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HSBC, lorsqu’Arte sombre dans le complotisme anti-chinois

La bande annonce était prometteuse. Tout comme le texte annonçant l’émission « Les gangsters de la finance » sur Arte le 12 décembre :

Blanchiment, fraude fiscale, corruption, manipulation des cours... : depuis la crise de 2008, la banque HSBC est au cœur de tous les scandales. (…) Cinq ans après ‘Goldman Sachs – La banque qui dirige le monde’, Jérôme Fritel et Marc Roche plongent dans les arcanes d’un empire tentaculaire qui se cache derrière sa vitrine de banque de détail britannique. De Hong Kong aux États-Unis en passant par l’Europe, cette édifiante enquête révèle non seulement l’ampleur ahurissante des malversations commises par HSBC, mais éclaire aussi – avec une remarquable limpidité – les menaces qui se profilent sur la stabilité financière mondiale, dix ans après la crise des ‘subprimes’.

Fort utilement, l’émission conforte le spectateur dans ses intuitions sur l’existence d’une oligarchie financière, d’une finance folle et délinquante échappant à la loi. Et s’il y a une banque dont les dirigeants méritent bien la prison, c’est HSBC.

Comme le précise le site d’Arte,

créée à Hong Kong, il y a un siècle et demi, par des commerçants écossais liés au trafic d’opium, HSBC (Hongkong and Shanghai Banking Corporation) n’a cessé de prospérer en marge de toute régulation. Aujourd’hui, la banque britannique à l’ADN pirate incarne à elle seule les excès et les dérives de la finance internationale. Blanchiment de l’argent du crime – celui des cartels de la drogue mexicains et colombiens –, évasion fiscale massive, corruption ou manipulation du cours des devises et des taux d’intérêt : depuis la crise de 2008, ce géant a été mêlé à de nombreux scandales avec régularité et en toute impunité. Car l’opaque HSBC, experte en sociétés-écrans, dont les coffres débordent d’argent liquide déposé par ses clients discrets et douteux, est devenue « too big to jail », (trop grosse pour aller en prison). La banque, riche de quelque 3 000 milliards de dollars, s’en tire chaque fois avec des amendes dérisoires.

Qui Bon Dieu protège cette banque ?

Le spectateur finit alors par se poser la question fondamentale : qui Bon Dieu protège cette banque ? La réponse, vous auriez pu la lire dans le bestseller Dope Inc., publié en 1978 par une équipe internationale de journalistes d’enquête sous la direction de l’économiste américain Lyndon LaRouche.

Si l’objectif était avant tout à empêcher que HSBC puisse mettre la main sur la banque Marine Midland, le cœur du livre est sans doute une des premières enquêtes sérieuses sur les paradis fiscaux.

Or, à l’époque, et cela n’a pas beaucoup bougé, la seule infrastructure bancaire en mesure de « cacher », c’est-à-dire de « blanchir » l’argent de la drogue (estimé en 1978 à environ 200 milliards de dollars par la DEA), c’était la myriade de paradis fiscaux où les banques britanniques continuent à prédominer.

Et dans le monde bancaire, la « HongShang », tout comme bien d’autres « pirates », a été dès sa fondation une arme de guerre et de domination au service et sous contrôle direct de sa Majesté la Reine d’Angleterre et des grandes familles de la Cour britannique (Les familles Keswick, Jardines et Mathesons, etc.) qui menèrent les guerres de l’opium pour des raisons géopolitiques au service de l’Empire.

Rien à voir donc avec le mythe d’une simple entreprise cupide d’une poignée de « commerçants écossais » cherchant à profiter d’un moment historique opportun.

Dans ses termes propres, le cœur de cette analyse fut confirmé en France en octobre 2001 par le Rapport parlementaire n° 2311 « La Cité de Londres, Gibraltar et les Dépendances de la Couronne : des centres offshore, sanctuaires de l’argent sale » de MM. Vincent Peillon et Arnaud Montebourg. Or, aujourd’hui, avec les Paradise Papers, l’on prétend « découvrir » que la Reine, O my Lord, planque son argent dans les îles Caïman et que HSBC n’est pas très propre !

C’est la Monarchie, crétin !

Or, les auteurs du documentaire réussissent un tour de magie extraordinaire en faisant disparaître le rôle des Britanniques. Au lieu de démasquer la nature de la bête impériale en braquant la lumière sur sa queue, c’est-à-dire HSBC, le documentaire, à 1h26, affirme soudainement qu’aujourd’hui, HSBC « navigue sous pavillon rouge » , c’est-à-dire chinois !

Premier « preuve », le fait qu’en 2009, lorsque HSBC est touchée par la crise des subprimes, elle préfère se recapitaliser auprès de ses propres actionnaires (« les capitaux chinois ») au lieu d’accepter un renflouement par l’Etat anglais.

Or les principaux actionnaires de HSBC ne sont pas chinois mais anglo-américain :

  • Fisher Asset Management, LLC (8,58%) ;
  • Dimensional Fund Advisors LP (8,07%) ;
  • Bank of America Corporation (2,98%) ;
  • Cambiar Investors, LLC (2,80%) ;
  • Royal Bank of Canada (2,58%).

Ensuite, et surtout depuis la rétrocession de Hong Kong à la Chine en 1997, la banque restée « trait-d’union entre l’Orient et l’Occident » sert désormais de « pipeline pour les centaines de milliards d’euros de capitaux chinois partant à la conquête des marchés occidentaux… ».

Bizarrement, aucun dirigeant politique ou financier de haut niveau chinois n’est invité à répondre à des accusations aussi graves. La seule personne locale qu’on découvre, c’est Mme Laura Cha. En plein conflit d’intérêts, en effet, Mme Cha conseille le gouvernement de Hong Kong tout en siégeant au conseil d’administration de la banque mais également à celui d’Unilever, de Sotheby’s, etc.

Fière de son rôle, elle exhibe alors la philosophie de HSBC : « A Hong-Kong, nous ne gardons aucune trace des fonds investis, qu’ils viennent de Chine, d’Inde, de Singapour ou du Japon. Et ce sera toujours le cas. […] Cela ne pose aucun problème à nos entreprises d’avoir des filiales aux îles Vierges, aux Caïmans, aux Bermudes… ». Qu’elle puisse servir de relais entre certains requins chinois et les baleines de Londres, pourquoi pas. Mais voir en elle « la main » de Beijing, il y a de la marge.

La Chine veut dominer le monde

Le passage sur Mme Cha est supposé nous alarmer sur le grand danger qui menace nos belles banques occidentales : l’apparition d’un nouvel acteur sur l’échiquier financier mondial, la Chine : « Elle veut imposer sa monnaie, le yuan, à l’égal du dollar, mais elle n’a pas la connaissance de la finance sophistiquée. HSBC, qui a un ADN à moitié chinois, s’en charge. Un pacte informel a été conclu : HSBC garde sa longueur d’avance à Pékin et, en retour, facilite l’ouverture des marchés occidentaux à la Chine ».

Pour Roche & Fritel, la Chine cherche clairement à dominer le monde. Et pour accéder au statut de grande puissance, il faut disposer d’une monnaie mondiale ! Machiavélique, la Chine est alors accusée de « prendre prétexte de la Nouvelle Route de la soie » pour subrepticement imposer sa monnaie à l’échelle du globe, voilà le véritable but recherché…

C’est également pourquoi, poursuivent les réalisateurs, il faut s’inquiéter du contrat d’Hinkley Point— la construction de deux EPR en Grande-Bretagne —, parrainé par HSBC et financé à hauteur d’un tiers par la Chine, qui marque l’arrivée de la Chine dans un secteur éminemment stratégique : le nucléaire. « C’est son ticket d’entrée sur le marché de l’exportation de ses propres centrales », s’inquiète Fritel qui oublie que l’Afrique verrait d’un bon œil des partenariats franco-chinois en pays tiers, notamment dans le domaine du nucléaire civil.

Interrogé à la fin de l’émission, Marc Roche, souvent présenté comme un grand « expert » de la haute finance, a été décevant. A la question de la présentatrice s’il ne fallait pas enfin séparer les banques de marché des banques de dépôts, c’est-à-dire adopter un Glass-Steagall à la française, Marc Roche n’a pas lancé un appel à la séparation bancaire mais simplement suggéré que les citoyens n’avaient qu’à retirer leurs deniers des banques universelles en les plaçant dans des structures « plus petites qui ne jouent pas sur les marchés ».

Or, personne n’ignore que justement, ces petites banques indépendantes et plus sûres, ont disparues depuis belle lurette de nos contrées par un système fait par, et pour les banques de marché...

Et Marc Roche n’ignore pas non plus qu’en France, c’est Jacques Cheminade et S&P qui, armés d’une proposition de loi, se battent pour les recréer.

Quant au krach qui menace, l’expert, qui n’avait pas vu venir la crise de 2008, avant de nous souhaiter la bonne année, a lâché : « cela arrive tous les dix ans ».

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Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

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en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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