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LaRouche dénonce les déclarations de Bush et l’aveuglement du sénat américain sur l’Irak

Dans son rapport d’étape sur la guerre d’Irak présenté à la presse ce matin, le président américain

12 juillet 2007 (LPAC) - Dans son rapport d’étape sur la guerre d’Irak présenté à la presse ce matin, le président américain George W. Bush a admis que très peu d’objectifs fixés par le Congrès ont été atteints, tout en blâmant l’Iran, la Syrie, le Hezbollah et Al-Qaida pour ce manque de résultats. Ensuite, Bush a montré toute l’estime qu’il porte au Congrès, le sommant de se taire et de payer les factures...

Lyndon LaRouche a qualifié les déclarations de Bush de « non-sens absolu », et ajouté que « toute personne informé et honnête dans le monde sait que ceci est un non-sens absolu ». Il souligne qu’ « accorder plus de temps au président est déraisonnable, car chaque heure accroît le danger d’une guerre plus grande. »

Bush a reconnu publiquement, une réalité révélée par des fuites dans la presse, que ce n’est que pour moins de la moitié des objectifs fixé par le Congrès, qu’un progrès « satisfaisant » a été obtenu. Mais, ajoute-t-il, commencer un retrait d’Irak maintenant « voudrait dire livrer l’avenir de l’Irak à Al-Qaida. » Le Président s’obstine à présenter la guerre d’Irak comme faisant partie d’un conflit régional contre des « extrémistes » et des « terroristes », souvent dans l’orbite de l’Iran, de la Syrie et du Hezbollah.

Il affirme :
- « Ce même régime iranien qui s’octroi des armes nucléaires et menace de rayer Israël de la carte, fournit des explosifs sophistiqués aux extrémistes irakiens employés pour tuer des soldats américains. »
- « Ces mêmes terroristes du Hezbollah qui font la guerre aux forces de la démocratie au Liban forment des extrémistes qui font la même chose contre les forces de la coalition en Irak. »
- « Ce même régime syrien qui soutient et offre un sanctuaire au djihad Islamique et au Hamas, refuse de fermer son aéroport à Damas pour les kamikazes en route pour l’Irak. »

Bush montre également son dédain pour le Congrès qui affirme qu’il ne devrait pas mener la guerre, mais il trouve que ce même Congrès ferait mieux de le financer. « Le Congrès a tous les droits pour allouer les crédits, » dit Bush, mais pas pour me dire comment mener la guerre.

Après ces déclarations, LaRouche s’est montré tout aussi scandalisé par l’attitude folle du Sénat américain. Ayant pris connaissance du débat sur le budget militaire pour 2008, il a dit : « Il n’y a plus de raison pour débattre. Le débat honnête est clos. Il n’y a rien qui reste à débattre. » LaRouche se réfère au fait qu’hier, le Sénat a rejeté deux amendement à la loi qui auraient confronté les vrais dommages causés aux militaires par la politique de guerre mené par Bush et Cheney.

Au lieu de cela, ils ont adopté deux amendements conçus pour accroître la confrontation avec l’Iran. Le premier amendement introduit par le sénateur néo-conservateur indépendant du Connecticut Jo Lieberman, exige du Département de la Défense de faire un rapport sur les soutiens que l’Iran fournirait aux terroristes d’Iraq, amendement adopté par 97 voix contre 0. Un autre amendement, celui du sénateur républicain de l’Alabama Jeff Sessions, fut adopté par 90 voix contre 5. Les deux sénateurs ont régalés le Sénat avec la propagande sur la menace que pose l’Iran en Irak, des accusations provenant du brigadier général Kevin Bergner. Ce dernier qui se démène pour entretenir les rivalités inter palestiniennes est actuellement le porte parole-militaire américain à Bagdad et fut au service d’Elliot Abrams, tristement célèbre pour sa conduite criminelle dans l’affaire Iran-Contra.

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Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
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« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

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en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
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Jacques Cheminade
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