déclaration, précisent-ils, repose en grande partie sur des travaux scientifiques falsifiés, et son maintien met en cause l’intégrité de l’APS.

Par ailleurs, avant le sommet, le président Medvedev avait rencontré un groupe de scientifiques russes qui avait mené bataille, dès 2004, contre le conseiller scientifique de Tony Blair, Sir David King. Youri Osipov et l’académicien Youri Israel faisaient partie du groupe. Osipov soulignait que dans les discussions précédant le traité de Kyoto, il n’y avait pas de base scientifique pour les mesures, mais que King a néanmoins exercé des pressions énormes. Le président Medvedev a assuré les scientifiques qu’il tiendrait compte de leur inquiétude que la Russie « se laisse entraîner dans un jeu politique lancé par d’autres ». Le monde des affaires, dit-il, a découvert que le secteur de l’économie d’énergie est une source de revenus lucrative, et que c’est sans doute « l’odeur de l’argent » qui fait que certains dirigeants politiques s’impliquent avant tant d’enthousiasme dans le débat.

Dans ce contexte, nous notons qu’une trader de JP Morgan, Blythe Masters, est désormais responsable du commerce des émissions de CO2 à cette banque. Mme Masters est intéressante dans la mesure où c’est elle qui a inventé l’instrument financier « créatif » qu’est le credit default swap (swap de crédit sur défaillance), qui a apporté une contribution considérable à la crise financière actuelle. Reprenant un genre moderne de vente d’indulgences, les producteurs dans les pays industrialisés, par exemple, achètent des crédits d’émission auprès de Climate Care, une société installée à Oxford, qui vend des fours pour huit dollars à des femmes dans les village d’Ouganda. Bien sûr, les produits financiers portant sur les émissions sont aussi vendus à des investisseurs extérieurs. C’est ainsi qu’on a relancé la même arnaque qui était à l’origine de l’effondrement des marchés financiers en juillet 2007.

La chancelière Merkel, elle-même physicienne et ancienne ministre de l’Environnement, devrait faire preuve de la même intégrité que les scientifiques de l’APS ayant signé la lettre ouverte, et ordonner une enquête sur les faits récemment divulgués dans le domaine de la recherche. Une telle enquête devrait, évidemment, s’intéresser à tous les dessous du Climategate. Mais au-delà, elle devrait déterminer si les modèles mathématiques de prévision de l’évolution du climat ont une quelconque validité, ou s’ils ne mènent pas aux mêmes erreurs qu’ont commises les économistes « reconnus » vis-à-vis du système financier.

Mais bien d’autres dogmes acceptés doivent être remis en question. Lors de la conférence démographique mondiale à Bucarest en 1974, c’est-à-dire avant le récent changement de paradigmes, il était parfaitement clair pour les ONG que la « réduction de la population » était un « Rockefeller baby ». Le véritable problème n’est pas la surpopulation, mais un manque scandaleux de développement, comme le constatait avec raison le pape Paul VI dans son Encyclique de 1967.

Le quotidien danois Berlinske Tidende titrait pendant la conférence : « Le nouvel ordre économique mondial a dominé le sommet sur le climat ». Il va peut-etre trop loin, mais il s’agit bel et bien d’un pas significatif dans la bonne direction. D’autres devront vite suivrent, car l’effondrement systémique mondial continue, la liste des nations insolvables ou potentiellement insolvables s’allongent : Islande, Dubaï, bientôt la Grèce, l’Espagne et d’autres. Un nouveau système de Bretton Woods, le retour au standard de la loi Glass-Steagall et un nouvel ordre économique mondial sont de plus en plus urgents. De ce point de vue, le sommet de Copenhague a été une victoire d’étape.


Focus : Victoire à Copenhague !


Un message, un commentaire ?

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?

Pour afficher votre trombine avec votre message, enregistrez-la d’abord sur gravatar.com (gratuit et indolore) et n’oubliez pas d’indiquer votre adresse e-mail ici.

Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

  • Didier Barthès • 21/12/2009 - 12:26

    Vous ne pouvez pas balayer aussi facilement la question de la surpopulation.
    Quand Paul VI parlait en 1967, il y avait deux fois moins d’hommes sur la Terre.

    Depuis cette date la planète a gagné plus d’habitants que depuis les débuts de la révolution néolithique il y a 10 000 ans. Nous sommes aujourd’hui 25 ou 30 fois plus nombreux qu’à l’époque de jésus Christ, or depuis, la planète n’a pas gagné un seul mètre carré, mais notre expansion a éliminé la plupart des grands animaux sauvages. Est ce raisonnable ?

    Dans 800 ans environ, au même rythme, nous disposerons de 1 mètre carré par personne (faites le calcul !). Encore une fois : Est-ce raisonnable ?

    Répondre à ce message

  • jonsnow • 21/12/2009 - 10:43

    Les ecrits d’helga zepp larouche sont souvent pertinents. Les infos qu’elle rapporte ne se lisent pas ailleurs. En revanche il est dommage d’utiliser le même vocabulaire que ceux que l’on combat(ex:nwo), c’est ambigu...
    Et n’oubliez pas de mettre les sources, qu’on puisse aller verifier svp ;)
    merci pour le boulot !

    Répondre à ce message

  • plusieurs • 20/12/2009 - 19:05

    Le prince philippe n’ a plus qu’ à aller se faire voir chez les virus...

    Répondre à ce message

  • Niala Rodit • 20/12/2009 - 17:19

    A travers vous et votre mouvement, je dois féliciter tous ceux qui contribuent à faire échec aux plans déshumanisants dans le monde. Pour un si gros mensonge intellectuel au niveau mondial, si seulemt la Honte et le Ridicule nous tuaient ! Soit dit en passant : A qui imputer les blessés "non" graves de l’incident que rapporte le quotidien brésilien O Globo ? . Toute ma deception.

    Répondre à ce message

Déplier les commentaires||Replier les commentaires
Vous souhaitez aider ? Adhérer, faire un virement mensuel, participer à un stand militant ? Prenez contact avec nous.

Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation

Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
Faire un don et adhérer plus tard