Le parti du travail humainTel. 01 76 69 14 50

24 mars - Appel à voter Sébastien Périmony Lire 23 mars - Enquête Nord Stream, le mensonge de Nathalie Loiseau Lire 23 mars - Jacques Cheminade pour un référendum sur la participation citoyenne Lire
AccueilNotre actuAnalyses

OTAN, UE, Euro : le courage de dire non

Jardins du Palais de l'Elysée.
Jardins du Palais de l’Elysée.
Crédit : Wikipedia Commons

Le monde n’a jamais été aussi près de basculer dans une situation où les risques pour l’humanité sont effroyables. La guerre, la crise économique, les épidémies enveloppent de plus en plus notre planète dans le manteau noir de l’irrationnel, de la violence et de la criminalité.

Est-ce la faute à la Russie, à la Chine, à l’Islam, comme nos médias et nos figures politiques nous le rabâchent tous les jours ? Il faut se bander les yeux trois fois ou être d’une malhonnêteté intellectuelle et politique certaine pour ne pas voir que tous ces malheurs proviennent aujourd’hui de « notre » camp, occidental, sous la conduite d’hommes qui ressemblent de plus en plus à des Néron.

La folie « occidentale » est telle que 40 % de la planète vient de s’unir, au sein de l’organisation des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), pour organiser sa défense et planter les germes d’un monde où la recherche de la paix et du bien-être économique pour tous redeviendra la règle.

Et en France ? Aucun débat à la hauteur des circonstances. Comme en 40, dirait-on ! Un tiers du peuple est ainsi condamné à se tourner vers les extrêmes que la violence de la crise et du désespoir, et non les compétences ou les programmes, pousse aux fenêtres de l’histoire tels des sauveurs.

A droite, les principaux chefs de file réclament plus d’austérité, plus de ce même libéralisme financier anglo-américain qui nous a conduits à la faillite, François Fillon allant jusqu’à ériger Margaret Thatcher en modèle ! A gauche, côté majorité, de simples escarmouches nous sont présentées comme de véritables pugilats. Tels des personnages de Gulliver, on se dispute sur les mérites relatifs de la base arrondie de l’œuf par rapport à son bout pointu : va-t-on donner 41 milliards aux entreprises ou seulement 22,5 milliards, en redistribuer 5 ou plutôt 16,5 aux plus démunis, faire de « l’offre » ou plutôt de la « demande » ?

Côté frondeurs, la palme de l’incohérence revient à Cécile Duflot qui dénonce l’austérité, tout en réclamant la création de beaucoup d’emplois « avec un bas niveau de croissance » car sinon « nous n’arriverons pas à sortir de la crise » ! Pourtant, beaucoup des « frondeurs » la rejoignent sur ces emplois de la « transition énergétique », certains sachant, comme elle, que cette transition entraînera une forte chute du niveau de vie et le déclassement de notre pays, d’autres suivant comme des moutons de Panurge.

Face à cette défaillance générale, il nous faut retrouver cette capacité gaullienne de rompre avec les politiques de pillage financier et de fuite en avant dans la guerre de « nos alliés ».

1. Rompre avec l’ordre de la City et de Wall Street

Nous ne sommes pas devant une crise de l’offre ou de la demande, mais devant une crise systémique. Le krach de 2008 a révélé que le cœur du système bancaire de la zone transatlantique était en faillite, après s’être goinfré de spéculation boursière et financière. Bear Sterns, Merryll Lynch, AIG, Lehman, Northern Rock, Dexia, Fortis, IKB, HypoReal Estate, voilà quelques-uns des cadavres bancaires qui attestent encore de l’ampleur de cette crise. D’autres « too big to fail » ont survécu, mais jusqu’à quand ? Plus on retarde l’heure de vérité, plus les dégâts sur l’économie et les populations seront importants.

Car la crise continue de plus belle, comme l’attestent la faillite de Banco Espiritu Santo au Portugal et deux nouvelles injections de 400 milliards chacune, dont la BCE a gratifié les banques en juin et en septembre. Les caves de la plupart de ces banques sont, en effet, toujours remplies de titres toxiques invendables dont la dépréciation continue inexorablement. Ce niveau d’endettement les empêche de prêter à l’économie et aux particuliers, et les contraint à poursuivre la spéculation folle d’avant la crise : 710 000 milliards de dollars de produits dérivés fin 2013, selon la BRI, 20 % de plus que le record précédent de… 2008.

Couplé à l’austérité draconienne imposée aux populations, cet ensemble de données a provoqué non la relance, mais la déflation. Impossible de faire marcher une politique de « l’offre » avec des banques virtuellement en faillite, et des entreprises qui peinent à emprunter et à vendre dans une zone transatlantique déprimée. Impossible de relancer la demande, alors qu’on a ponctionné les ménages et que les entreprises n’ont ni crédit, ni marché pour investir. Par contre, ce qui est toujours florissant est la corruption. Des bénéfices gigantesques ont été distribués aux actionnaires au deuxième trimestre 2014 : plus de 30 milliards d’euros rien qu’en France, un record, et en Espagne, cette manne est en hausse de 75 %. On voit bien où va l’argent public destiné à stimuler l’économie, les CICE et autres LTRO de la BCE !

Dans ce contexte, la seule véritable fronde à mener est celle qui consiste à faire la stricte séparation des banques, comme le propose toujours Solidarité & Progrès, car outre le fait de garantir les dépôts, elle révélera l’ampleur des titres toxiques détenus par les banques, permettant ainsi d’organiser la faillite contrôlée de ces titres, puis de reconstruire.

2. Rompre avec l’OTAN
avant qu’il ne soit trop tard

Sur les questions militaires, notre incapacité de rompre avec l’ordre de choses devient criminelle, tellement la pestilence des guerres menées par nos « alliés » au Moyen-Orient et en Ukraine nous frappe en plein visage.

Que fait-on encore dans l’OTAN ? Peut-on trouver un seul point d’accord avec nos « alliés » pour justifier notre adhésion à cette institution ? Les avantages qu’on tire du partage des équipements dans tel ou tel théâtre, on les perd mille fois dans le déshonneur de devoir participer aux opérations de chaos, de destruction et de mort qui se mènent en Syrie, en Irak et en Ukraine.

Laurent Fabius n’est pas sans savoir que ce sont encore « nos alliés » qui ont entraîné et financé, à l’aide du Qatar et de l’Arabie saoudite, l’Emirat islamique qui met actuellement l’Irak à feu et à sang. C’était pour chasser Bachar al-Assad en Syrie. Et aujourd’hui on devrait armer aveuglément les Kurdes pour combattre ces djihadistes, préparant par là-même les guerres que ces Kurdes mèneront plus tard contre les quatre pays qui les abritent ?

Quant à la politique menée par « nos alliés » en Ukraine, même John J. Mearsheimer, du Conseil des relations étrangères de New York, reconnaît dans Foreign Affairs (sept.-oct. 2014) que « la crise ukrainienne est la faute de l’Occident », que Ianoukovich a été évincé par un « coup d’Etat » et que l’Occident a mis au pouvoir un régime « dont quatre des principaux membres peuvent être légitimement appelés néo-fascistes » !

Or cette crise peut se muer en guerre mondiale, y compris nucléaire. Les militaires le disent désormais : une guerre nucléaire limitée n’est plus une vue de l’esprit. La miniaturisation et la plus grande précision des charges nucléaires, combinée aux progrès réalisés dans la protection des boucliers anti-missiles déployés en conjonction avec les armes de la cyberguerre, ouvrent à nouveau cette possibilité terrifiante. Et certains de « nos alliés » sont prêts à prendre ce risque. Comme le très influent Edward Lucas, rédacteur à The Economist, qui écrit le 16 août :

Si nous choisissons de résister à Poutine (et il y est favorable) je ne pense pas exagérer en disant que ceci pourrait nous amener au bord d’une guerre nucléaire.

Or, le 4 septembre prochain, au sommet de l’OTAN, « nos alliés » tenteront de poursuivre l’escalade contre la Russie. Jetant encore de l’huile sur le feu, Piotr Porochenko, le Premier ministre ukrainien, a été invité à une réunion en marge du Sommet. En chœur, le Premier ministre britannique David Cameron, le chef de l’OTAN Fogh Rasmussen et le commandant des forces alliées, Philip Breedlov, appellent à « revoir » la relation à long terme avec la Russie, qui voit désormais « l’OTAN comme un adversaire ».

Dans le Wall Street Journal du 17 août, Rasmussen et Breedlove ont proposé, sous prétexte de « rassurer » les pays Baltes, de resserrer l’étau autour de la Russie. Ne pouvant déployer de troupes chez les voisins de la Russie, car le traité Russie/OTAN l’interdit, ils proposent de renforcer la force de réaction rapide et de pré-positionner de l’équipement sur place.

L’OTAN, créée pour défendre l’Atlantique Nord, s’arroge-t-elle désormais un rôle planétaire et prépare-t-elle déjà une guerre mondiale ? L’invitation de 67 chefs d’Etat au prochain sommet, pour discuter de menaces incluant « l’arc d’instabilité qui s’étend depuis l’Afrique du Nord au Moyen-Orient », permet de poser la question.

Notre salut : les BRICS

Au bord de l’abîme, nous devons retrouver notre souveraineté, quitter l’OTAN sans plus tarder et reprendre notre liberté de parole envers « nos alliés ». Nous devons ensuite trouver un point d’appui auprès des BRICS, pour défendre une réforme ambitieuse de notre Europe. Une dynamique de croissance est possible, à condition de tourner le dos à l’Europe supranationale et financière de l’UEM, avec son euro, courroie de transmission chez nous de l’ultralibéralisme anglo-américain. Seuls une réforme bancaire en profondeur et le retour à l’Europe des patries et des projets de Gaulle/Adenauer, nous permettront de retrouver une dynamique de croissance et de recherche scientifique en phase avec les BRICS.

Bien sûr, ils sont loin d’être parfaits, ces BRICS. Mais que sommes-nous devenus ? Eux, cherchent à progresser ; nous nous employons à creuser notre déclin. En cette année Jaurès, une « évolution révolutionnaire » s’impose, à la fois de notre politique internationale et de notre politique intérieure. Par delà et en dehors de l’OTAN, de l’euro et de l’Union européenne telle qu’elle est devenue !

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?

Pour afficher votre trombine avec votre message, enregistrez-la d’abord sur gravatar.com (gratuit et indolore) et n’oubliez pas d’indiquer votre adresse e-mail ici.

Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Déplier les commentaires||Replier les commentaires
Vous souhaitez aider ? Adhérer, faire un virement mensuel, participer à un stand militant ? Prenez contact avec nous.

Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation
J. Cheminade : sortons de l'OTAN, l'UE et l'euro ! Rejoignons les BRICS !
25 août 2014
Analyses
J. Cheminade : sortons de l’OTAN, l’UE et l’euro ! Rejoignons les BRICS !
Globe
2 juin 2014
Actualités
Pour sauver la paix en Europe : dissoudre l’OTAN et revigorer l’OSCE
guerre
23 avril 2014
Actualités
Les occidentaux ont trahi leur promesse de 1990 de ne pas élargir l’OTAN

Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

Participez à l'effort politique !

Adhérez à S&P, devenez éducateur et créateur de la Nation

Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

En adhérant à Solidarité & progrès, en apportant vos moyens financiers et humains, nous pourrons ensemble franchir le seuil de la porte et faire ce qui est nécessaire.
Aller vers un futur qui soit vivable, meilleur, plus juste.

Jacques Cheminade
Faire un don et adhérer plus tard