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Cheminade-Corvez : débranchons le logiciel néoconservateur d’Emmanuel Macron !

Dans une vidéo rendue publique le 9 mai, Jacques Cheminade et Alain Corvez, consultant en stratégie internationale, ont dénoncé le logiciel néoconservateur qui détermine la politique étrangère d’Emmanuel Macron et les risques que cela comporte, dans un monde où les tensions sont déjà telles qu’il pourrait, comme lors de la Première Guerre mondiale, basculer dans un nouveau conflit global. Jacques Cheminade a profité de l’occasion pour indiquer au chef de l’Etat ce qu’il doit proposer à Vladimir Poutine lorsqu’il le rencontrera le 22 mai à Saint-Pétersbourg, une politique inspirée, non de la géopolitique mais d’une vision d’un monde futur où nos enfants n’auront pas à regretter d’être nés.

C’est pour répondre aux propos de M. Macron au Journal du Dimanche du 6 mai que ces deux gaullistes ont tenu à clarifier la différence entre gaullisme et néo-conservatisme. « Vladimir Poutine a compris que je ne suis pas un néoconservateur », avait prétendu Macron au JDD, ajoutant :

Je ne suis pas interventionniste, je ne veux pas faire la guerre au régime syrien, je ne serais jamais intervenu en Irak ou même en Libye, sans avoir dans ce dernier cas, un plan politique de sortie de crise.

Pourtant, deux semaines plus tôt, le 14 avril, il faisait partie du trio occidental qui lançait 103 missiles contre la Syrie, sans attendre les preuves de l’usage d’armes chimiques par Bachar al-Assad.

Pire encore, il s’est vanté d’avoir été, avec Theresa May, celui qui a convaincu Donald Trump de participer et de maintenir sa présence en Syrie, alors que le président américain, las de voir son pays avili par tant de guerres néoconservatrices à l’étranger, avait eu le bon réflexe de vouloir faire rentrer les « boys » à la maison !

Comme le rappelle Alain Corvez dans la vidéo, « Emmanuel Macron avait laissé entendre lors de sa campagne présidentielle qu’il voulait changer la politique de la France en Syrie, mais il n’a strictement rien fait ».

Une fois élu, il avait même déclaré ne pas vouloir faire du départ de Bachar el-Assad la condition préalable à toute participation de la France dans une négociation de sortie de crise en Syrie. Or, au fur et à mesure que le dirigeant syrien assurait sa victoire contre Daech, la France faisait tout pour en retarder le succès. Au lieu d’aider la Russie à en finir au plus vite avec cette guerre pour passer à la phase de reconstruction, elle agissait au sein du « petit groupe » sur la Syrie (USA, Royaume-Uni, Arabie saoudite et Jordanie), pour forcer Poutine à accepter les Occidentaux à la table de négociations afin de peser contre Assad.

La déclaration de notre ministre des Affaires étrangères Le Drian au JDD, au lendemain des frappes, montre qu’elles visaient effectivement à forcer la main au dirigeant du Kremlin : « Il faut espérer maintenant que la Russie comprenne qu’après la riposte militaire (...), nous devons joindre nos efforts pour promouvoir un processus politique en Syrie qui permette une sortie de crise. La France est disponible pour y parvenir. (...) Sauf qu’aujourd’hui, celui qui bloque ce processus, c’est Bachar el-Assad lui-même. A la Russie de faire pression sur lui. » Cela illustre bien le double langage odieux du gouvernement.

Contenir la Chine dans le Pacifique

Même double langage dans le Pacifique, où le président Macron semble avoir épousé totalement le nouveau logiciel du Pentagone dans sa Stratégie de défense nationale pour 2018. « Le défi central à la prospérité et à la sécurité américaine est la réémergence, à long terme, d’une compétition stratégique [avec] des puissances révisionnistes », et non plus la lutte contre le terrorisme, dit ce texte. La Chine et la Russie sont ensuite désignées nommément et accusées de vouloir « forger un ordre du monde cohérent avec leur propre modèle autoritaire ».

La première pour chercher à imposer « son hégémonie dans la région indo-pacifique » et la seconde, pour tenter de « faire voler en éclat l’OTAN », aussi bien en Europe qu’au Moyen-Orient.

Depuis 2013, et à nouveau en mai 2017, le président Xi Jinping a présenté au monde, sous la forme de son projet de Nouvelles Routes de la soie, une stratégie gagnant-gagnant pour retrouver la croissance et créer les conditions d’un retour au plein emploi à l’échelle mondiale.

Mais au lieu de négocier une coopération avec cet immense plan Marshall, et alors que la Chine entretient les meilleures relations avec la France, M. Macron a préféré faire appel à son logiciel néoconservateur : voir ce projet chinois comme une menace et chercher des alliances avec d’autres puissances pour le contenir ! Pourtant, en janvier, lors d’un voyage en Chine, marqué par des discours empreints d’une symbolique forte, M. Macron s’était déclaré prêt à coopérer avec ce projet. Comme avec la Russie et la Syrie : double langage !

Le 12 mars, lors de sa visite officielle en Inde, Emmanuel Macron annonçait dans un discours à Bénarès que la France allait ouvrir à l’Inde ses bases navales dans l’océan Indien (Djibouti, La Réunion et les Emirats arabes unis) : une grande première. Pour quelles raisons ? « L’Inde, affirmait-il, est aujourd’hui notre alliée stratégique dans la sous-région et la France en tant que puissance de l’océan Indien et du Pacifique a tout intérêt à assurer la stabilité de cet espace et d’éviter toute forme d’hégémonie qui viendrait le déséquilibrer. » Voilà le vilain mot lâché : « l’hégémonie » de la Chine, dont le nom n’est pas prononcé mais que les médias français, en boucle, se sont alors délectés à préciser.

En Australie, le 6 mai, Emmanuel Macron est allé beaucoup plus loin. La France étant une puissance asiatique, en vertu de la vaste zone économique marine que lui confèrent ses îles du Pacifique, il a appelé à créer un « axe indo-pacifique Paris-New-Delhi-Canberra, capable de répondre à trois défis : assurer la liberté de navigation, combattre le terrorisme et lutter contre le changement climatique ».

Un axe dont l’objectif est très géopolitique, car il consiste à faire contrepoids à une « Chine qui a décidé de devenir un acteur global » et qui, « avec sa stratégie de Nouvelle Route de la soie, est en train de façonner beaucoup de régions de notre monde ». « Mon objectif n’est pas de réagir ou de m’opposer à cette initiative », a dit Macron, en révélant toutefois le fond de sa pensée : « Nous ne sommes pas naïfs. Si nous voulons être vus et respectés par la Chine comme des partenaires égaux, nous devons nous organiser. » « La croissance de la Chine, a-t-il dit encore, [est] une très bonne nouvelle pour tout le monde », mais la République populaire se doit de « respecter les règles » en matière de développement et d’éviter « une hégémonie » qui inquiète l’Australie.

La chose la plus dangereuse serait de jouer l’Inde contre la Chine, s’est exclamé Jacques Cheminade. Le président Modi a rencontré récemment le président Xi Jinping à Wuhan et ils ont dit que par-delà leurs problèmes, qu’ils ne cachent pas, un développement mutuel s’imposait, notamment vis-à-vis de l’équilibre et de la paix en Afghanistan et dans le corridor Chine-Népal-Inde. Il y a matière à coopérer, bien que le corridor pakistanais (Chine-Gwadar) soit un problème qui reste à régler. (…) On a donc un mouvement vers une paix par le développement mutuel qui surmonte la géopolitique dans la région, et c’est cela que la France devrait encourager. Parler d’un axe Paris-New-Delhi-Canberra, qui ne soit pas intégré dans ce contexte d’ensemble, me paraît dangereux (...) avec un élément géopolitique et de rapport de forces.

Quelle politique envers la Russie ?

Dernière question essentielle dans cette vidéo : que doit dire Emmanuel Macron à Vladimir Poutine pour détruire ce logiciel néoconservateur qui étreint le monde occidental et nous conduit à la guerre ?

Pour Cheminade, voici ce qu’il devrait lui dire :

Nous devons parvenir ensemble à la paix dans le monde. Pour cela, il faut qu’ensemble nous établissions les fondements d’une stabilité par le développement mutuel, avec la Chine et avec le président Trump, la France jouant un rôle de médiateur essentiel. Cela, nous pouvons vous l’apporter, à vous Russie, qui avez réussi une reprise après l’époque d’Eltsine, et à vous, M. Poutine, qui avez réussi militairement à vous doter d’un instrument de guerre, bien défini le 1er avril dans votre discours sur les armes nouvelles élaborées à partir de principes physiques nouveaux. Maintenant il vous reste à bâtir une économie et une industrie. Vous êtes dépendant des exportations de pétrole ? La France est disposée à vous aider à en sortir. Nous devons établir un plan de développement mutuel avec (...) la Chine, une politique à trois, et si possible, avec d’autres Européens, d’autres pays du monde et avec le président Trump. Nous aurons une politique qui changera l’ordre du monde en passant de la géopolitique, où les gagnants cherchent toujours à rafler la mise, à un ordre de développement mutuel fondé sur une perspective gagnant-gagnant.

Alain Corvez, quant à lui, dit n’avoir

aucune espérance d’un changement de la politique d’Emmanuel Macron, tant que nous resterons dans une alliance atlantique qui est dirigée par Washington. Le seul changement que j’espère, ce serait qu’à Washington même ça change, que Trump arrive à sortir de la situation de prisonnier des néoconservateurs dans laquelle il se trouve actuellement pour adopter une politique d’ouverture dans le monde. Sans pour autant s’abaisser devant la Chine, la Russie ou d’autres puissances, simplement en les respectant en tant que puissances et en discutant avec elles des conflits d’intérêts qui peuvent exister, au lieu de recourir à la guerre.

En conclusion, tous deux ont exprimé leur conviction d’un possible sursaut en France, inspiré, selon Corvez, par ces pays européens qui veulent s’affranchir de plus en plus de la dictature américaine, et, selon Cheminade, par cette âme française profonde qui, au moment décisif, peut se manifester. « Nous allons tout droit vers ce moment, a-t-il déclaré, et je suis convaincu qu’ensemble nous pourrons faire bien plus que nous ne le pensons aujourd’hui. »

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La City et Wall-Street fomentent la guerre pour éviter la refonte des institutions financières. Il nous faut changer la donne afin d’empêcher que la situation dégénère en catastrophe nucléaire.

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Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

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Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

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C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

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Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
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Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

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