Le parti du travail humainTel. 01 76 69 14 50

24 mars - Appel à voter Sébastien Périmony Lire 23 mars - Enquête Nord Stream, le mensonge de Nathalie Loiseau Lire 23 mars - Jacques Cheminade pour un référendum sur la participation citoyenne Lire
AccueilNotre actuElections régionales Bretagne 2010
Fiches-programme

Santé : pour un vrai service public

Le constat dressé par Ouest France dans son édition du 18 janvier 2010 est clair : non seulement les Bretons ne sont pas égaux face à la santé par rapport aux autres régions de France, mais ils ne sont pas égaux à l’intérieur même de la Bretagne où l’on observe une différence entre l’intérieur et le littoral.

A l’échelle nationale, les Bretons se classent en 18ème position sur 22 pour les hommes et en 17ème pour les femmes pour l’espérance de vie. Il y a par ailleurs un problème spécifique à la Bretagne avec une mortalité liée au suicide et à l’alcoolisme supérieure de 30% chez les hommes et de 20% chez les femmes à la moyenne nationale.

L’existence de « zones blanches » à plus de 30 km des SMUR, les services d’urgence et de réanimation, est également des plus significatives. Pour terminer, il faut également savoir qu’il y a en moyenne moins de médecins par habitant que dans les autres régions et qu’en outre, ceux-ci se concentrent sur le littoral et dans les grandes agglomérations.

Face à cette situation qui nécessiterait un programme à « marche forcée » à l’échelle régionale, que trouve-t-on ? Une réorganisation de la santé décidée par le gouvernement pour l’inclure dans la logique de dérégulation réclamée par les marchés financiers. Une fois ce secteur « enfin » devenu financièrement rentable, on offrira sur un plateau d’argent les morceaux les plus juteux au secteur privé détenu par les grands groupes d’assurances ou autres hedge-fund : en bref une santé « tiroir-caisse » par opposition à une santé au service de la population. A Carhaix, la bataille acharnée des élus et de la population a permis de sauver l’hôpital en l’associant à celui de Brest, mais pour combien de temps ? Le président du conseil régional, Jean-Yves Le Drian, ne déclarait-il pas, selon Ouest-France , que « le but premier du gouvernement était bel et bien de fermer Carhaix » ?

Déjà, à Noyal-Pontivy, la région inaugure le premier hôpital en partenariat public privé (PPP), avec l’implantation d’une grosse structure destinée à devenir l’hôpital de « référence » du secteur centre Bretagne. Comment se traduit ici « partenariat » public privé ? Deux partenaires qui jouent selon des règles du jeu différentes mais bénéficiant systématiquement au privé par la cannibalisation du public. Ainsi les subventions publiques vont-elles à 80% au privé et à 55% au public, lequel, face à l’insuffisance des fonds qui lui sont destinés, se trouve par conséquent dans l’obligation d’emprunter et devra très probablement réduire son personnel pour être en mesure de rembourser les emprunts.

Encore une fois, la priorité est l’argent (satisfaire l’appétit des actionnaires) 1) en supprimant les équipements jugés redondants dans des zones géographiques déterminées, 2) en confiant au privé les soins les plus rentables (parce que bien remboursés par l’Assurance maladie et ne nécessitant pas de séjour prolongé, donc de frais de personnel).

Cette conception assimile la santé à un fardeau financier, les soins étant vus comme une ressource rare qui doit être délivrée à ceux qui la « méritent » vraiment et qui sont prêts à (ou peuvent) payer pour.

Notre conception est directement à l’opposé  : la santé est un investissement productif, un investissement éminemment rentable puisque la bonne santé d’une population se traduit par des économies importantes sans compter le bénéfice, impossible à chiffrer mais fondamental, que retire le pays d’une population qui tendra à être plus heureuse, plus optimiste, plus portée à se sentir responsable de l’avenir et des autres si elle est en bonne santé.

Dans cette vision, la santé est nécessairement un service public et d’une certaine manière, le premier des services publics. Elle n’exclut nullement la médecine privée avec laquelle elle doit s’articuler de manière harmonieuse, mais définit clairement la santé comme une activité répondant aux besoins de la population et non à la cupidité des actionnaires ou autres prédateurs.

Dans notre conception, on doit commencer en garantissant l’accessibilité de la santé pour tous, ce qui suppose un maillage sans » trous ». Pour s’assurer de la densité adéquate de ce maillage, on réalisera des cartes anamorphiques (où les distances se lisent en temps et non plus en kilomètres) des équipements médicaux de première nécessité. En ce qui concerne les urgences, toute personne doit être en mesure d’accéder à l’hôpital de proximité en moins de 30mn. Il faut également que les habitants vivant loin du littoral puissent trouver médecins généralistes, dentistes, ophtalmologues et infirmiers dans le bourg le plus proche de leur domicile, ce qui suppose d’augmenter immédiatement le numerus clausus des étudiants en médecine, sachant que cela ne résoudra pas la pénurie avant les dix ans nécessaires à la formation d’un médecin.

Qu’est-ce qui s’oppose à cela ? La politique même du gouvernement pour les raisons évoquées plus haut sachant qu’à ce jour, la santé est une prérogative de l’Etat – ce qui est une excellente chose tant que le gouvernement en place a le souci de garantir une égalité des soins dans l’accès et la qualité sur tout le territoire de la République. Or, il y a un paradoxe puisque avec la loi Hôpital 2007, des compétences importantes ont été confiées aux directeurs des Agences régionales de l’hospitalisation (ARH), lesquelles ont subi un nouvelle mutation pour devenir aujourd’hui des Agences régionales de la Santé (ARS) aux compétences encore plus étendues (par exemple, elles ont maintenant autorité sur la médecine de ville). Malheureusement, ce surcroît de compétences à l’échelle régionale, qui pourrait être utile tant qu’il ne crée pas des fiefs et n’aggrave pas les inégalités déjà existantes entre régions, semble bien être conçu pour relayer prioritairement la politique de l’Etat de « rationalisation » des soins. A noter, dans ce contexte, le nouvel Institut de Management créé au sein de l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) de Rennes, ayant pour mission de former les administrateurs des institutions de santé publiques et privées, notamment les ARS, à cette idéologie comptable en vigueur. Cet institut, tout comme le MBA en santé publique, fait en partenariat avec l’ESCP (Ecole supérieure de commerce de Paris) et la London School of Economics, a vocation internationale et dispense son enseignement en anglais.

L’Observatoire régional de la santé de Bretagne (ORSB) co-financé par la région est un instrument utile mais insuffisant. Au moins nous permet-il de confirmer le manque de médecins en Bretagne comparé aux autres régions (307 médecins pour 100 000 habitants en Bretagne contre 338 pour le reste de la France). A cet égard, les mesures de la région pour lutter contre la désertification médicale en instaurant des aides à l’installation des jeunes médecins sont très positives, mais ce qui est véritablement urgent aujourd’hui, c’est de stopper en amont le détricotage du maillage sanitaire déjà existant. Il faut également arrêter net le processus où, suivant les cas, l’hôpital public est soit promis à une « reconversion » en hospice pour les pauvres, comme dans l’ancien temps, soit destiné à voir ses richesses (personnels, équipements techniques de pointe) « vampirisées » par le privé. C’est pourquoi, il serait nécessaire que la région soit dotée d’un pouvoir supplémentaire lui permettant d’opposer un droit de veto aux restructurations menaçant le service public.

Ce serait un premier pas. Celui-ci n’aurait cependant toute sa signification que s’il était accompagné d’états régionaux de la Santé. Ces états régionaux, rassemblant professionnels, élus, syndicats, citoyens, associations, auraient pour objectif d’effectuer un audit sur le fonctionnement de la santé en Bretagne, d’amener collégialement et en toute transparence cette discussion sans laquelle on ne peut espérer résoudre en profondeur les problèmes complexes qui se posent. Chacun sait pertinemment qu’il existe de grandes zones d’opacité dans le fonctionnement des diverses institutions à quelque niveau que ce soit : national, régional ou local, ce qui rend caduc nombre de dispositifs qui existent déjà et qui auraient un rôle bénéfique pourvu qu’ils soient mis en pratique. Surtout, de tels états régionaux aideraient à reconceptualiser la nature des problèmes propres à la Bretagne, ainsi qu’à engager un véritable débat sur l’éthique des soins. Nous nous engageons à faire apporter une réponse aux défis les plus urgents :

  • pourquoi des zones blanches sur la carte ?
  • ces zones blanches coïncident-elles avec les poches de pauvreté et de misère où l’on recense la plus grande densité de suicides et de cas d’alcoolisme ?
  • qu’est-ce qui explique que l’espérance de vie des Bretons soit l’une des plus mauvaises de l’Hexagone ?
  • pourquoi un habitant des Monts d’Arrée n’est-il pas à égalité (accès aux soins, urgences) avec ceux des grandes villes ?
  • qu’est-ce qui fait que les médecins libéraux s’installent prioritairement sur la côte plutôt qu’à l’intérieur des terres où l’on a pourtant davantage besoin d’eux ?
  • comment améliorer les échanges entre praticiens du secteur public travaillant dans différentes structures, sachant qu’il en résultera une amélioration des connaissances et des qualifications ?
  • peut-on continuer à fermer des lits (le cas de la psychiatrie étant particulièrement préoccupant) sans en créer de nouveaux ?

Voilà un certain nombre de questions qui devraient être posées et sur lesquelles la région doit pouvoir répondre et agir. La Bretagne a un gros atout avec le bon niveau d’étude de ses habitants, ce qui facilite grandement la relation entre patients et personnel de santé du fait de l’attitude personnelle des patients envers la santé ; c’est une dimension sur laquelle il faut s’appuyer (par exemple, la Bretagne est l’une des régions de France ayant le plus faible taux de mortalité périnatale du fait de la « prise en charge » du nouveau-né par les parents).

D’autres mesures, plus ponctuelles, sont à mettre en place :

  • obliger l’affichage systématique des dépassements d’honoraires (en particulier pour les disciplines connaissant une pénurie de praticiens) afin que les patients ne soient plus financièrement « pris au piège ».
  • créer un service public des soins à domicile dans lequel la région a un rôle à jouer. Ces soins sont en effet actuellement délivrés par des intervenants du secteur privé ou associatif. Il n’est certes pas question ici de critiquer leur travail, mais il apparaît comme une nécessité, surtout en milieu rural, d’assurer dans un tel domaine la dimension de service public qui doit être celle de la santé pour tous que nous défendons.

En résumé, notre bataille a pour objectif d’en finir avec ce qui s’apparente de plus en plus à la gestion d’une pénurie organisée pour retrouver une pratique de la santé devant accompagner et favoriser l’essor d’une région qui aura fait le choix de l’avenir et du progrès.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?

Pour afficher votre trombine avec votre message, enregistrez-la d’abord sur gravatar.com (gratuit et indolore) et n’oubliez pas d’indiquer votre adresse e-mail ici.

Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Déplier les commentaires||Replier les commentaires
Vous souhaitez aider ? Adhérer, faire un virement mensuel, participer à un stand militant ? Prenez contact avec nous.

Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation

Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
Faire un don et adhérer plus tard