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A l’université d’automne du M’PEP, vers un nouveau CNR ?

Une partie des membres du Conseil national de la Résistance (C.N.R) réunis le 10 septembre 1944. De gauche à droite, Robert Chambeiron, Pierre Meunier, Auguste Gillot, Joseph Laniel, Henri Ribière, Jacques Lecompte-Boinet, Gaston Tessier, Pierre Villon, Georges Bidault, André Mutter, Louis Saillant, Pascal Copreau, Paul Bastid, Daniel Mayer, Jean-Pierre Lévy et Jacques Debû-Bridel. En médaillon : Jean Moulin, le chef emblématique du CNR mort en 1943.
Une partie des membres du Conseil national de la Résistance (C.N.R) réunis le 10 septembre 1944. De gauche à droite, Robert Chambeiron, Pierre Meunier, Auguste Gillot, Joseph Laniel, Henri Ribière, Jacques Lecompte-Boinet, Gaston Tessier, Pierre Villon, Georges Bidault, André Mutter, Louis Saillant, Pascal Copreau, Paul Bastid, Daniel Mayer, Jean-Pierre Lévy et Jacques Debû-Bridel. En médaillon : Jean Moulin, le chef emblématique du CNR mort en 1943.
Crédit : lucien-pons.over-blog.com

Par les militants S&P Rhône-Alpes

C’est avec chaleur et sympathie que les militants S&P ont été reçus à l’université d’automne du M’PEP (Mouvement politique d’éducation populaire) pour trois jours de conférence à Aix-en-Provence, du 1er au 3 novembre. Sur le thème « Restaurer la souveraineté nationale pour construire un nouvel internationalisme – Vers un socialisme du XXIe siècle », les débats, clairement inscrits dans une idéologie de gauche antilibérale opposée au rouleau compresseur européen, ont été l’occasion pour nous d’introduire l’idée de la séparation des banques et du crédit productif public.

En général, les conférences auxquelles nous avons assisté manquaient d’une dimension politique rigoureuse, que dénotait l’absence d’une vision claire d’avenir à moyen et long terme. Ainsi, si le « cheval de bataille » immédiat du M’PEP – sortir de l’euro, sortir de l’UE, sortir de l’OTAN – est clairement défini, le développement d’alternatives politiques qui suivraient cette phase de remise à plat des bases du système actuel est manifestement absent… Jacques Nikonoff, le président du M’PEP, en est d’ailleurs parfaitement conscient : « Nous n’avons pas encore de vision cohérente de l’avenir. » Mais ces manquements sont compréhensibles, le M’PEP est un mouvement jeune. Né d’une scission d’avec le groupe ATTAC, il n’existe que depuis 2008. L’on peut néanmoins présager une évolution positive du parti, car l’état d’esprit de la centaine de personnes réunies pendant ces quelques jours témoignait d’une réelle volonté de se former pour mieux comprendre le système actuel, et de réfléchir aux moyens d’action pour intervenir au mieux sur la société.

Mais rien n’est encore totalement déterminé et le M’PEP, selon nous, pourrait se trouver face à deux types d’écueil. Le premier serait que le mouvement cantonne son action au commentaire analytique du monde, sans perspectives politiques réellement efficientes. Comme l’a bien résumé un cadre du mouvement : « C’est un problème de voir que lorsqu’il s’agit de discuter d’idées, il y a du monde, mais lorsqu’il s’agit de passer à l’action, ce monde s’échappe dans un autre monde. » Le deuxième écueil, bien plus dangereux, nous est apparu lors du meeting de clôture de l’université. Nous craignons que le M’PEP, à vouloir créer à tout prix l’union, ne perde son caractère désintéressé et bienveillant.

Sur le thème « un nouveau Conseil national de la Résistance (CNR) est-il possible et nécessaire ? », ce meeting, véritable point d’orgue de l’université, rassemblait autour d’un même pupitre six intervenants : Jacky Omer, du Front syndical de classe, Jean-Luc Pujo, des Clubs penser la France, Georges Gastaud, du Pôle de renaissance communiste en France, Jacques Nikonoff, du M’PEP, et François Asselineau, de l’Union populaire républicaine. Tous unis contre l’ordre néo-libéral mondial (l’OTAN, l’UE, l’euro), l’ambition du CNR serait, par le rassemblement de différents partis, de provoquer un choc dans la sphère politique française. Si le ton général était à l’ouverture et à la recherche de ce qu’il y a de meilleur en chacun, le style a clairement dévié lorsque François Asselineau a pris la parole. Agressif, son discours, qui se déclinait autour du champ lexical de la fermeture et de la négation, eut pour conséquence d’exalter les passions (les applaudissements bruyants et les ovations intempestives de ses militants éparpillés dans la salle ont largement contribué à ce sentiment), plutôt que de poser les principes positifs d’une possible union future. François Asselineau tire à vue sur tout ce qui bouge dans le camp politique, y compris sur Jacques Cheminade qu’il ne s’est jamais donné la peine de rencontrer. Mais que propose-t-il au juste ? Personne ne le sait.

Que penser dès lors de la décision du M’PEP de l’inviter à son meeting de clôture ?

La question reste en suspens. D’ailleurs, rien n’est encore arrêté quant à une future union avec l’UPR. Jacques Nikonoff l’a bien réaffirmé : le CNR est dans une phase exploratoire, il s’agit d’identifier au plus vite les points de convergence et de divergence de chacun pour pouvoir poser au Congrès, prévu en janvier 2013, les fondations définitives du CNR.

Nous espérons sincèrement que le souci de rassembler le spectre le plus large possible de la population française ne se fasse pas au péril de l’esprit positif qui se dégageait du reste de l’université d’automne du mouvement.

Et c’est d’ailleurs armés de cet espoir que nous avons distribué à toutes les personnes présentes un exemplaire de l’Appel au Glass-Steagall, et nombreuses sont celles qui souhaitent garder le contact. Il nous revient donc de faire en sorte que le M’PEP, en plus de poursuivre sa bataille politique, s’approprie l’urgente nécessité de la séparation des banques et du crédit productif public, mais surtout que, pour le nouveau CNR, il reste fidèle à son ouverture d’esprit exigeante.

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  • Zebre • 20/11/2012 - 10:02

    S&P propose t-il la sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN dans son programme ? Car, comme la France s’est fait déposséder de ses leviers économique par l’UE, toute proposition d’établir une nouvelle politique économique en France, sans proposer en amont ces trois sortis (UE,euro et OTAN), ne sont que des chymères...

    • Marc • 20/11/2012 - 16:38

      L’UPR est un mouvement de rassemblement provisoire.
      Partant du constat qu’il ne peut y avoir de démocratie sans souveraineté et que divisé nous ne battrons jamais la fausse alternance UMP/PS qui applique toujours la "politique de l’étranger". L’objectif de ceux qui le rejoignent est le suivant : plus vite nous nous rassemblons pour sortir de l’UE/euro/OTAN et plus vite nous pourrons retourner voter pour le parti qui colle le mieux à nos idéaux.
      On peut qualifier ceux qui rejoigne l’UPR de ces 3 proverbes :
      + L’union fait la force mais à condition que tous le monde tire dans le même sens
      + Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs
      + Et un tiens vaut mieux que deux tu l’auras

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  • Apocatime • 20/11/2012 - 06:28

    @NoWay
    Manifestement vous vous n’êtes pas donné la peine de chercher bien loin pour affirmer que l’UPR n’a pas de programme... Moi j’en vois un et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a de la gueule... Jugez plutôt...
    _
    http://www.u-p-r.fr/wp-content/uploads/2012/03/Programme-presidentiel-Francois-Asselineau.pdf

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  • Magali • 20/11/2012 - 08:04

    Asselineau diviseur ?
    Les critiques de l’article sont donc d’autant plus infondées que Monsieur Cheminade et Monsieur Asselineau ne se sont jamais rencontrés. L’argument peut, à l’infini, s’utiliser par l’une ou l’autre des parties.
    En attendant, Monsieur Asselineau était présent à la tabledu "CNR", contrairement à Monsieur Cheminade, qui j’espère, la rejoindra bientôt.

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  • NoWay • 12/11/2012 - 21:43

    UnLecteur
    désolé de vous le dire mais votre charte c’est la théorie du vide , aucune vue après la sortie de l ’ U_E . Et puis vous confondez charte avec programme .
    Autrement , que pensez-vous d’ un rapprochement UPR/S&P qu’ Asselineau qualifie de secte et monsieur Cheminade de farfelu ?
    http://www.francoisasselineau.fr/2011/12/m-cheminade-precisions.html
    La stratégie d’Asselineau est d’éliminer ses concurrents pour avoir le leadership de la contestation , d’ailleurs il n’est prêt à aucune concession ni partage , ça transpire.

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  • UnLecteur • 12/11/2012 - 19:53

    Vous n’avez pas cherché bien loin pour écrire au sujet de François Asselineau "Mais que propose-t-il au juste ? Personne ne le sait". Lisez la charte fondatrice de son parti (fait en 5 minutes), et vous saurez : http://www.u-p-r.fr/charte-fondatrice

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  • loic • 12/11/2012 - 14:39

    SetP ne peut avoir raison seule dans son coin..... Si la democratie d’opinion n’est peut-etre pas la vraie democratie, la confrontation est indispensable pour faire valoir vos idees.... bonne nouvelle donc que vous soyez aller a cette universite du M’PEP.....

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  • NoWay • 12/11/2012 - 12:23

    François Asselineau est un diviseur qui n’a pas manqué de critiquer durement monsieur Cheminade lors de la campagne présidentielle , il n’y a rien a attendre de lui , que ce soit S&P , le PRCF , le M’PEP ou autres .

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  • petite souris • 12/11/2012 - 12:16

    «  Restaurer la souveraineté nationale pour construire un nouvel internationalisme – Vers un socialisme du XXIe siècle »
    .........
    Un très beau thème en effet....Dommage que les intervenants n’aient pas pu ou pas voulu développer le "construire" !!!!!!!!!!!!!!!!!!
    ....
    Bravo à ceux de S&P qui ont tout fait pour penser à la construction de l’avenir !!!
    ....
    Seule action qui vaille !

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  • plusieurs • 11/11/2012 - 14:27

    D’ avance, merci à tous.
    Vivement que le M’pep touche le fond afin que les bonnes volontés puissent, ensemble, rebondir vers l’ émergeance, l’ air, le soleil.

    Répondre à ce message

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Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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Jacques Cheminade
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