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Journée d’action européenne contre l’OTAN

Prochaine mobilisation le samedi 2 juillet.
Pour y participer, contactez-nous dès maintenant !

Journée d’action européenne contre l’OTAN

Prochaine mobilisation le samedi 2 juillet.
Pour y participer, contactez-nous dès maintenant !

« Le prochain sommet de l’OTAN à Varsovie, les 8 et 9 juillet, s’annonce comme une provocation de plus contre la Russie. Par cet appel, les signataires entendent dire « stop » à cette escalade nucléaire avant que l’irréparable ne soit commis ! »

Extrait de la pétition : « A Varsovie, ils préparent la guerre. Sortons de l’OTAN ! »

Ce samedi 18 juin, dans plusieurs villes européennes, des citoyens se sont mobilisés pour réclamer la sortie de l’OTAN et mettre en lumière le danger du prochain sommet de l’Alliance à Varsovie. Suite à une pétition non partisane initiée par Solidarité & Progrès le 25 mai, appelant François Hollande à faire sortir la France de l’OTAN, devenue bastion des va-t-en guerre et des néoconservateurs américains, d’autres partenaires rejoignent la mobilisation : Entrez en Résistance, Rassemblement du peuple souverain (RPS-Fiers), Alliance pour une France libre (AFL), Institut Schiller, Les clés de l’Europe. Début juin, l’initiative prend une dimension européenne en y associant des partis frères de S&P, en Allemagne (Bueso), en Italie (Movimento Solidarietà) et en Belgique (Agora Erasmus), et des amis en Suède, au Danemark, en Norvège, en Espagne et en Irlande.

Rien qu’en France, dix-huit villes ont vu des sympathisants dresser des stands pour diffuser et faire signer la pétition. Dans les rues de Berlin, Düsseldorf, Dresde, Copenhague ou encore Bologne, comme en France dans les rues d’Argenteuil, Boulogne-Billancourt, Villejuif, Ploërmel, Vannes, Rennes, Strasbourg, Lille, Paris, Bordeaux, Montpellier, Nantes, Rouen, Nice, Charleville-Mézières, etc. partout cette mobilisation fut un succès. Rien que dans l’Hexagone, plus de 250 personnes ont signé la pétition lors des rassemblements.

Tour de France

Face à une forme d’inertie molle sous laquelle couvent la hargne, la grogne et la colère, il fallait bien réveiller « la princesse endormie », rappeler au peuple qu’il doit se mobiliser pour sa souveraineté, autrement dit sa liberté. Beaucoup d’ailleurs nous remercient d’incarner une autre idée de la France, comme cette professeure de géopolitique rencontrée à Paris. D’autres découvrent, comme ce bachelier qui s’arrête dans les rues de Boulogne (92) pour demander « c’est quoi l’OTAN ? » Plus d’un citoyen était consterné de ne pas entendre parler davantage du prochain Sommet de Varsovie. A Nantes et Rennes notamment, les militants ont utilisé une carte de l’Europe indiquant l’emplacement des futurs boucliers anti-missiles de l’OTAN ainsi que les déploiements de troupes en Roumanie, en Pologne, dans les Etats baltes, qui montrent la politique d’encerclement de l’Alliance vis-à-vis de la Russie. Remerciements enfin de Russes vivant en France, effrayés de l’ampleur du rouleau compresseur médiatique qui fait l’équation « Russes = méchants, OTAN = gentils », comme dans un mauvais film de Walt Disney !

A plusieurs stands, les militants étaient débordés. A Bordeaux, Nantes, Rennes, Boulogne, on avait opté pour une urne en carton posée sur une table de camping, où chacun pouvait glisser sa pétition signée. Beaucoup de citoyens pressentent que le danger de guerre est bien là. La plupart des signataires du 18 juin sont venus spontanément à nos tables. « La Turquie d’Erdogan dans l’OTAN », « la connivence entre les intérêts de Wall Street et l’OTAN » ou encore « l’impérialisme américain » sont les arguments qui reviennent le plus souvent dans la bouche des anti-OTAN ; alors que dans le camp opposé, on invoque l’OTAN comme indispensable bouclier protecteur « contre les méchants Russes ou les méchants Chinois » . L’irrationnel de la propagande et leur pessimisme sur une politique de détente, d’entente et de coopération les empêchent souvent d’écouter nos arguments.

Quoi de mieux alors que de leur répondre en entonnant un chant pour élever la pensée ? C’est le pari réussi qu’on fait les militants réunis place Jules Joffrin à Paris. Banderole, sono diffusant la pétition, interrompue par des chants polyphoniques entonnés par les militants : ils ont su capter l’attention des passants, à l’image de cette femme qui ne s’intéressait pas vraiment à ce que faisait l’OTAN, mais qui, après avoir pris le temps d’écouter une de nos militantes, s’exclama : « D’accord ! Là ça va trop loin cette histoire, il faut arrêter ça ! »

L’héritage de De Gaulle

« Y’en a marre de se soumettre aux Américains » résume un signataire de Nantes. Le refus du président Charles de Gaulle de rester dans l’OTAN en 1966 répondait à l’idée que la France n’avait à se soumettre ni au bloc soviétique ni au bloc américain. Ce n’est pas par opportunisme ou simple calcul politique qu’il décida alors de sortir du commandement intégré de l’OTAN.

Ce n’est pas non plus par mégalomanie. Comme il le dit dans son discours à l’Université de Mexico en 1964, soit deux ans avant de claquer la porte à l’Alliance : «   Le fait qui dominera le futur, c’est l’unité de notre univers. Une cause, celle de l’Homme ; une nécessité, celle du progrès mondial et, par conséquent, de l’aide à tous les pays qui la souhaitent pour leur développement ; un devoir, celui de la paix, sont pour notre espèce, les conditions mêmes de la vie. » Cette cause, cette nécessité et ce devoir, de Gaulle voulait que la France les incarne.

Les élus ont également été interpellés, et plusieurs ont répondu aux signataires qui leur avaient transmis notre pétition. Pierre Lellouche, député LR de Paris, « partage [n]os inquiétudes… (...) La position qui est la mienne est que ni la France ni l’Europe n’ont besoin d’une nouvelle guerre froide, pas plus que d’une reprise de la course aux armements nucléaires avec la Russie... » M. Lellouche accuse le gouvernement « de coller excessivement aux oscillations souvent erratiques de la politique américaine ». La réponse de Patrick Labaune, député LR de la Drôme, est aussi nette  : « Je partage entièrement votre opinion. Etant foncièrement gaulliste, j’ai approuvé que le Général quitte l’OTAN. » Idem pour un député PCF du Nord dont le chef de cabinet écrit : « Vous pouvez compter sur le député Jean-Jacques Candelier (…) car l’OTAN n’est qu’un traité de vassalisation opérationnel, politique et matériel à l’impérialisme américain. »

Il s’agit maintenant de maintenir la pression citoyenne et de demander aux responsables nationaux de signer la pétition, comme l’ont déjà fait, entre autres, le vice-amiral français Michel Debray (CR), l’ancienne sénatrice communiste italienne Lidia Menapace et le sénateur socialiste flamand Bert Anciaux, en Belgique.

Les participants à cette mobilisation ont d’ores et déjà prévu de renouveler l’expérience début juillet.

« Le prochain sommet de l’OTAN à Varsovie, les 8 et 9 juillet, s’annonce comme une provocation de plus contre la Russie. Par cet appel, les signataires entendent dire « stop » à cette escalade nucléaire avant que l’irréparable ne soit commis ! »

Extrait de la pétition : « A Varsovie, ils préparent la guerre. Sortons de l’OTAN ! »

Ce samedi 18 juin, dans plusieurs villes européennes, des citoyens se sont mobilisés pour réclamer la sortie de l’OTAN et mettre en lumière le danger du prochain sommet de l’Alliance à Varsovie. Suite à une pétition non partisane initiée par Solidarité & Progrès le 25 mai, appelant François Hollande à faire sortir la France de l’OTAN, devenue bastion des va-t-en guerre et des néoconservateurs américains, d’autres partenaires rejoignent la mobilisation : Entrez en Résistance, Rassemblement du peuple souverain (RPS-Fiers), Alliance pour une France libre (AFL), Institut Schiller, Les clés de l’Europe. Début juin, l’initiative prend une dimension européenne en y associant des partis frères de S&P, en Allemagne (Bueso), en Italie (Movimento Solidarietà) et en Belgique (Agora Erasmus), et des amis en Suède, au Danemark, en Norvège, en Espagne et en Irlande.

Rien qu’en France, dix-huit villes ont vu des sympathisants dresser des stands pour diffuser et faire signer la pétition. Dans les rues de Berlin, Düsseldorf, Dresde, Copenhague ou encore Bologne, comme en France dans les rues d’Argenteuil, Boulogne-Billancourt, Villejuif, Ploërmel, Vannes, Rennes, Strasbourg, Lille, Paris, Bordeaux, Montpellier, Nantes, Rouen, Nice, Charleville-Mézières, etc. partout cette mobilisation fut un succès. Rien que dans l’Hexagone, plus de 250 personnes ont signé la pétition lors des rassemblements.

Tour de France

Face à une forme d’inertie molle sous laquelle couvent la hargne, la grogne et la colère, il fallait bien réveiller « la princesse endormie », rappeler au peuple qu’il doit se mobiliser pour sa souveraineté, autrement dit sa liberté. Beaucoup d’ailleurs nous remercient d’incarner une autre idée de la France, comme cette professeure de géopolitique rencontrée à Paris. D’autres découvrent, comme ce bachelier qui s’arrête dans les rues de Boulogne (92) pour demander « c’est quoi l’OTAN ? » Plus d’un citoyen était consterné de ne pas entendre parler davantage du prochain Sommet de Varsovie. A Nantes et Rennes notamment, les militants ont utilisé une carte de l’Europe indiquant l’emplacement des futurs boucliers anti-missiles de l’OTAN ainsi que les déploiements de troupes en Roumanie, en Pologne, dans les Etats baltes, qui montrent la politique d’encerclement de l’Alliance vis-à-vis de la Russie. Remerciements enfin de Russes vivant en France, effrayés de l’ampleur du rouleau compresseur médiatique qui fait l’équation « Russes = méchants, OTAN = gentils », comme dans un mauvais film de Walt Disney !

A plusieurs stands, les militants étaient débordés. A Bordeaux, Nantes, Rennes, Boulogne, on avait opté pour une urne en carton posée sur une table de camping, où chacun pouvait glisser sa pétition signée. Beaucoup de citoyens pressentent que le danger de guerre est bien là. La plupart des signataires du 18 juin sont venus spontanément à nos tables. « La Turquie d’Erdogan dans l’OTAN », « la connivence entre les intérêts de Wall Street et l’OTAN » ou encore « l’impérialisme américain » sont les arguments qui reviennent le plus souvent dans la bouche des anti-OTAN ; alors que dans le camp opposé, on invoque l’OTAN comme indispensable bouclier protecteur « contre les méchants Russes ou les méchants Chinois » . L’irrationnel de la propagande et leur pessimisme sur une politique de détente, d’entente et de coopération les empêchent souvent d’écouter nos arguments.

Quoi de mieux alors que de leur répondre en entonnant un chant pour élever la pensée ? C’est le pari réussi qu’on fait les militants réunis place Jules Joffrin à Paris. Banderole, sono diffusant la pétition, interrompue par des chants polyphoniques entonnés par les militants : ils ont su capter l’attention des passants, à l’image de cette femme qui ne s’intéressait pas vraiment à ce que faisait l’OTAN, mais qui, après avoir pris le temps d’écouter une de nos militantes, s’exclama : « D’accord ! Là ça va trop loin cette histoire, il faut arrêter ça ! »

L’héritage de De Gaulle

« Y’en a marre de se soumettre aux Américains » résume un signataire de Nantes. Le refus du président Charles de Gaulle de rester dans l’OTAN en 1966 répondait à l’idée que la France n’avait à se soumettre ni au bloc soviétique ni au bloc américain. Ce n’est pas par opportunisme ou simple calcul politique qu’il décida alors de sortir du commandement intégré de l’OTAN.

Ce n’est pas non plus par mégalomanie. Comme il le dit dans son discours à l’Université de Mexico en 1964, soit deux ans avant de claquer la porte à l’Alliance : «   Le fait qui dominera le futur, c’est l’unité de notre univers. Une cause, celle de l’Homme ; une nécessité, celle du progrès mondial et, par conséquent, de l’aide à tous les pays qui la souhaitent pour leur développement ; un devoir, celui de la paix, sont pour notre espèce, les conditions mêmes de la vie. » Cette cause, cette nécessité et ce devoir, de Gaulle voulait que la France les incarne.

Les élus ont également été interpellés, et plusieurs ont répondu aux signataires qui leur avaient transmis notre pétition. Pierre Lellouche, député LR de Paris, « partage [n]os inquiétudes… (...) La position qui est la mienne est que ni la France ni l’Europe n’ont besoin d’une nouvelle guerre froide, pas plus que d’une reprise de la course aux armements nucléaires avec la Russie... » M. Lellouche accuse le gouvernement « de coller excessivement aux oscillations souvent erratiques de la politique américaine ». La réponse de Patrick Labaune, député LR de la Drôme, est aussi nette  : « Je partage entièrement votre opinion. Etant foncièrement gaulliste, j’ai approuvé que le Général quitte l’OTAN. » Idem pour un député PCF du Nord dont le chef de cabinet écrit : « Vous pouvez compter sur le député Jean-Jacques Candelier (…) car l’OTAN n’est qu’un traité de vassalisation opérationnel, politique et matériel à l’impérialisme américain. »

Il s’agit maintenant de maintenir la pression citoyenne et de demander aux responsables nationaux de signer la pétition, comme l’ont déjà fait, entre autres, le vice-amiral français Michel Debray (CR), l’ancienne sénatrice communiste italienne Lidia Menapace et le sénateur socialiste flamand Bert Anciaux, en Belgique.

Les participants à cette mobilisation ont d’ores et déjà prévu de renouveler l’expérience début juillet.

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Réparation, Reconstruction, Refondation
25 May 2020
Feuille de route S&P
Réparation, Reconstruction, Refondation

La déclassification des fameuses 28 pages, un chapitre entier du rapport de la commission d’enquête bipartisane sur le 11 septembre, met en lumière l’implication de l’Arabie saoudite dans les attentats du 11 septembre 2001.

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Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

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C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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Nous rentrons dans un monde tout-à-fait instable, dangereux, et sans majorité politique.
Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

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Jacques Cheminade
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