Un vent de « c’était mieux avant » souffle sur cette campagne présidentielle. Ceux qui occupent le pouvoir ont oublié que « gouverner, c’est prévoir » et naviguent comme avant sur le Titanic de la finance mondialisée. Ceux qui les contestent tracent des lignes Maginot derrière lesquelles ils caressent les illusions d’une volonté de puissance. Aucun pour l’instant n’a compris qu’il n’est pas d’issue qui ramène au passé.
Sortons de la caverne et mouillons la chemise, pour que ce soit mieux après. Que voyons-nous ? Voici un candidat-président pour qui l’exploitation médiatique de sa fonction, sa présidence de l’Union européenne et sa gestion de la Covid constituent, croit-il, un brelan d’as, son autre atout étant la médiocrité de ses adversaires. Pour l’avenir, il propose un plan d’investissement de 30 milliards d’euros sur cinq ans qui n’est qu’un saupoudrage, sans stratégie directrice et sans organiser les indispensables formations humaines correspondantes. Résultat : une nation startup qui laisse vendre ses industries à la découpe. Voilà une candidate de la « droite de gouvernement » qui se définit comme une femme 2/3 Merkel, 1/3 Thatcher et fait appel à l’homme qui avait si bien organisé la campagne de François Fillon pour l’abandonner aux premiers coups de roulis. La gauche, elle, se décompose à vue d’œil et, au mieux, récite des catéchismes éculés. Un candidat d’extrême-droite aide à dédiaboliser l’autre en occupant son créneau patriotard. Mentionner les noms des uns et des autres serait une perte de temps.
Car ils sont comme des fantômes de la pensée qui ne relèvent aucun des défis de l’époque : d’abord nous libérer de l’occupation financière, en rétablissant une vraie Banque nationale, à participation citoyenne, et un vrai système de crédit public, deux piliers nécessaires pour garantir la justice sociale et notre souveraineté nationale. C’est-à-dire que l’argent aille au bien commun, au travail humain, à l’école, à l’hôpital et au laboratoire, au service public de tous. Ensuite, abolir le secret dans lequel opèrent les pouvoirs, que ce soit concernant le nom des créanciers de notre dette publique ou les mesures prises par le Conseil de défense sanitaire. Il ne peut y avoir de République dans le secret des bureaux et des banques.
Car ce qui nous tombe dessus est très grave. Une inflation de pénurie balaye tout : ce n’est pas la course entre les prix des patrons et le salaire des travailleurs, c’est la dictature financière d’un système qui gave une oligarchie sans produire. A une hausse moyenne de la circulation monétaire de plus de 15 % correspond en effet une production moyenne de biens physiques de 2 %, en comptant large. Qui trinque ? Les salariés, les classes moyennes et les épargnants. Un système de rente de l’argent enrichit des rentiers parieurs devenant de plus en plus parasites de l’économie réelle. Un tel système a toujours mené à la guerre contre ceux qui résistent, qu’ils soient russes, chinois ou vous et moi. Le danger est là, imminent, et une campagne comme celle qui se déroule sous nos yeux fait de nous des somnambules.
Faut-il désespérer ? Oui, si cela peut inspirer une mobilisation générale contre le danger. Nous proposons de mettre en place, chez nous, en France, et partout dans le monde, un système de santé digne de ce nom, soustrait au culte du profit « à flux tendus ». Car c’est par là, par la préoccupation de sa santé et de celles des autres, que peuvent s’amorcer une prise de conscience et un engagement pour la paix avec un projet de développement mutuel. Et qu’on débatte enfin sérieusement, et pas de mesures qui seraient au mieux des sparadraps posés par des oppresseurs portant le masque de modernisateurs, ni de nostalgie pour des temps où les enfants d’ouvriers n’entraient pas en classe de sixième et où la soumission des femmes était la règle.
Alors, soyons résolus de ne plus servir et nous voilà libres, à condition de vouloir faire de notre liberté une création partagée dans le commun combat.
PASSEZ A L’ACTION, SOUTENEZ NOTRE LOBBY CITOYEN CONTRE LE LOBBY FINANCIER
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# chauvois
• 21/12/2021 - 23:16
J’en suis qu’à ma première injection, une 505 V6 à 90, degrés, à manetons décalés, double distribution à chaines, double arbre à à cames en tête, moteur ZN3j Douvrain, injection électronique Bosch, lh jetronic de 1988. 170 cv d’origine, une perle d’ingénieurie Française. Cette première injection, c’est plus qu’un bonheur, mais attention, c’est du boulot d’homme, si tu veux que ça rugisse. Un peu de pognon de dingue aussi. Faut du Michelin Classic en train de pneus. Déjà ! Les gars de Sochaux on bien soigné l’affaire de cet indispensable bolide tony truand ! Et ça continue encore et encore, le forum 505 ! Salut, je parti avec les mécanos pros. https://getpocket.com/fr/read/3016209632
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# chauvois
• 21/12/2021 - 22:28
Et cette soit disante crise sanitaire abjecte, ce festival ahurissant de pourris, cette dinguerie vaccinale qui veut s’en prendre aux enfants, dès 5 ans, nouvelle méthode pour fabriquer un hold up financier, à très grande échelle, qui renvoie les gens au moyen âge, et balaye de la main, tous les principes fondamentaux de la République Française. Pas vraiment le son persistant, de l’orchestre National de France, là, souvent, ça sonne super... ça ira mieux avec le conseil de sages, et une bonne dose de sens de l’humour. Mais quels conseils pourriez vous donner au sujet de leur pass chez pas quoi ? Merci.
Expemple : On dit que Mr Maurice R. avait quelques tubes dans ses cahiers, mais celui là, la légende dit qu’il avait écrit ça vite fait, un peu étourdit, sur une nappe en papier d’un restaurant. Un truc un peu plus funcky quand même que cette vieille pétoire à gros sel que sonne la Marseillaise, et ça, tous les profs d’écriture du conservatoire de France l’ont dit. https://www.youtube.com/watch?v=gg1TDKBSRvg
Les startupeurs Nation (et autres comportements inquiètants), font du télé travail sur TF1 ou BFM TV, pour nous nous montrer leurs nouveaux Trench Coat, dernier cri).
Du S&P, bonnes fêtes
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