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PSA Peugeot-Citroën : Avec un Glass-Steagall global, reconvertissons l’industrie automobile et le système financier

Voici le texte du dernier tract de Solidarité & Progrès sur la crise automobile.

À lire aussi, la déclaration de Jacques Cheminade : Peugeot : c’est le système financier qu’il faut changer, imbéciles !


« Un pays sans industries est un pays sans avenir »
- Jean-Marc Ayrault

Ce jeudi 12 juillet, le groupe PSA Peugeot-Citroën a annoncé l’arrêt de la production de son usine d’Aulnay-sous-Bois, en Seine Saint-Denis, en 2014 ainsi que la suppression de plus de 8 000 emplois en France. Les sites de Rennes et Sevelnord sont concernés et des dizaines de milliers d’emplois indirects sont menacés.

Chacun y va de sa petite phrase en versant quelques larmes de crocodile mais personne n’envisage réellement de changer la donne. Car, en vérité, le saccage industriel et social pratiqué par PSA Peugeot-Citroën et l’absence de tout plan sérieux de reconversion industrielle, ne sont que les conséquences d’une politique de soumission volontaire de nos dirigeants à une finance devenue folle. Finance qui, de la Grèce à l’Espagne en passant par le Portugal et l’Italie, impose avec les différents organismes de sauvetage bancaire sa loi, au détriment des peuples. Tout comme Mariano Rajoy en Espagne et Mario Monti en Italie, François Hollande et son équipe s’exclament : « cela ne nous plait guère, mais on ne peut pas faire autrement ! »

Ce n’est pas d’un énième « plan de soutien à l’automobile » dont on a besoin, mais d’un changement radical des principes redonnant, à l’échelle mondiale et européenne, la priorité à la création, au travail humain et à la coopération mutuelle.

Rappelons que depuis la grande dérégulation financière des années 1980, une spéculation insensée prospère au détriment de la production agricole et industrielle tout en forçant chaque participant d’entrer dans une compétition féroce avec les autres. Aujourd’hui, avec l’éclatement du scandale du LIBOR à Londres, on dispose d’éléments d’enquête précis démontrant qu’en 2008 les grandes banques d’affaires, après avoir empoché des milliards d’euros en manipulant les taux d’intérêt, ont triché pour retarder l’explosion de leur propre système.

Couper les banques en deux

Devant l’ampleur de la crise, et alors qu’en Angleterre une partie des élites exige qu’on coupe les banques en deux (c’est le principe du Glass-Steagall Act) -inspirée en cela par l’économiste américain Lyndon LaRouche- afin de mettre à l’abri de la finance folle l’argent des déposants, des entreprises et des collectivités territoriales, en France, François Hollande tarde à mettre en œuvre ce qu’il avait promis au Bourget : la séparation stricte des banques de dépôts des banques d’affaires.

Pire encore, à Washington, à Bruxelles et à Francfort, avec le MES (Mécanisme Européen de Stabilité) et le FESF (Fonds Européen de Stabilité Financière), les élites et leurs complices persistent à renflouer sans condition les banques, sacrifiant ainsi les compétences industrielles des ingénieurs, des techniciens et des travailleurs. C’est socialement criminel et économiquement stupide.

Il faut inverser l’ordre des priorités : mobiliser avec l’argent public la vraie richesse, qui est la créativité des chercheurs, ingénieurs, techniciens et ouvriers qualifiés, c’est-à-dire la capacité de produire et d’engendrer l’avenir. C’est de ce point de vue qu’aujourd’hui, l’Etat français devrait immédiatement monter au capital de PSA Peugeot-Citroën, non pas pour « aider » le groupe dans sa stratégie actuelle, mais pour imposer une véritable reconversion industrielle.

Reconvertir la production

Pour produire quoi ? La question essentielle n’est pas d’acheter plus de voitures (avec quoi ? En tout cas, pas avec un crédit fait pour nous étrangler), mais de sauver l’outil de production du secteur automobile. Comme on ne peut pas multiplier indéfiniment les voitures, il faut en améliorer la conception (voiture électrique, moteur à hydrogène) mais surtout reconvertir en vue d’autres applications l’outil de travail aujourd’hui mobilisé pour l’automobile.

La technologie et la main d’œuvre de l’industrie automobile sont un bijou capable de produire une multitude d’engins utiles. Quelques précédents historiques le prouvent amplement. Michelin, par exemple, produisait des avions à Clermont-Ferrand pendant la Grande Guerre. La première piste cimentée pour l’aviation y fut construite afin de permettre aux avions Breguet-Michelin de décoller par tous les temps. La production d’avions passa rapidement de 57 avions en 1915 à 1422 avions en 1918. En temps de paix, sous Kennedy aux Etats-Unis, ce sont les usines du constructeur automobile Chrysler qui ont fabriqué les lanceurs lourds Jupiter et Saturne pour la mission Apollo de la NASA.

Espace, transports publics, infrastructures… : il faut d’urgence repenser l’économie de demain et ceci dans le cadre d’un nouveau système financier international, ce qui veut dire pour la France le retour du crédit public productif.

Dans le secteur automobile, cela nécessite qu’on entreprenne un effort de formation professionnelle sans précédent et qu’on redéploie les instruments de production sans plus tarder. Avec un engagement clair : aucun emploi perdu car la qualification du travail y est trop précieuse.

A l’opposé de la multiplication des « urbaines » avec une seule personne à bord ou la « transition énergétique » verte, le critère doit être l’augmentation de la densité du flux de production par travailleur et par unité de surface dans les secteurs de base.

Réorientons l’outil de travail vers la production de matériel agricole de pointe, de transports urbains et interurbains à grande vitesse de personnes et de marchandises (tels l’Aérotrain et le Transrapid), de robots de livraison (Cargocap), le ferroutage, les composants de centrales nucléaires de IVe génération (neutrons rapides, thorium) et vers la construction de ponts, de ports et de canaux, qui désenclaveront notamment l’espace méditerranéen, l’Afrique et l’Asie.

A court terme, on peut produire des engins de travaux publics, des installations de traitement des eaux, des tracteurs ou des moissonneuses-batteuses. A moyen et long terme, grâce à une politique de reconversion ambitieuse, on produira demain les équipements de base et de haute technologie pour l’économie, que ce soit le tomographe pour la santé publique jusqu’au tunnelier pour désenclaver.

Nous avons vécu plus de quarante ans dans une société de cupidité, d’exploitation, de spéculation et de gains de plus en plus à court terme, au sein d’une sous-culture du virtuel et de l’instant. A force de jouer, les pouvoirs en place ont perdu. L’économie et nous-mêmes ne devons pas perdre avec eux.

Empêcher la ratification du « pacte budgétaire » européen (TSCG) et imposer la séparation des banques sont les préalables pour libérer l’économie réelle d’un système bancaire devenu en grande partie parasitaire.

C’est en gagnant cette bataille pour un nouveau Glass-Steagall, qu’on redonnera un avenir industriel à notre pays. Arrêtons la priorité du financier ! Organisons une solidarité entre les branches et les filières avec les entreprises de service aux industries pour constituer un système productif intégré. Mobilisons une alliance de travailleurs et de producteurs pour l’imposer, avec la participation active de tous à la stratégie de reconversion.

Contactez-nous !

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  • ? • 18/07/2012 - 07:58

    Ce qu’on oublie de dire, c’est que PSA est victime d’une décision politique qui impose des sanctions à l’Iran et l’empêche de vendre des voitures à ce pays, où il vendait 450.000 voitures /an. Tout ça pour faire plaisir aux américains et aux sionistes.

    Les travailleurs de PSA sont victimes de la stupidité des politiciens...
    http://www.youtube.com/watch?v=_He8rNza6w4&feature=player_embedded

    • da264 • 18/07/2012 - 20:35

      Félicitations,j’ai fait le même commentaire sur "Actu et Environnement "

    • Wallabs • 04/08/2012 - 12:10

      Dans la même logique, Renault Trucks qui assemblait environ 200 Camions par an au Soudan et en vendait le même nombre en neuf et occasion (et donc des pièces), s’est trouvé fustigé par le gouvernement et obligé d’imposer au constructeur local de ne pas vendre ces camions a l’armée. Résultat, l’outil de production qui a été mis en place par Renault sert a fabriquer des camions MAN pour lequel le gouv. Allemand n’émet pas de réserves... cherchez l’erreur..

    Répondre à ce message

  • matière invisible • 20/07/2012 - 20:05

    Un pays sans ministre courageux est un pays sans dirigeant. :-))

    Répondre à ce message

  • philippe • 14/07/2012 - 01:47

    Bonjour
    Avez vous pris RDV avec tous les syndicats pour exposer vos idées ?

    Répondre à ce message

  • Elise lacombe • 14/07/2012 - 21:25

    Tout cela est dramatique et je pense qu’on ne se relèvera pas ....
    En considérant les multiples sources d’apauvrissement de ce pays, de la population, il me semble que la France est aujourd’hui moribonde.
    Qu"en pensez-vous ?
    Cordialement

    Répondre à ce message

  • matière invisible • 15/07/2012 - 16:43

    Le plan annoncé par PSA n’est pas le plan d’une entreprise profitable qui cherche à augmenter ses profits. C’est le plan d’une entreprise victime d’une concurrence déloyale et d’un cadre européen qui la pénalise. Les vrais responsables sont tous les politiques qui soutiennent cette mauvaise Europe.

    Répondre à ce message

  • petite souris • 13/07/2012 - 13:11

    François Hollande et son équipe s’exclament : « cela ne nous plait guère, mais on ne peut pas faire autrement !

    "Foutage de gueule" total !!!!

    Le PDG de Peugeot commence son chantage : les salaires sont trop élevés ......
    Ah oui ! en Allemagne et dans les pays nordiques qui fabriquent des voitures les salaires sont plus élevés !!!!!

    Donc : Grand numéro d’équilibristes cinématographique de nozélites politico-médiatico-industrielles qui osent jouer les vierges effarouchées !!!!

    Répondre à ce message

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Don rapide

Pour quoi se bat  ?

« Élever à la dignité d’homme tous les individus de l’espèce humaine » Lazare Carnot

Solidarité et progrès est le parti du travail humain. Nous voulons :
- que les capacités créatrices de chaque être humain soient libérées pour le bien commun ;
- que personne ne puisse être exploité ou abusé ;
- que les féodalités financières soient mises hors d’état de nuire.

Notre but est donc de vaincre la City, Wall Street et leurs complices européens. En menant :
Une politique internationale de détente, d’entente et de coopération entre peuples et nations, dont les Nouvelles Routes de la soie sont l’amorce. Comme on ne peut les bâtir sur le sable mouvant du système dollar actuel, construisons-les avec le ciment d’un nouveau système monétaire international, ce Nouveau Bretton Woods pour lequel nous nous battons avec nos alliés dans le monde.
Une politique de crédit public national finançant en priorité l’école, la production, l’hôpital et le laboratoire. Le nécessaire préalable pour libérer ce crédit est une moralisation de la vie bancaire (un Glass-Steagall contre les spéculateurs). Mettons-le en place, comme à la Libération !
La dissolution de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN, instruments de l’oligarchie financière. Associons-nous avec les autres pays d’Europe et du monde en vue de grands projets de développement mutuel : espace, essor de l’Afrique libérée du franc CFA, économie bleue, énergie de fusion, numérique, création d’emplois qualifiés.

La France doit donner l’exemple. Battons-nous donc ensemble, avec l’arme d’une culture de la découverte et du rire contre le respect qui n’est pas dû.

La politique de en vidéo

Animations réalisées lors de la campagne présidentielle Cheminade 2017.

» Voir le projet complet

en chiffres

La part des dons de personnes physiques dans les ressources financières de S&P.

Le nombre de candidats présentés par S&P lors de 116 campagnes électorales locales et nationales.

Fondation de Solidarité & progrès suite à la dénonciation du "cancer financier" par Jacques Cheminade.

La part allouée à S&P sur les 70 millions d’aide de l’Etat aux partis politiques.

Actions politiques et citoyennes entreprises (au minimum !) par S&P sur une année.

a vu juste sur...

La crise financière de 2008

Lors de sa campagne présidentielle de 1995, où Jacques Cheminade met en garde contre la spéculation insensée sur l’immobilier et les produits dérivés. Il publie ensuite son alternative au monétarisme dans l’ouvrage « Un plan de relance par le crédit productif public. »

La dérive néo-conservatrice de l’administration Obama

Ainsi que nos amis américains, nous avons dénoncé l’emprise du parti de la guerre sur l’administration Obama bien avant le scandale des écoutes illégales ou celui des assassinats "extra-judiciaires", y compris de citoyens américains.

La nature de la guerre en Syrie et le terrorisme

S&P a démasqué dès 2012 (vérifie) l’instrumentalisation des mouvances terroristes pour renverser certains régimes, dont la Syrie.

L’extrême-droite et néo-nazis en Ukraine

Dès le rejet du traité de libre association par le gouvernement ukrainien fin 2013, nous dénoncions le soutien insensé des occidentaux à des mouvances néo-nazies dans le but d’élargir l’OTAN aux frontières de la Russie.

La confiscation des dépôts bancaires ou "bail-in"

Bien avant janvier 2016 et l’application effective d’une directive européenne permettant de renflouer les banques avec l’argent des déposants, nous avons dénoncé dès 2013 cette logique confiscatoire et destructrice.

Le Tsunami financier qui vient

C’est vrai que beaucoup d’économistes en parlent, en tout cas bien plus qu’avant la crise de 2008 ! Et pourtant aucun ne défend la politique de crédit public démocratique qui nous permettrait d’éviter un choc économique sans précédent.

et la vraie Europe

La vraie question est la nécessité de mettre en place un nouvel ordre économique international fondé sur le développement mutuel, en partenariat avec la conception de la Nouvelle route de la soie que portent les BRICS.

L’Union européenne (UE) est devenue le cheval de Troie de la mondialisation financière, de la City et de Wall Street. L’euro en est le vice financier et l’OTAN le bras armé. C’est pourquoi il faut en sortir, mais pas pour faire un saut dans le vide.


L'euro, et pourtant il coule

Il faut refonder la vraie Europe, l’Europe des peuples, des patries et des
projets, la version du plan Fouchet de 1962 pour le XXIè siècle. Il ne s’agit pas de revenir en arrière mais de repartir de l’avant, avec une monnaie commune de référence porteuse de grands projets : ni monnaie unique servant l’oligarchie financière, ni deux monnaies qui ne seraient pas gérables.

Une vraie Europe ne peut se construire sans réelle participation citoyenne. Construisons une France et une Europe que serve réellement le progrès économique et social, contre tout dévoiement financier et géopolitique.

pour une écologie humaine

S&P promeut une écologie responsable et humaine, s’inspirant notamment des travaux de Vernadski sur la Biosphère et la Noosphère.

Nous condamnons les mouvements obscurantistes qui prônent un écologisme "Malthusien" (l’idéologie de Thomas Malthus) qui considèrent que les ressources de la planète sont limitées. Ces mouvements aboutissent fatalement à la conclusion inadmissible qu’il faut imposer une politique de dépopulation.

Ainsi, la première des ressources est pour nous la créativité humaine, la faculté qu’a l’Homme de comprendre et de transformer le monde qui l’entoure.

L’être humain a une responsabilité, et c’est pour cela qu’il faut sortir de la mondialisation prédatrice.

et l’énergie

Il est fou de vouloir sortir du nucléaire, qui est l’expression d’une découverte humaine. Cependant, il doit être réinventé pour en faire un nucléaire citoyen du XXIe siècle, qui nous donnera les moyens d’accueillir les générations futures.
Nous sommes pour la conception de réacteurs de IVe génération et la mise en place d’un programme de recherche accéléré vers la fusion thermonucléaire contrôlée.

Le nucléaire du futur n’est pas un mal nécessaire. Il doit impliquer une société plus juste, plus inclusive et plus responsable, sans quoi - comme toute autre découverte - il serait réduit à un instrument de domination.
Le nucléaire est, enfin, la "clé" de l’énergie nécessaire à la propulsion des voyages spatiaux, qui définissent l’étape prochaine de notre Histoire.

Défendre le travail humain, c’est rejeter totalement les logiques actuelles de rentabilité à court terme. Se battre pour le nucléaire, c’est se battre pour le fondement d’un monde élargi et plus juste.

est fier de déranger

Vous trouverez sur internet un lot défraîchi d’étiquettages en tous genres : S&P est qualifié de d’extrême-gauche, d’extrême-droite, financé par le KGB ou par un milliardaire américain (mais volant des vieilles dames), aux idées tour-à-tour farfelues et dangereuses, et bien évidemment adeptes de la théorie du complot !
Le tout visant à dissuader les citoyens de découvrir nos idées et notre engagement.

Mais derrière ces accusations vous avez d’incessantes manoeuvres politiques : rejet du compte de campagne de Jacques Cheminade en 1995, saisie de 170 000€ sur le remboursement de la campagne de 2012, et bien entendu une exposition médiatique réduite au minimum, ou la plus défavorable possible pendant les présidentielles !

Pour nos ennemis ou adversaires, il s’agit d’empêcher que soit comprise par le peuple une politique de crédit public démocratique, la seule arme qui nous permettrait de diriger la finance plutôt que d’être dirigée par elle.

Si S&P dérange, c’est parce que nos idées frappent l’oligarchie financière en plein coeur. Ce combat émancipateur est l’enjeu culturel de notre temps.

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Au cours des élections présidentielles précédentes, de 2012 et 2017, nous avons entrouvert une porte, car nous avons été les seuls à poser les défis qui sont devant nous.

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Un monde qui peut rentrer en crise à tout moment, y compris avec un risque de guerre.

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Jacques Cheminade
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