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Solidarité & Progrès : des idées qui font peur... aux bien-pensants

Par Yannick Caroff, militant S&P.

Deux phénomènes médiatiques récents méritent notre attention, tant ils sont révélateurs de la panique dans ce que l’on est en droit d’appeler « la vallée des paumés ».

D’un côté sont apparues, depuis trois mois environ, des couvertures de presse sur les Nouvelles routes de la soie que propose le gouvernement chinois depuis septembre 2013, ainsi que sur la montée en puissance des BRICS avec l’ouverture prochaine de nouvelles banques internationales.

Ces articles ont fait sourire les militants de Solidarité & Progrès qui, depuis l’été 2014 de manière intensive, informent, débattent, éduquent la population comme les institutions françaises sur la percée des Accords des BRICS à Fortaleza en juillet dernier.

L’influence de Solidarité & Progrès sur les institutions a donc donné des fruits que l’on peut consommer en ce début de printemps : le sujet est (enfin) sur la table, et au gouvernement, on commence à prendre la mesure du phénomène des BRICS, comme en témoignent l’adhésion de la France à la BAII (Banque asiatique d’investissement dans l’infrastructure) et la récente visite à Paris du Premier ministre indien, Narendra Modi.

De l’autre côté, parallèlement à ce début de fin de timidité médiatique, une floraison (printanière) d’articles dénigre le rôle en France de Solidarité & Progrès.

Citons tout d’abord un article paru dans L’Express du 17 avril dernier (tirage de 430 000 exemplaires, surtout lu dans les grandes métropoles), puis un article dans le numéro 73 de Diplomatie (tirage de 40 000 exemplaires en 2007, 9 € l’exemplaire), magazine qui couvre l’actualité internationale et stratégique à travers des analyses d’experts. Il est surtout lu par une « élite ».

Au lieu de reconnaître le travail de fond effectué par les militants et le parti, ce sont bien des contre-vérités qui nourrissent ces articles. Notre parti est accusé du désormais fourre-tout-qui-veut rien-dire-mais-effraie-les-bien-pensants : nous sommes « complotistes », adeptes de l’idée folle que des individus s’accordent pour nuire (et parfois aussi pour faire quelque chose de bien).

En 1914, l’insulte c’était « anti-patriote », « internationaliste », « traître à la patrie ». En 2015, c’est « complotiste » ! Le point commun, une presse qui a oublié son serment de troisième œil. Cette campagne diffamatoire vise avant tout l’élite intellectuelle et politique de notre pays qui pourrait (du moins une partie d’entre elle) se décider à sortir du déclinisme ambiant pour saisir la perspective offerte par notre parti (séparation stricte des banques, crédit public productif, politique de grands projets, dialogue des cultures).

L'argument choc d'Ashraf Ben Brahim dans son livre contre les militants de S&P : ils sont pauvres !
L’argument choc d’Ashraf Ben Brahim dans son livre contre les militants de S&P : ils sont pauvres !
Crédit : twitter.com

La population a, elle aussi, le droit à son prémâchage du bien-pensant. Le message principal du livre d’Ashraf Ben Brahim, Encartés, mon immersion dans les partis politiques, dont l’auteur a adhéré simultanément à dix partis politiques différents, dont le nôtre, ne trompe pas. Sa conclusion est simple : tous pourris, indignez-vous, politisez-vous mais on ne peut rien faire...

Concernant notre parti politique, après s’être emmêlé les neurones sur notre influence [1] (malgré sept mois d’enquête), il balaie l’aspect « complotiste » par un Oulà ! Ils sont compliqués à Solidarité et Progrès : de vrais intellectuels dont « personne ne comprend grand-chose » (et « pauvres » comme Job), avant de s’étaler longuement sur une autre calomnie : nous serions une « secte » dont le gourou ne serait « pas très ambitieux ».

Le misérabilisme de l’auteur devient visible lorsque, invité par nos soins à mobiliser la population parisienne autour de stands militants, il s’amuse à faire une analyse sociologique et psychologique des passants, s’adonnant à un petit sondage où il note des commentaires.

Voici des extraits tirés du chapitre Faire le guignol dans la rue, dénigrant au passage la tradition militante de notre pays :

A l’aide de mon calepin, je faisais une sorte de benchmark, via plusieurs grilles d’analyses. En fonction de la discussion et des réponses formulées par les personnes interrogées, je mettais une note de 0 à 3. [...] Et le résultat fut pour le moins catastrophique. [...] Et à chaque réponse, je frôlais l’infarctus. [...] Un juriste du Conseil d’Etat avec qui j’ai longuement parlé m’a même répondu, le visage grave : “Tu perds ton temps, si les gens savaient comment fonctionne réellement la 5e république aujourd’hui, il y aurait des guerres civiles tous les mois [2]”. J’en ai conclu que ce n’est pas la corruption ou la crise qui déciment progressivement ce pays mais l’ignorance de ses concitoyens.

Conclusion, les gens sont bêtes. Puis il franchit un pas, affirmant sournoisement à la fin de son chapitre que le Glass-Steagall (séparation des banques), c’est une belle idée... impraticable de nos jours à cause... de la finance de l’ombre [3]

Dans son analyse sociopathétique, M. Ben Brahim vise aussi à ternir l’image de l’Institut Schiller, en racontant des ragots de basse police sur cette association culturelle dont Solidarité & Progrès promeut les initiatives.

Or sa présidente, Helga Zepp-Larouche, surnommée en Chine « Madame Nouvelle route de la soie », est la personnalité en Occident qui s’est le plus battue dans les années 1990-2000 pour promouvoir la paix par le développement mutuel et, depuis 2013, la stratégie chinoise du « gagnant-gagnant ».

Là où le jeune opportuniste dévoile ses allégeances, c’est lorsqu’il fait appel « aux autorités » pour qu’elles « soignent » les « nombreux étudiants » qui militent à Solidarité et Progrès. Peut-être espère-t-il lui-même se joindre à ce centre de soins rémunéré, s’il n’en est déjà pas membre ? En tout cas, s’encarter dans dix partis à la fois relève d’une immersion plutôt pathologique ou parrainée.

Ce que révèlent finalement les comportements sectaires des médias et de leurs émanations est la peur que la population française ne leur fasse plus confiance. A Solidarité & Progrès, nous allons continuer à défendre un projet cohérent et constructif afin de nourrir la volonté de tous ceux qui ne veulent pas se faire piéger par ce syndicat incestueux de « la vallée des paumés », qu’incarnent les médias dévoyés, le business financier et l’oligarchie politique.

Plutôt que le choc des images qui abrutissent et des mots qui asservissent, nous nous efforçons toujours de faire penser et agir contre le système en place, pour renouer avec la fierté populaire.


[1Extraits du livre : « Que ce soit dans les médias ou lors des différents scrutins, il [le parti S&P] demeure invisible. » Faux ! S&P a présenté régulièrement des candidats et des candidates aux élections locales et nationales. Exemples : 2007, cantonales ; 2010, régionales ; 2012, présidentielles et législatives (70 candidatures) ; 2014, municipales ; 2015, départementales. Quant aux médias nationaux, cet article donne un premier indice sur la raison de leur silence. Pour les médias locaux ou internationaux, des couvertures de presse peuvent être consultées sur notre site. En vrac, quelques exemple de couverture depuis 2012 : France Info, Le Nouvel Economiste, Radio Tropiques FM, Ouest France, Sud-Ouest, La Dépêche, Le Petit Journal, La Montagne, Télévision OM5 TV, Le Dauphiné libéré, Saint-Nazaire info, Le Journal de la Haute-Marne, Télévision TV Rennes, Lyon Bondy blog, Xinhua, Russia Today, etc. « Vidéos vues par 170 personnes » : faux ! Consultez nos chaînes vidéos et vous constaterez qu’il lui reste des progrès à faire en arithmétique

[2S’agirait-il d’un haut fonctionnaire « complotiste » ?

[3Argument que l’on retrouve également dans le discours des grandes banques françaises dont les activités dans les paradis fiscaux constituent sûrement un motif d’auto-persuasion. Voir à ce sujet le document Réforme bancaire : mythes ou réalité, de la Direction information et relations extérieures de la Fédération bancaire française (FBF), publié en janvier 2013 et adressé aux députés pendant la discussion sur la réforme bancaire (surtout les chapitres Mythe N°2 et N°4)

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  • Nono • 26/04/2015 - 00:11

    Après avoir lu cet article, après avoir vu le passage d’Ashraf Ben Brahim sur canal plus et après avoir compris les commentaires de Jacques Cheminade à la fin des questions & réponses de la conférence sur la BAII, il ne reste pas de doute sur qui a tiré les ficelles de ce passage télé. Ça rappelle la fois où François Hollande se faisait passer pour un écrivain de droite (Caton) en 1983 et la stratégie de François Mitterrand pour faire monter le Front National. On voit à quoi les médias et les politiques appliquent stérilement leurs intelligences. Alors qu’on a tout à gagner à appliquer notre intelligence aux idées. Des idées bien travaillés sont les guides d’une âme qui ne se perd pas dans la confusion générale. Toute l’histoire de la Chine et ce qui se passe avec les BRICS fait vraiment réfléchir sur les développement futur de l’humanité.

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Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

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Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
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