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Brexit ou pas, le problème reste la City de Londres !

Jacques Cheminade a été laconique, mais il est allé au fond de choses. Voici sa déclaration du 24 juin, suite à l’annonce de la victoire du Brexit.

Le Brexit signifie clairement deux choses : la fin de l’Union européenne telle qu’elle est, et la fin du système financier et monétaire international ; peut-être pas tout de suite, mais sûrement. Plus que jamais notre avenir est dans une politique gaullienne d’entente, de détente et de coopération avec tous les peuples du monde. D’abord avec les BRICS, la Russie, l’Inde et la Chine. Et puis il faut ramener les Etats-Unis à la raison. Vive la France libre, vive le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes !

Réponse de Jacques Cheminade à une question sur le Brexit, à la veille du référendum, le 22 juin, lors du Dialogue avec la nation #10 :

Nouvelle Solidarité N°2/2016 - S'abonner.
Nouvelle Solidarité N°2/2016 - S’abonner.

Brexit ou pas, le problème c’est la City de Londres. Ce n’est pas qu’elle soit dedans ou dehors, c’est qu’elle est une vérole qui se communique tous azimuts. Voilà ce qu’il faut arrêter. Le Brexit en soi, c’est quelque chose qui excite certains ; pas moi. Je reconnais que la question est mieux posée en Angleterre que le référendum en France. Ce n’est pas oui ou non, c’est Remain or Leave  : on reste ou on part. C’est clair. Mais le fond du sujet, lui, ne l’est pas. La City sera encore là de toute façon. Il y a des gens de la City qui espèrent faire plus d’affaires et embobiner l’Inde, la Russie et la Chine, et qui sont plutôt pour partir ; d’autres, qui font plus d’affaires en Europe et veulent continuer à communiquer leur vérole, sont plutôt pour rester. La Reine d’Angleterre elle-même a fait savoir que sortir ne serait peut-être pas un drame. Vous voyez donc que le sujet n’est pas aussi fondamental qu’on veut bien nous le faire croire.

Ce qui est fondamental, c’est le choc que ce sujet peut créer et les précautions qu’on a essayé de prendre. Les banques européennes et la banque d’Angleterre, Brexit ou pas, se sont associées pour mettre, comme ils disent, des liquidités à disposition des différentes banques pour éviter une catastrophe à court terme. En réalité, on va ainsi accroître encore le montant des liquidités qui circulent. Le problème, c’est de sortir d’un régime de liquidités et de monnaies pour passer à un régime de crédit public où, avec ce crédit, on fait des choses utiles pour l’Etat, pour la nation, pour l’avenir, pour l’humanité, qui créent à leur tour les moyens de rembourser le crédit. Mais si on fait du crédit, comme on l’a fait avec ces allégements quantitatifs ou autres, pour entretenir les forces financières en place, eh bien, c’est ce que j’appelle la vérole financière !

Faire l’Europe des nations ou disparaître

Par Christine Bierre

Le choc a été brutal tant cette UE a pris l’allure d’une bastille dont personne ne peut échapper. Les chutes des bourses ont été spectaculaires, la livre sterling a dévissé de 10 %. En quelques heures, le « leave » (sortir) a broyé 2 milliards de livres sur les marchés. Il a fallu tout le soutien des banques centrales pour éviter que le Brexit ne se mue en krach systémique. Elles s’y étaient d’ailleurs préparées, promettant d’inonder le système avec des liquidités.

Pour l’heure, la situation semble stabilisée, mais pour combien de temps ? Le Brexit a secoué un système financier international déjà érodé par le cancer de la spéculation financière et les 2000 milliards de créances douteuses héritées de la crise de 2007-2008. Selon les experts, la fuite vers des valeurs plus sûres, suite au Brexit, est venue gonfler le montant de la dette mondiale dont le rendement est en dessous de zéro, à 11 700 milliards de dollars !

L’Italie, premier domino à tomber ?

Premier dégât collatéral dans l’UE, les banques italiennes, déjà fragilisées par 364 milliards d’euros de créances douteuses, essentiellement des prêts que les entreprises et les particuliers peinent à rembourser, hérités de la période de récession de 2012 à 2014. Or, le Brexit est venu rogner encore les positions de ces banques.

Voulant empêcher le pire, l’Italie a proposé de recapitaliser son secteur bancaire à hauteur de 40 milliards d’euros et de créer un fonds public de 150 milliards d’euros pour assister les banques en difficulté. L’Allemagne a coupé court à ces tentatives qui cherchaient à contourner les nouvelles règles d’intervention face à des risques systémiques définies par l’Union bancaire.

Ces règles interdisent de renflouer une banque avec des fonds publics (bail-out) et ont mis en place la procédure dite de « bail-in » qui fait appel, non aux contribuables, mais, par ordre hiérarchique, aux actionnaires, aux créanciers obligataires et enfin, aux déposants de la banque. L’Italie a donc dû opter pour la création d’un fonds de 150 milliards pouvant garantir les obligations d’une banque considérée comme solvable, mais ayant de graves difficultés de liquidités.

Le sujet est ultrasensible en Italie, car nombre de déposants et d’investisseurs ont été amenés par les banques à investir dans les obligations bancaires, deuxièmes sur la liste des titres saisissables dans le cadre du bail-in ! La faillite de quatre petites banques italiennes, en novembre dernier, avait déjà provoqué un véritable drame dans la péninsule, des créanciers obligataires ayant perdu tout leur argent à cause de ce dispositif.

Or, le mécontentement contre l’Europe est déjà très fort en Italie. Preuve en est, la progression fulgurante du Mouvement cinq étoiles (M5S), parti eurosceptique de la péninsule. Dans une interview à Spoutnik en juin, Carlo Sibilia, député du M5S et secrétaire de la commission des Affaires étrangères du Parlement, accusait l’euro d’avoir provoqué la fermeture de 30 % des industries. L’Italie doit quitter non pas l’Union européenne, mais l’euro, disait-il, ou alors il faudrait créer un euro 2 pour les pays du sud ayant plus de difficultés. Le M5S a le vent en poupe : aux dernières élections, il a gagné 19 municipalités sur 20, dont Rome et Turin, la capitale industrielle du nord de l’Italie. Alors, à quand l’Italex ?

Vers l’effondrement du mur transatlantique ?

Mais le Brexit n’est pas juste une affaire européenne ; il pourrait bien être la singularité qui provoquera la chute de l’ordre mondial. En tournée en Grande-Bretagne avant le référendum, Barack Obama avait menacé les Anglais en cas de sortie de l’UE. Les Etats-Unis, disait-il, ont besoin du glacis européen pour assurer leur sécurité, et la Grande-Bretagne est l’intermédiaire clé entre les Etats-Unis et l’Europe continentale.

Or, si le peuple a voté le Brexit pour manifester sa révolte contre la politique d’immigration et d’austérité européenne – la promesse de reverser l’argent allant à l’UE au système national de santé (NHS) a été l’un des arguments les plus porteurs – quelles étaient les motivations d’autres forces qui ont permis à ce référendum d’avoir lieu et d’aboutir à ce résultat. Parmi ces forces : le Premier ministre conservateur David Cameron par exemple, qui l’a organisé ; Boris Johnson, du même parti, fut la cheville ouvrière de la victoire, sans oublier les encouragements, directs, du magnat de la presse Rupert Murdoch, et indirects de la Reine !

La réalité est qu’instinctivement, certains au Royaume-Uni savent que la survie de ce vieil empire maritime et financier dépendra de sa capacité à phagocyter le nouveau monde qui émerge avec la Chine et le Pacifique, quitte à bousculer leur relation spéciale avec les Etats-Unis ; d’autres ne veulent pas se jeter à l’eau, préférant se cramponner à un ordre international en voie d’implosion.

Dès le début de l’internationalisation de la monnaie chinoise (yuan) en 2010, Londres a courtisé agressivement la Chine pour devenir une place « off-shore » incontournable pour les émissions obligataires, les emprunts en yuan et le négoce de la monnaie. Avec un succès certain. Au point que le politologue Dominique Moïsi écrivait déjà en 2015 sur « David Cameron et la tentation du grand large », relevant « les grandes déclarations d’amour » à la Grande-Bretagne, venant de banquiers et d’investisseurs chinois et mises en avant par le Parti conservateur.

De fait, disait-il, la Grande-Bretagne, derrière David Cameron, semble aujourd’hui choisir l’Asie au détriment de l’Europe et des Etats-Unis, le monde et non l’Occident, l’avenir et non le passé.

Panique à bord aussi au New York Times du 25 juin, où l’on se demande si avec le Brexit,

ce n’est pas l’ordre post-1945 imposé sur le monde par les Etats Unis qui se défait aussi ?

Les auteurs évoquent un autre événement hautement symbolique tenu à Beijing deux jours plus tard : la première réunion des 57 membres de la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (BAII), dont l’objectif serait, selon le quotidien new-yorkais, de permettre à la Chine de réduire l’influence de la Banque mondiale et du FMI. Or, disent-ils, « L’ONU, l’OTAN, le FMI et la Banque mondiale sont les institutions de la post-guerre chargées de promouvoir la paix, la sécurité et la prospérité économique ».

Avant d’asséner l’argument massue : le Brexit serait « un cadeau inattendu pour Poutine » !

Quant à la vraie Europe des peuples, après la chute de la Maison UE, saisissons la balle au bond et construisons cette Europe des patries et des projets, chère à Charles de Gaulle.

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Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation
Approfondir

Refonder l’Europe

L’Europe n’est pas l’Union européenne (UE) ! L’UE est devenue la caricature destructrice de ce que devrait être une Europe progressant dans l’intérêt mutuel des peuples et des nations qui la composent. C’est pourquoi il faut la dissoudre.

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Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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Jacques Cheminade
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