Réunion de formation militante du 11 juillet dernier contre les nouveaux plans de renflouements financiers et pour couper les banques en deux avec notre proposition de loi !
Page d’action : solidariteetprogres.org/mobilisation-glass-steagall
Réunion de formation militante du 11 juillet dernier contre les nouveaux plans de renflouements financiers et pour couper les banques en deux avec notre proposition de loi !
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« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot
Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.
Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.
La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.
Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.
La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.
Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.
Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.
La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.
Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.
Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »
Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.
S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.
Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.
Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.
C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.
La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.
L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.
Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.
Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.
S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.
Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.
Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.
L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.
Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.
Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.
Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.
Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.
Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !
Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.
Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.
# dommage
• 19/07/2013 - 16:07
Dommage que ça ne soit pas plus pédagogique.
On aurait pu par exemple en profiter pour nous expliquer comment cette économie spéculative a des effets sur l’économie réelle.
Par exemple, à 13:30 il donne le très bon exemple du monopoly avec les joueurs qui achètent avec leur billets de jeux de vrais richesse (je sais d’ailleurs pas pourquoi il parle de casino, où la situation est tout autre...). Je ne sais toujours pas pourquoi il nous parle du régime nazi, comme pour illustrer l’auto-cannibalisation...
Celui ci avait pourtant réussi à créer des chantiers énormes et à mettre tout le monde au travail, une forme de new deal avant l’heure et les ouvriers allemands éétaient les mieux payés d’europe et pouvaient aller passer leur vacances sur la Riviera....
Le conférencier résume cela par : ""l’allemagne était engagée dans une logique d’auto-destruction et avait besoin d’envahir ses voisins pour s’en accaparer les richesses".
Ce conférencier mélange tout, semble répéter des bouts de phrases, sans se soucier de leur cohérence.
Bref, ça m’a dégoûté, j’ai cessé de suivre. Mais étant donné que vous n’avez pas accés aux médias vous devriez profiter de l’internet pour être extrèmement précis et respecter, comme les autres partis ne le font pas, nos intelligences.
# Karel Vereycken
• 21/07/2013 - 21:04
"Je ne sais toujours pas pourquoi il nous parle du régime nazi, comme pour illustrer l’auto-cannibalisation..."
Dommage que vous soyez frappé de castration émotionnelle. Pour s’en guérir, posez la question aux juifs hongrois. A lire : "Self-financing genocide" par Gabor Kadar & Zoltan Vagi.
Sur le fond, vous avez tort et raison. Raison car en effet, Hitler a mis les Allemands au travail. Pour produire quoi ?
Sur le papier, Hitler aurait fait plaisir à la Troïka et au FMI. Les dépôts allemands sont passés de 29 milliards de marks en 1941 à 116,7 milliards de marks en 1944 (grace a la confiscation des biens des habitants des pays occupés). Le budget allemand passa de 52,2 milliards de marks en 39-40 à 153 milliards de marks en 43-44. Belle croissance ! Le petit problème c’est qu’alors qu’en 39-40, 62% du budget était déjà englouti dans les dépenses militaires, c’était 84% en 43-44. Le plein emploi est donc une valeur négative s’il s’agit de préparer la destruction. Détrompez-vous : le niveau de vie des Allemands était plus bas en 1940 qu’en 1914.
Diamétralement le contraire de Roosevelt qui fait de grands travaux orientés à hausser le niveau technologique de l’ensemble de l’économie et de préparer pour les générations à naître. Le but des barrages des la TVA était l’irrigation, la modernisation de l’agriculture et l’électrification du monde rurale.
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# CedG
• 19/07/2013 - 18:38
Dommage, j’ai la quelque chose qui pourrait vous intéresser :
clair, précis, accessible ... Et surtout c’est écrit pour ceux qui confondent Roosevelt avec hitler, ou qui veulent en finir avec le mythe des ouvriers heureux de weimar, et passer à quelque chose de disons... plus optimiste sur l’idée du bonheur. Vous avez raison, il faut être respectueux avec votre intelligence, alors ne vous laissez pas aller aux raccourcis !
http://www.solidariteetprogres.org/documents-de-fond-7/economie/article/schacht-et-hitler-contre-roosevelt-pourquoi-l.html
bonne lecture
# dommage
• 19/07/2013 - 22:55
J’ai pris le soin de lire votre article. Celui ci s’attache à montrer que la politique économique nazi était finalement la même que celle de l’empire monétariste et mondialiste actuel.
Cet article, long de plus de 10 pages, consacré à la politique économique de l’allemagne nazi réalise l’exploit de ne pas parler du fait de la disparition complète du chômage sous ce régime. N’y croyant pas moi même, j’ai fait une recherche sur le mot chômage qui n’y apparait qu’une fois pour la période ds années 20.
Sachez que je ne suis pas un tenant du régime nazi, loin de là, mais plutôt un citoyen cherchant une solution à la crise que nous vivons.
Pour cela, il faut mettre en oeuvre nos intelligences, mais en toute honneteté.ce dont manque évidement cet article.
Etant donné qu’il émane de votre mouvement il ne peut que le discréditer.
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